Depuis quelques temps (mars de cette année à en croire les archives) sévit sur la burposphère un(e) dénommé(e) « Dusk » parfois sous l’appellation « Mademoiselle Dusk » et variantes.
Cette demoiselle (je ne sais pas si on peut lui laisser crédit de cette dénomination) raconte par le détail ses aventures de ce qu’il est convenu d’appeler (surtout pour un enfant des années 80 né sous de Gaulle – mais encore sur le pot sous Pompidou) une executive woman au sein du monde sans pitié du CAC 40 (sans parler du monde probablement plus terrible encore mais connu des seuls initiés du CAC 57), sans compter ses nombreuses frasques sexuelles ce qui provoque dans mon cerveau reptilien de mâle des courts-circuits mettant hors de portée toute velléité de devenir centenaire. (J’en profite pour rappeler que ça ne fait absolument pas partie de mes projets, ça tombe bien. D’où une certaine propension de ma part à chercher des endroits où me griller les neurones abondamment.)
Or, tandis que je rêvassais à l’idée de sodomiser faire connaissance avec cette charmante enfant, au volant de ma 106 Kid (n’a pas une Color Line qui veut), d’un coup mes rêves se sont effondrés (non, pas ceux de cette récente note, d’autres). Cette salope d’allumeuse mythomane n’est qu’un vulgaire taggeur de banlieue qui se la pète à peu de frais en profitant de l’anonymat d’internet pour s’inventer une vie flamboyante et faire fantasmer de pauvres crédules comme moi, naïfs, croyant encore à la bonté originelle de l’homme (et de la femme, m’enfin avec l’Ancien Testament j’aurais dû me méfier un peu plus), probablement dans l’espoir de les ridiculiser un jour d’un définitif.
— Zarma ! T’as vu comme j’lui ai niké son plan teub à c’bouffon de Meuco 1 magie !! Trop mortel !
Preuves à l’appui :
Fig. 1 : La « color line » de dusk : du gris noir et du gris foncé.
Alors, « Mademoiselle » Dusk, franchement, je ne vous félicite pas.
Mais je vais continuer à lire votre burp parce que je me marre bien quand même.