Jusqu’à présent, j’étais dans la catégorie amateur.
C’est pas mal, d’être amateur. Du verbe aimer. (Une petite parenthèse, bien que l’objet ne fut pas initialement de parler de cul — chassez le naturel… — c’est peut-être justement cet amour qui fait que le porno amateur, quand il ne cherche pas à singer le porno habituel, est si bandant.)
J’étais donc, disais-je, dans la catégorie amateur, mais j’ai découvert aujourd’hui même (et je tenais à te faire part au plus vite de ma découverte, ami lecteur, parce qu’elle te concerne probablement toi aussi au premier plan) que je pouvais, pour quelques euros à peine, passer la vitesse supérieure et boxer en catégorie pro.
C’est à peine croyable mais ça se mâche sans permis.
Mais, finalement, j’ai ruminé ma décision : je préfère rester amateur.