[721] En avoir ou pas (acte 2)

Se jeter à l’eau

Je suis un petit cachotier. Quand j’ai publié cette note sur les sexes épilés ou non, je m’étais déjà résolu à refaire, pour ma part, un test. Par curiosité. Pour voir si c’était un plus ou un moins, à la fois sur des critères esthétiques, pratiques, érotiques, sensitifs… Une amie m’avait parlé des salons estetika, spécialisés dans l’épilation intime. Je me suis dis que, pour une première fois, autant s’adresser à des spécialistes, en particulier habitués à une clientèle masculine (ce qui, je suppose, ne doit pas être le cas de tous les salons1). Une première fois, il y a quelques années, j’avais voulu tenter l’expérience, pour faire plaisir à une amante, mais je n’avais pas osé (je crois même tout simplement que je n’avais même pas pensé à) aller dans un salon et je m’étais fait ça à la mano, avec rasoir et crème dépilatoire choisie en magasin après force tergiversations (je crois me souvenir d’avoir opté pour une crème Veet spéciale peaux sensibles). Je dois vous dire que le résultat était loin d’être nickel. Certes, j’étais confronté au choc (!) visuel de mon pubis nu, mais pour la douceur et la netteté, c’était pas ça. Bref, plus de six ans après cette expérience en demi-teinte (puisque j’avais tout laissé repousser en me disant que ce n’était pas mon truc), je décide de revoir ce que ça donne, notamment inspiré par Mademoiselle Six qui, avec insistance, vantait les bienfaits de l’épilation totale en terme de sensations (même si, probablement, son argument visait surtout les femmes), bien que j’eusse moi maintes fois soutenu que je me préférais poilu, tel que Dieu m’avait fait. Après tout, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et vu la girouette que je suis, je suis loin d’être un imbécile.

Après une rude négociation pour l’horaire du rendez-vous, je réussis donc à obtenir un rendez-vous qui ne soit pas à l’heure de mon comité de pilotage, mais après. Entre copil et coupe-poil, je décide de me prendre une bonne pinte de bière dans un bar voisin, me disant que ça pourrait sans doute avoir quelques vertus anesthésiques. Les quelques femmes au courant de mes intentions m’avaient en effet invité, rigolardes, à m’apprêter à souffrir (comme une revanche sur leur écot périodique aux exigences esthétiques de notre société 2). N’étant pas arrivé à finir ma deuxième pinte, je me rends au salon avec un quart d’heure d’avance. À côté de moi patiente déjà un autre homme, lui aussi en costard-cravate, et qui prendra quelques minutes après son départ, la place d’un troisième homme au look de cadre dynamique. J’en déduis hâtivement une étude sociologique sur le profil des hommes épilés qui sera par la suite démenti par mon esthéticienne officiant en cabine lors de notre conversation « comme chez le coiffeur ». En outre, de ma (future) cabine, c’est une charmante trentenaire qui sort et je m’amuse à imaginer sa sensation à elle, avec son sexe à nouveau tout nu et tout lisse plaqué contre son jean moulant ou une culotte soyeuse3.

Les choses sérieuses

Quelques minutes après, on m’enlève à mes rêveries pour m’inviter à m’installer dans la cabine. Heureusement, on me précise ce que l’on entend par là : enlever le bas. J’ôte donc ma veste, pour rester en chemise (il faisait plutôt chaud dans cette petite pièce) et tout le bas, y compris les chaussettes, ce qui est évidemment inutile compte tenu du but poursuivi, mais indispensable quand un gentleman ôte son pantalon devant une femme. Je commence à entrer dans le dur, comme on dit dans le bizness, et j’écarte rapidement la question qui m’inquiétait au préalable : ne risqué-je pas d’être en prise à une érection incontrôlée en pareilles circonstances ? Je me dis que je vais faire comme si c’était le médecin et que la situation était exempte de tout contexte sexuel. Ce qui est en fait faux, non pas en raison de la manipulation elle-même, autour du sexe, mais de sa finalité, totalement liée à la sexualité (les arguments concernant l’hygiène sont à écarter, ils sont fallacieux : les poils sont au contraire connus pour évacuer la transpiration).

Bref ! un peu comme sur une plage nudiste, j’essaye de débrancher le moteur libidinal pour rester un client exemplaire. J’explique à la demoiselle4 mon passif et mon attente, et après avoir évidemment dit du mal de la crème dépilatoire, elle s’attaque au buisson fourni de mon pubis. Le moment de vérité approche… Elle applique une première bandelette de cire tiède (un mélange vert sombre, qui ne sent pas le miel ni la cire qu’utilisait ma mère jadis), puis une deuxième, ailleurs, le temps que la première sèche et puis – Scraaaatch ! premier arrachage. Ouille. Je serre les dents et ne crie pas. Je commence à voir à quelle sauce je vais être mangé et me dis que ça devrait donc être supportable. Les scratchs se suivent et se ressemblent, et j’en profite pour faire un peu causette. C’est ainsi que j’apprendrai qu’il n’y a pas que des cad’sup’ dans cette tôle, mais aussi des chauffeurs de taxi et des gens du cinéma.
– Scraaaatch !
— Mais aïe !!!
Je relève mon torse allongé pour accompagner ce cri retenu. Ah, oui, cette zone-là (le creux de l’aine) est un peu plus sensible, et ce sera le moment le plus pénible de la séance. Il y aura une petite poignée de ces moments sensibles, mais en fait, la douleur, si elle est vive, reste très brève et je n’ai pas versé de larme ! Ouais, parfaitement les filles, j’ai été un homme !

À un moment, elle m’a demandé de tenir mon sexe (sans prononcer ce mot) en l’étirant et le maintenant latéralement pour y épiler les rares poils qui s’y trouvent. Paradoxalement, ni cette zone, ni celle des testicules, pourtant si propices aux sensations fortes sous les feux de l’amour, ne se révèlent très sensibles pour l’épilation. Par la suite, mon esthéticienne a manipulé mon zizi toute seule. Selon une de mes interlocutrices lors du débrief, il se pourrait qu’elles demandent aux hommes de tenir leur sexe pour éviter les érections intempestives, et que, rassurée sur ma totale inertie, elle se soit affranchie de cette précaution.

Pendant la quasi intégralité de la séance, j’étais un peu comme chez le docteur pour me faire vacciner : je ne regardais pas ce qu’on me faisait. Je l’ai interrogée sur le cliquetis rapide que j’entendais par intermittence, c’était elle qui, à la pince à épiler, ôtait certains poils à la main avec une dextérité et une rapidité impressionnantes. L’occasion de discuter sur les qualités d’une bonne pince à épiler (de fait, je ne l’ai pas attendue pour faire la différence entre les pinces de merde et celles qui font leur job).

Vient le moment de s’occuper de mes fesses, pardon !, de mon sillon inter-fessier (SIF pour les intimes). Moment que je redoutais, parce que, quand on s’arrache un poil du cul, ça fait mal (à ce sujet, ami lecteur, quand vous me croiserez en live, pensez à me demander de vous raconter ma blague sur le poil de cul, c’est d’une finesse rare). Et ben pas du tout, qu’elle me dit, vous verrez que ce n’est pas sensible. Et, de fait, c’est passé comme une lettre à la poste et, croyez-moi, je crois que c’était l’endroit dont j’avais le plus envie qu’il soit débarrassé de ses poils, et si j’avais su que c’était aussi fastoche, j’y serais allé plus tôt !

NB : Pour ceux que ça intéresse, vous pouvez aller jeter un œil sur la page Wikipedia fléchée par niki qui contient même une vidéo d’épilation pour-de-vrai.

Pour conclure la séance, un peu de talc et des conseils d’entretien et « rendez-vous dans quatre semaines ». Je décide de mettre à profit ce temps pour réfléchir à la « coupe » que je demanderai à mon prochain passage, car, dès ce moment, je sais qu’il y aura une suite, mais je ne sais pas encore dire laquelle : vais-je apprécier la vision de ce sexe déplumé sans sa toison virile ? Et quid des autres zones, qu’en penseront mes partenaires, et au premier rang d’entre elles5 ma femme que j’avais préalablement informée de mes intentions, faut pas déconner, et puis elle sera la première après moi à découvrir mon sexe neuf. Après quoi – ahum – une semaine chargée se profile (ben oui, c’était un peu calculé pour).

Vite, vite ! L’épreuve du feu !

J’avertis en journée, par SMS, ma femme que je lui réserve une surprise pour ce soir. C’est quoi ? c’est quoi ? qu’elle me demande. Alors je me faufile félinement auprès d’elle, ne portant plus que mon boxer et je l’invite à venir voir par elle-même. Je suis agréablement surpris par sa réaction, plus positive que je ne l’espérais. Je ne sais pas si elle trouve ça beau6 mais, en tout cas, elle trouve ça doux à caresser (et ne s’en prive pas). J’ai même un moment l’impression qu’elle serait prête à tester pour elle-même. Mais, sur ce sujet, point de pression je ne mettrai.

Pour la deuxième femme qui a pu tester, ce n’était pas une surprise7 car je l’avais avertie de mes intentions et elle avait même souhaité « être une petite souris » dans la cabine de l’épilatrice. J’aurais bien aimé aussi qu’elle soit là pour me tenir la main (et plus si affinités) mais chou n’aurait peut-être pas été d’accord et puis, de toute façon, c’était une promesse intenable. Je vous transmets sa réaction face à la queue de CUI déplumée : « Ce n’est pas tant la vue qui m’a frappée, que le toucher … pouvoir caresser sans craindre de tirer sur les poils, et puis la douceur de la peau, qu’on a envie de lécher encore et encore tellement c’est agréable, et puis aussi le fait de pouvoir lécher vraiment partout sans aucun obstacle. Définitivement hummmm… » (Ce sont les femmes qui en parlent le mieux.)

Les autres réactions qui suivirent furent à l’unisson. Globalement, pour l’aspect esthétique, j’ai mes réserves, mes partenaires non. Concernant l’aspect pratique, en revanche, il y a des choses à dire. Déjà, les vêtements ne frottent pas de la même façon. Je ne dirais pas que c’est un plus ou un moins, c’est juste différent et nouveau, donc un peu déconcertant. Mais c’est surtout pour la chose sexuelle que l’absence de poil change la donne (vous vous en seriez douté). Déjà, pour ce qui est des caresses, indéniablement, les sensations pour moi sont plus agréables, plus intenses, notamment pour toute la zone située sous la verge (le scrotum, le pli de l’aine, le périnée). Aucun effet sensitif sur le pubis en revanche mais (il y a un mais) le pubis lisse engendre un effet que je n’avais pas anticipé. Lors du coït, mon pubis nu se retrouve au contact de la peau, elle aussi nue, de ma partenaire et pour peu que nos peaux respectives soient humides (sous l’effet de la transpiration, à cause de cyprine ou de gel, autrement dit : systématiquement !), ça adhère et cela fait un effet ventouse, léger, mais très sonore. Au début, c’est assez déconcertant, et puis avec le temps on s’habitue. Dans certaines circonstances, même, cela peut être un plus qui ajoute à l’intensité du moment. Dans d’autres où la discrétion devrait être de rigueur, on pourra considérer que c’est un inconvénient.

Le détail glamour que vous auriez préféré ne pas lire

Bien que ce soit une zone très éloignée de mon œil, j’attendais beaucoup de l’épilation de mon S.I.F. Plutôt friand d’anulingus pas horibilis du tout, il me semble que pour le ou la partenaire qui s’y collerait (sic), une zone glabre serait du meilleur effet. En outre, j’avais l’impression que mes poils, sous le périnée, étaient particulièrement longs (je mettais ça sur le compte de l’épilation à la crème mais peut-être que je n’y avais simplement par porté attention avant). Bref. Ce que je n’avais évidemment pas anticipé, c’est que, pour strictement les mêmes raisons que celles décrites ci-dessus concernant le pubis qui se révèle plus sonore, l’absence de poils entre les fesses rend beaucoup plus délicate l’émission d’un pet en toute discrétion. X-Addict pourrait certainement nous démontrer avec moult schémas et vortex pourquoi, en mécanique des fluides, le poil salvateur évite ou limite dans de nombreuses circonstances la production sonore (si le pet est inodore, votre statut social reste préservé). Or, là, si je n’écarte pas délicatement de la main l’une des fesses de l’autre, l’effet coussin péteur est radical, et vous comprendrez que pour garder ma stature en comité de pilotage, le choix est délicat entre se mettre la main au cul et émettre des sons douteux. Faut-il talquer abondamment ? Installer une soupape de sécurité ? Proscrire définitivement haricots et pois chiches de mon alimentation ? Toutes vos suggestions sont les bienvenues !

La suite

Désormais que j’ai mis un doigt dans cet engrenage de l’épilation, pourrais-je m’en sortir ? Car après avoir cédé aux sirènes du lobby épilatoire, et subi dans la foulée le chœur des amantes vantant les mérites de ma queue dékératinée, se pose la question de la repousse. Bon, d’abord, ce machin-là demande un entretien soigneux. Et vas-y que je mets du talc après la douche. Et vas-y que je gratte au gant de crin et que j’exfolie pour éviter les poils incarnés (un rude combat, dont l’issue est cruciale pour la préservation de l’esthétique locale). Et vas-y que je mets de la crème hydratante. Un vrai métrosexuel !

Je me suis déjà dit qu’il fallait prendre le temps de la réflexion et ne pas décider de suite de renoncer ou pas. Donc, au prochain passage (et c’est bientôt : toutes les 3 à 5 semaines, dziiiing, faut repasser sur le billard) chez l’esthéticienne, je demanderai à nouveau la totale. Ensuite, je ferai sans doute d’autres expérimentations. Pour l’instant, mon penchant spontané serait à la repousse des poils du pubis, et lissage en dessous, mais comme je vous le disais plus haut, je suis plutôt du genre girouette-anémomètre.

Nothing's foverer - Edoardo Pasero
Nothing’s foverer – Edoardo Pasero

-=-

Bon, et pour ceux qui ont envie d’approfondir le débat, je vous renvoie sur le Mouvement Internationale pour une Écologie Libidinale (M.I.E.L.) qui développe une virulente campagne contre le dogme anti-poil. Alors, vive le naturel, ou l’homme, animal social ? Ma réponse est toujours la même : faites comme vous le sentez, mes petits canards, et soyez heureux !


  1. De plus, j’ai ouï dire, depuis, que certains salons ne pratiquaient pas tous l’épilation intégrale, même chez la femme
  2. Voir à ce sujet le lien en fin de note
  3. Pourquoi ne pas profiter de l’occasion pour se glisser dans la peau de Gicerilla : «Se sentir nue en dépit de la dentelle qui me couvre est si excitant. Et quel effet me serait-ce sans dentelle du tout ? » La suite se trouve dans son petit théâtre.
  4. On s’est enquit de son prénom, mais je ne crois pas l’avoir entendu. Les deux esthéticiennes présentes dans le salon s’appelaient mutuellement « chou » ou « mon chou » et quand j’ai pris le rendez-vous, c’était avec « ma collègue ».
  5. La grammaire exigerait un d’entre eux.
  6. Plus tard, toutefois, elle me dira, dans l’obscurité de la chambre, que ça me donne l’aspect d’une statue grecque. Pardonnez-là, elle est myope, n’a pas vu de près d’abdominaux musclés depuis des années et elle doit être encore un peu amoureuse !
  7. Côté surprise, je lui en avais réservé une plus gratinée, mais ce n’est pas le moment d’en parler.

50 gazouillis sur “En avoir ou pas (acte 2)”  

  1. #1
     
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    X-Addict a gazouillé  :

    Cher Cui c’était donc cela ! Je t’ai imaginé cédant aux sirènes de la mode du « tout nu » dans ce salon ! Au delà de l’aspect rigolo de l’affaire, une tentation que tu ne sembles pas regretter ni tes amantes d’ailleurs. (Ton épouse non plus à ce que je lis … le moment d’en profiter un peu peut-être ?)
    Tu confirmes bien ce que je pense, bcp de femmes aiment cette sensation et le vue que l’on peut avoir d’un sexe masculin glabre. Sans en tirer une règle absolue je me suis aperçu que cela avait souvent un impact érotique… Mademoiselle Six a bien fait d’insister alors ;)
    Par contre il est vrai que l’entretien est une horreur, et retourner au salon tous les mois n’a rien d’amusant. C’est un peu pour cela que j’ai renoncé pour la méthode plus ancienne : le vieux rasoir. Moins joli au résultat mais plus pratique.
    Par contre, là où je me sens limité c’est à l’explication du pet sonore. Vos pommes peut-être lisses entre elles permettraient une certaine étanchéité plus grande que lors de la présence de poils, ce qui augmenterait la pression dans votre anus du gaz. Laissant par la présager une explosité et expulsion plus grande … mummm
    Consultez une experte cher ami, je ne suis pas compétent :P

  2. #2
     
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    Libertango & Lamyss a gazouillé  :

    Être épilés nous semblent à ce point logique, érotique, hygiénique que nous avons de plus en plus de mal à envisager une quelconque interaction libertine avec ceussss et celles qui sont poilus. ^^

    Bises Mister Cui ! et à très bientôt !

  3. #3
     
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    Athena a gazouillé  :

    Waouh…Je vous ai lu jusqu’au bout! Le plus drôle c’est qu’à chaque paragraphe je me posais des questions, et à mesure vous y répondez! C’est extra!

    J’avoue, que je n’aime pas vraiment le sexe nu d’un homme, mais c’est un détail qui peut être intéressant pour une autre expérience. ;)

  4. #4
     
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    Alice a gazouillé  :

    Je pense en effet que un pubis aux poils courts et tout le reste épilé doit être une bonne solution.

    Quand est-ce que j’ai le droit de toucher ?

  5. #5
     
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    nell a gazouillé  :

    Perso je suis allergique aux pubis nu chez les hommes. Je trouve ça dévirilisant et ça me fait penser aux hardeurs.
    Pour le reste, c’est vrai que des coucougnettes lisses ou bien entretenues, c’est quand même bien plus agréable à léchouiller.
    My 2 cents ;)

  6. #6
     
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    columbine a gazouillé  :

    ah c’est donc à cause de ça le bruit de ventouse?! un mystère s’éclaircit…

    et ta femme, elle a dit quoi en te voyant?!

    perso je préfère les sexes nus aux poils pubiens, même chez les hommes.

  7. #7
     
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    Mademoiz'ailes a gazouillé  :

    Je ne voudrais pas faire ma pénible, et effectivement ça vous fait une belle… jambe, mais moi, j’aime les poils.
    Pas sur moi, hein, cependant, faisons fi de la parité.

  8. #8
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ X-Addict » Eh oui ! C’était donc ça !
    Au rasoir, ça doit être vraiment très délicat notamment dans la zone des testicules. Et puis ça doit repousser dru ! (mais, claro, c’est plus pratique, économique, et moins douloureux que l’épilation en salon).
    Pour la petite colle en méca flu, je suis déçu déçu déçu ;-)

    @ L&L » J’émets une réserve sur le côté prétendument « hygiénique » de l’épilation. J’ai même lu quelque part un gynéco qui indiquait que les poils formaient une barrière aux infections du sexe (féminin).
    Après, c’est évidemment une question de choix et comme vous pouvez le constater en commentaire, il ne fait pas l’unanimité même chez certain(e)s qui ne s’en laissent pas compter !
    Je continue pour ma part de prôner l’ouverture et la tolérance entre velus et glabres.
    (À bientôt, oui :-)

    @ Athena » Heureusement que j’ai répondu à toutes vos questions parce que ma note est déjà une sacrée tartine. Le temps de la rédiger, ça a drôlement repoussé déjà !!!
    (À quelle expérience pensez-vous ?)

    @ Alice » Tu aimes les compromis ?
    Quelle longueur, le poil pubien court ?

    @ nell » Je mets avec plaisir des two cents dans mon cochonnet. C’est bizarre, d’habitude, c’est au poil qu’on peut être allergique, pas à leur absence. Mais si je résume, ta position rejoint celle d’Alice.

    @ columbine » Ben j’ai écrit la façon dont ma femme a réagi, il me semble ! (Eh oui, cette note peut donner un éclairage supplémentaire à la note précédente ;-)

    @ Mademoiz’ailes » Ça me fait une belle jambe pleine de poils comme vous aimez, en effet ! Petite demande de précision, pour ma gouverne : vous préférez donc le sexe d’homme « au naturel » ou vous appréciez, comme Nell, leur absence dans certaines zones localisées ?

  9. #9
     
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    columbine a gazouillé  :

    ah oui, j’ai trop vite lu et pas vu le « ma » :- )

  10. #10
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Frisouline » Wééééé ! Enfin un vrai pingback !!! (C’est beau de voir que nos efforts de mise en page n’ont pas été totalement vains – néanmoins faudrait voir à comment mieux espacer les zones quand le pseudo tient sur deux lignes).

    @ mes lecteurs qui viennent via Twitter ou Topsy » Wahouuu ! Je vais devenir célèbre sur toute la toile comme étant « l’homme qui pète bruyamment en club échangiste » ! Trop la gloire ! (Je vais pouvoir ma la p… Euh j’ai rien dit.)

  11. #11
     
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    502 a gazouillé  :

    Personnellement, je relèverai l’excellent titre sibyllin du billet et la morale très formelle de l’histoire qui suggère qu’on peut avoir des couilles au cul sans avoir de poils.

    De mon côté, la chose qui m’empêche de copier bassement sur vous, ce sont les poils que j’ai sur le torse. Si mon pubis est glabre et que mon torse est fourni, ça va quand même faire un peu psychotique…

    D’où ma question : quid de votre torse ?

  12. #12
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ 502 » La question est pertinente, et c’est effectivement un des points qui me posait question avant de me faire épiler : la transition entre la zone poilue et la zone glabre ne serait-elle pas ridicule ?
    Bon, il se trouve que si j’ai (enfin, j’avais) le pubis fourni, en revanche je ne suis pas très velu du torse comme indiqué ici.
    (Le décompte officiel a été effectué il y a 15 ans et n’a pas été actualisé depuis, mes amantes sont feignantes.) et pour les jambes, la démarquation ne choque pas. Bref.

    Si je peux me permettre un conseil, tentez l’épilation sub-pubienne, voire, demandez conseil directement à l’esthéticienne qui en a vu d’autres pour vous proposer une épilation adaptée à votre pilosité. Testez au moins une fois cette douceur surprenante !

  13. #13
     
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    Agatha a gazouillé  :

    Toutes mes félicitations !!! Je suis admirative, vraiment !
    J’aimerais beaucoup amener le sujet sur le tapis. Enfin, j’aimerais beaucoup que mon homme se fasse épiler, au moins une fois, le sexe de cette façon là.

    Je ne sais pas comment m’y prendre ?

  14. #14
     
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    pateric a gazouillé  :

    Je me suis bien marré…
    Ou, « poilé » devrais-je plutôt dire ?
    Pas de « l’aventure » en soi (ou en soie de poils)
    Mais du texte en lui-même : de son humour, voire de la dérision qu’il laisse « transpirer » au travers de certains « jeux de mots subtils »,
    tel l’effet de succion produit dans l’adhésion de 2 chairs glabres,
    ou tel, « subi dans la foulée le chœur des amantes vantant les mérites de ma queue dékératinée »…
    Ce n’est sûrement pas pour que tu les repousses.
    Et puis, ce texte, c’est presque une anthologie de l’épilation, presque une chrestomathie du « lobby épilatoire »…
    Quant aux pets… Te reste plus qu’à apprendre à jouer la cucaracha en (pf)Ut. Ainsi peut-être pourras-tu aussi offrir une « oeuvre d’art » à tes amantes : un pet d’art de ton pétard !
    :-)
    Allez, va : – Bon poil, bonne bourre ! (Pas de poils, évidemment…)
    Et je pouvais pas, en plus, te souhaiter : – Bon pied, bon oeil ! Faut pas exagérer.

  15. #15
     
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    Anouchka a gazouillé  :

    Rien ne vaut mieux qu’un bon post pédagogique :-) Merci CUI ! Pour la curiosité j’aimerais bien voir ce que cela donne… mais je continuerai de me délecter des poils pubiens de mon Homme :-)

  16. #16
     
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    Succuba a gazouillé  :

    ben moi j’aime les poils.

  17. #17
     
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    secondflore a gazouillé  :

    Hé hé ! Maintenant l’Industrie du Beau te tient par les cOuilles… ;)

  18. #18
     
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    palaume.blogspot.com/ a gazouillé  :

    je n’ai jamais tenté l’épilation aussi bas.
    Nous nous sommes « amusés » sur mon torse fourni. mais la douleur est insupportable. nous avons avec Pa 2 interpretations différentes sur cela.
    pour ma part, je pense que ma peau n’est pas faite pour cela (rougeur, point blanc et rouge persistant plusieurs jours). Pa me retorque que je suis trop douillet (pas le député)
    J’ai une peau très blanche et des poils plutot sombres, donc si j’entame quelque chose de douloureux, je ferai quelque chose de définitif. parait il que ma pigmentation s’y prete bien.

    Donc aujourd’hui, c’est plutot débrousaillé (comprenez coupé court) du torse jusqu’au pubis.
    Mais ayant les jambes fournis également, j’avoue que cela me prendrait trop de temps pour tout faire.
    Quand au sexe, je rase. et n’ai jamais de probleme de repousse.

    Enfin, si j’avais le choix (de ne pas souffrir), je pense que je supprimerai tous les poils des doigts de pied au torse.

    ca existe l’epilation sous anesthesie? je serai peut etre pret a me l’offrir pour Noel.

    Laume

  19. #19
     
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    Selina Miaouuu ! a gazouillé  :

    Je vous l’avais dit et je suis contente que vous ayez cédé au chant intérieur de votre girouette perso… des sensations différentes, plus intenses, et pour sa partenaire, une envie de caresser, de lécher, décuplée.
    Bref.
    Je souris (le comble pour moi !)

  20. #20
     
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    VéroPapillon a gazouillé  :

    mdr, excellent, me suis régalée ;o)
    Je dirais que maintenant que tu as commencé à t’épiler, ben…t’es foutu, comme nous les filles ! (je parle pas que du sexe…)
    Bises de papillon au Cui courageux qui a bravé la cire et la pince à épiler, chapeau, faut le faire quand même !

  21. #21
     
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    blabla a gazouillé  :

    Ca y est ! Enfin ! Nous y sommes ! A 38 balais, je comprends enfin pourquoi j’ai du poil au S.I.F !! Pour ne pas péter sonore, mais oui mais c’est bien sûr !

    Bon, heureusement que tu es là cher Cui, pour, pendant quelques instants nous permettre de se sentir un homme (expérience intéressante) en nous décrivant si bien ce que tu ressends ! J’apprends plein de chose !

    A bientôt

  22. #22
     
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    Sud Burp a gazouillé  :

    Un cliché! Un cliché! Un cliché!

    Notre camarade et plaignante souhaiterait à titre de dédommagement d’un rêve brisé voir la version « sans poil » de votre autoportrait face au miroir!

    Un cliché! Un cliché! Un cliché!

  23. #23
     
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    mademoiselle dusk a gazouillé  :

    On déjeune la semaine prochaine ? Je connais un bon couscous avenue Kleber !

  24. #24
     
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    *in virgo veritas* a gazouillé  :

    C’est bientôt mon tour aussi…
    ;)

  25. #25
     
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    Netzah a gazouillé  :

    Intéressant ce récit détaillé ! Bizarrement je m’étais posée la question de l’érection potentielle chez l’esthéticienne (non je ne suis toujours pas un mec mais j’ai de l’empathie pour ces problèmes) et je pense que ça en freine plus d’un… C’est dommage parce que sans poil, c’est quand même sympa. Pour les femmes par contre je crois que je ne m’y ferai jamais, l’intégrale ça fait vraiment chatte de petite fille, j’aurais du mal.

  26. #26
     
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    Vallis a gazouillé  :

    ben pour la super fan des poils que je suis, j’avoue que j’ai été passablement séduite néanmoins par cette narration (surtout le passage où ça fait « Ce n’est pas tant la vue qui m’a frappée, que le toucher … pouvoir caresser sans craindre de tirer sur les poils, et puis la douceur de la peau, qu’on a envie de lécher encore et encore tellement c’est agréable, et puis aussi le fait de pouvoir lécher vraiment partout sans aucun obstacle. Définitivement hummmm… » )
    enfin disons que c’est l’évocation de cette peau toute douce et toute fine que, qui.. mais je m’égare.
    Où en étions nous ?
    ah oui, l’épilation totale ? bof. Non, quand mm, je préfère les bons gros poils bien de chez nous (fort pratiques au demeurant dans certaines circonstances, comme signalé également dans cette étude très précise)

  27. #27
     
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    FLOW a gazouillé  :

    Une étude bien documentée…
    ‘Débroussailler’ voire lisser certaines zones érogènes: oui, cela permet de ressentir différemment les caresses et les frôlements.
    Mais abandonner ma peau de bêtes: jamais !
    Il faut être « Animal de la Nature avant d’être Homme de la Société » ;-)

  28. #28
     
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    Goormand a gazouillé  :

    Bonjour cher CUI,

    Suite à notre rencontre de samedi soir, tu as donc un nouveau lecteur (Ma régularité sera malheureusement très dépendante de mon temps libre… lequel est malheureusement plus rare que mes sorties).
    Tout d’abord, félicitations d’un « confrère » pour le blog, pour sa qualité technique autant que rédactionnelle. (ça donnerai presque envie de blogger, voir la remarque plus haut…)

    Je vais me fendre de ma petite contribution sur ce billet… puisque je pratique l’épilation intégrale depuis environ deux ans et demi.
    En commençant par un avertissement : comme d’autres le font remarquer, l’essayer c’est souvent l’adopter, j’ai pu à nouveau le vérifier suite à une période d’absence de mon esthéticienne et une repousse qui m’a passablement indisposé.
    Je vois déjà poindre les remarques désobligeantes… Tu as « TON » esthéticienne, rien que ça ?

    Et bien oui il se trouve que MON esthéticienne, est toujours la même depuis ce temps, et par ailleurs, je suis son seul client pour le maillot.
    Il faut savoir que contrairement à ce que beaucoup pourraient croire, certaines esthéticiennes de salons « non spécialisés » ou encore officiant à domicile, ne sont pas nécessairement opposées à l’exercice…
    Non… elles ont surtout peur de tomber sur des détraqués ou autres morts de faim, voilà tout.
    Pour éviter ce genre de déconvenues, elles n’acceptent donc de s’occuper que des maris ou fils de leurs clientes habituelles.
    Pour les maris, la première séance peut se faire en présence de Madame, cela calme le jeu et installe la confiance, par la suite tout cela devient assez naturel.
    Madame peut poser la question à sa praticienne préférée, après tout qui ne tente rien…

    Évidemment pour les hommes seuls, ou lorsque madame n’est pas au courant, la difficulté est toute autre (vous avez remarqué ? Encore une pratique dans laquelle les couples sont privilégiés…)

    Je me suis retrouvé dans un grande partie de l’article… et notamment sur la question de l’étendue de l’épilation.
    Après avoir laissé quelques poils sur le haut la première fois, c’est mon esthéticienne elle même qui m’a dit tout bonnement : « ce serait vraiment mieux de tout enlever, on va même faire une bande sur bas du ventre et bien dégager l’aine, ce sera plus joli).
    Grâce lui en soit rendue, elle était de bon conseil…
    Il faut que je précise également que je suis très peu poilu, oserais-je même dire imberbe, et châtain clair, avec le poil peu vaillant.
    Cela facilite les choses j’en conviens…

    D’autant qu’au fil des épilations mon poil s’affine et donc la douleur n’est plus qu’un lointain souvenir.
    D’un autre coté, mon esthéticienne prend en assurance et en technique, ce qui ne doit pas y être étranger.
    Le choix de la cire est également crucial… en ce qui nous concerne elle est couleur miel et assez transparente, appliquée en fine bande, sans tissus.
    Il y avait bien eu une tentative pour utiliser une cire plus bas de gamme de couleur rose… une vraie catastrophe (il fallait la porter à une température bien pus élevée pour pouvoir la travailler et mon scrotum en garde encore un très mauvais souvenir).
    Devant mon chantage de bon consommateur, sa patronne est vite revenue à l’ancienne cire.

    Quant au fait de prendre de l’assurance, il n’est pas tant dans la technique pure, mais également dans la façon d’appréhender l’acte (si je puis dire).
    Les esthéticiennes apprennent à travailler de façon « gantée » pour les épilation intimes.
    Certaines portent peut être des gants en latex, en ce qui me concerne elle utilise avec une certaine dextérité une lingette pour protéger ceux de ses doigts qui doivent effleurer une partie intime.
    Mais j’ai constaté sur les dernières séances qu’elle s’enhardissait osant parfois prendre « les choses » un plus en main, pour encore plus d’efficacité.
    Mon absence totale d’érection dans la cabine n’y est certes pas étrangère.

    Malgré tout, en galant homme je participe à l’effort, aidant parfois à tendre la peau de telle façon ou à tenir ma verge d’une autre.
    Ce qui me vaut parfois des postures assez incongrues comme de relever la peau du scrotum, les bourses retenues par mes doigts sur la partie haute, de manière à offrir à sa main experte tout le dessous de mes jolies coucougnettes… tout en discutant du CDD de son petit copain qui n’a pas été renouvelé…
    Rien que pour cela je ne voudrais pas mettre un terme à mon épilation mensuelle J

    En tout cas messieurs, ne mourrez pas idiot, et essayez au moins une fois dans votre vie !

    J’en profite pour saluer CUI et encore plus une de ses charmantes accompagnatrices de samedi dernier, R. qui ne m’a pas laissé indifférent, oserai-je même dire troublé ?
    Ce serai un grand plaisir de la voir à nouveau…

  29. #29
     
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    petite française a gazouillé  :

    Tiens, vous me remettez en mémoire d’intéressantes conversations avec Mlle Noémie, charmante dépoileuse qui ne ménageait pas sa peine, bien que rarement, auprès de la gente masculine à la pilosité abondante.
    Il n’empêche… je persiste à penser que les poils pubiens* masculins** sont un coussinet non négligeable en cas de frottements prolongés et/ou vigoureux (ça laisse rêveur, non ? enfin bref…)(et je vous invite à regarder sur wiki la déf de « coussinet », au cas où…)
    C’est pourquoi, outre l’aspect visuel « mâle » indéniable, je préfère la version avec.
    Mais je comprend parfaitement que l’on ait envie de tenter l’expérience.
    B

    (ps * et ** pour les autres poils, c’est selon la saison, l’humeur, l’envie… bref ça dépend, sauf sur une partie très précise)

  30. #30
     
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    Goormand a gazouillé  :

    Moui… c’est un point de vue qui se défend.

    Perso je pense que l’absence de poil peut être compensée par une quantité de cyprine adéquate et que c’est encore meilleur ainsi :)

  31. #31
     
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    mademoiselle dusk a gazouillé  :

    Je me permets de résumer le débat ainsi
    « Si t’as la couille toute lisse, faut que ta copine elle glisse ». J’ai bon ?

  32. #32
     
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    brüno a gazouillé  :

    vivement la suite des opérations

  33. #33
     
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    Goormand a gazouillé  :

    Bel alexandrin…

  34. #34
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Agatha » Fais-lui lire cet article ? Hum ? Trop dangereux ?!

    @ pateric » Merci pour ton commentaire, j’aurais appris un mot en tout cas (chrestomathie) — enfin, si je m’en souviens demain (la question suivante étant : à quelle occasion le ressortir ?!).

    @ Anouchka » (Te reste plus qu’à demander une démo à une bonne âme de passage ;-)

    @ Succuba » Eh ! Cette note n’est pas un sondage ;-)

    @ secondflore » Y’a pas de raison que y’en ai que pour Nestlé-Danone.

    @ Laume » Et pourquoi garder les cheveux dans ce cas ! Sois plus radical !!!

    @ Selina Miaouuu ! » Je dois reconnaître à l’usage que ça a un côté assez fascinant ! Même moi, j’ai plus envie de caresser ;-)

    @ VéroPapillon » Bah, après tout, vous le valez bien ;-)
    (Et puis c’est pas si insupportable que ça, comme douleur.)

    À suivre…

  35. #35
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ blabla » Et par avance mes excuses si je trouble notre prochaine assemblée par quelques émissions sonores ;-)))

    @ Sud Burp » Vos revendications ont été entendues. Patientez un instant !

    @ mademoiselle dusk » Avec plein de pois chiches ? (Kleber ? Et le parvis de la Défense, alors, c’est out ?)

    @ *ivv* » On peut voir ?

    @ netzah » Tiens, ben voilà au moins un témoignage original ! D’habitude, les femmes doivent d’abord passer à la casserole (et je t’assure que je n’ai vraiment pas l’impression de coucher avec des petites filles ;-)

    @ Vallis » (Re-bienvenue ici après une longue absence !)
    Eh bien, si ce passage lu te fait un peu douter, essaye de trouver l’occasion d’essayer et puis… forge-toi ta propre opinion.

    @ Flow » Bienvenu ici, Flow !
    Eh bien, je ne suis pas d’accord avec votre conclusion : pourquoi accorder la précédence à l’état animal (d’autant qu’en lisant certains de vos récits, on voit bien que ce n’est pas vraiment ce que vous mettez en avant).

    @ Goormand » Bienvenu ici et dis donc, pour un premier commentaire, tu fais fort en entrant directement dans le top 10 des lecteurs les plus bavards ;-)
    De ton témoignage, je retiens que chacun vit finalement l’expérience au travers de ses propres envies, et de son propre rapport au corps et également de son … esthéticienne !! Nous partageons l’essentiel, divergeons sur certains quelques points et concluons de concert : faites-vous votre propre expérience !
    (Sinon, concernant R., ma foi, je ne suis pas sûr qu’elle me lise mais je lui transmettrai à l’occasion ton souvenir ému !)

    @ petite française » Je suis allé vérifier la définition de coussinet sur Wikipédia et je n’ai rien trouvé de louche, j’ai mal cherché ?!
    Concernant la partie supérieure du pubis, j’ai encore joué les girouettes (sous la pression de mon esthéticienne) et je laisse repousser (eh oui, j’en suis déjà à ma 2e séance !).

    @ Goormand » Poil versus cyprine ? Hum, je ne suis pas convaincu (et c’est encore un coup pour déporter la responsabilité sur les femmes, salaud ;-)

    @ Mlle dusk » Tu ne résumes pas le débat, mais tu paraphrases juste le dernier commentaire de Goormand ! On va graver ton néo-proverbe sur une plaquette de marbre qui fera du plus bel effet aux Chandelles.

    @ brüno » Moi, j’ai toujours eu l’œil sombre (cf. mon frontispice).

  36. #36
     
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    petite française a gazouillé  :

    Bah non… rien de louche, absolument.
    je soulignais juste que ce terme était approprié car un coussinet (qui n’est pas un petit coussin…), ça sert justement à éviter les frottements (et pour être plus précis, l’échauffement causé par les frottements)ou à favoriser le glissement.
    Je ne sais pas pour vous mais en ce qui me concerne, frottements et glissements sont généralement au programme des réjouissances.

    B

  37. #37
     
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    Goormand a gazouillé  :

    Ben c’est tout moi ça, si le sujet me plait j’en fait une tartine.
    Surement blogger dans l’âme (ah si ce ne fut si chronophage…)

    Pour le coup de la cyprine, loin de moi l’idée de déplacer une quelconque responsabilité…
    Disons que l’on peut compenser cette absence de coussinet d’autres façons !
    Par exemple, il peut êre du coté féminin (toison ou « abricot joufflu ») voir même pas de coussinet du tout !
    (J’en connais qui aiment bien quand ça claque un peu…)

    Merci d’avance pour la transmission du souvenir « ému » (avec mon email tant qu’à faire ;-)

  38. #38
     
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    pateric a gazouillé  :

    Superbe définition de Physique mécanique, que celle du coussinet de « petite française » : où, l’on retrouve tout l’art de la parfaite technique du « rôdage » (et pas que celui des soupapes)
    :-))))

  39. #39
     
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    *in virgo veritas* a gazouillé  :

    Rendez-vous est pris pour le 19…
    Je finirais l’année dénuée de tous poils ;)
    Photo(s) à l’appui peut être…
    Bien que mon expérience au rasoir à déjà été mis à nu ici :
    De chair

  40. #40
     
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    La Paresseuse a gazouillé  :

    Arrivée là par hasard ou presque, je découvre ce billet fort intéressant et plein d’humour…

    Je m’invite donc chez vous et vous lirai à nouveau. ;)

  41. #41
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ petite française » Je pense que, pour des raisons anatomiques, les femmes doivent être plus sensibles aux frottements et glissements lors du coït !

    @ Goormand » La transmission est faite mais la demoiselle est très occupée (moi même, d’ailleurs, je suis sur liste d’attente ;-)

    @ *ivv* » Des photos me paraissent être le minimum syndical.

    @ La Paresseuse » Bienvenue ici (quel joli pseudo !).
    Venez autant que vous voulez, n’hésitez pas à oublier un instant le poil (!) de votre main pour fouiller les archives.

  42. #42
     
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    AK a gazouillé  :

    Il est amusant ce blog. Je suis sortie en 2006 avec un marocain de 25 ans qui pensant me faire plaisir s’était épilé complètement, torse, pubis, etc. J’ai failli lui vomir dessus en le découvrant. J’avais la sensation d’être avec un petit garçon ou dans un mauvais porn. Donc moi, ce n’est pas mon truc du tout même si m’épiler moi complètement, je trouve cela très sexy. Mais tous les hommes contrairement à ce que l’on pense ne désire pas que leur amante soit épilée complètement, donc pas de laser. De plus, les maladies se propagent plus vite sans poils, contrairement à ce que l’on pense. Enfin, attention au poil incarné, surtout vers les fesses, on peut finir à l’hosto. Le rasage, c’est ce qu’il y a de mieux, même si c’est temporaire.

  43. #43
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ AK » Bienvenue ici et merci pour le témoignagee (et le compliment !).
    Pour info, chez moi, ça repousse très clean avec quasiment pas de poil incarné. Faut dire que je fais tout bien comme on m’a dit (avec gommage exfoliant et tout et tout).
    Le rasage, ça repousse trop dru et trop vite !

  44. #44
     
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    gambette a gazouillé  :

    ça me va au poil tous ces commentaires, ce n’est pas rasoir du tout, rien de tel qu’un homme à poil avec ou sans pour me tenir chaud, et pour avoir voulu ressentir et faire partager les soins esthétiques comme une femme, chapeau.

  45. #45
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ gambette » Si ça va au poil à la gambette, je ne peux rien ajouter ;-)

  46. #46
     
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    Samantha a gazouillé  :

    Il faudrait penser à l’épilation définitive mais elle reste relativement inefficace sur les zones de peau sombre…

  47. #47
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Samantha » Ah bon ? Pourquoi inefficace bien que définitif sur les peaux sombres ?

  48. #48
     
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    Samantha a gazouillé  :

    l’épilation définitive n’est en fait pas définitive….

  49. #49
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Samantha » Plus que les produits vanille, voilà un sujet sur lequel je compte sur vous pour m’éclairer ! Toute la lumière doit être faite.

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