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Rasoir

On a presque envie de lire, sur cette affiche :

« Daniel Radcliffe n’est pas Harry Potter »

comme on pouvait lire sur les affiches de tel ou tel épisode de l’adaptation cinématographique de l’œuvre de Ian Flemming « Roger Moore1 est James Bond ».

Donc, pour la première fois depuis sa célébrité acquise dès ses 11 ans, le petit Daniel revient au cinéma pour incarner un autre personnage. Les plus fanatiques auront suivi qu’il était déjà sorti de son rôle de magicien à l’occasion d’une pièce de théâtre britannique où il faisait même une apparition à poil sur les planches, mais au ciné c’est une première. Bon, on va dire que les producteurs ne se sont pas aventurés très loin des sentiers battus, vu que c’est quand même une histoire fantastique (un film d’horreur, semble-t-il : j’irai po !!!), mais néanmoins on peut trouver une pointe d’audace dans le casting. Pour l’affiche de La dame en noir, il aurait au moins pu se raser, parce que là, ça ne le fait pas.

Ok, je sors.


  1. J’aime bien citer Roger Moore qui a la réputation d’être un des pires interprète de la série. Il est possible que ce soit vrai mais, plus que l’interprétation, ce sont vraiment les scénarios et les réalisations qui sont souvent exécrables – par exemple, L’homme au pistolet d’or est sans doute un des pires James Bond jamais tourné – alors que L’espion qui m’aimait est vraiment un bon James Bond – bon, c’est le tout premier que j’aie jamais vu, il est possible qu’il y ait un effet madeleine dans mon appréciation critique de cet opus.
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