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Boules et Bill

Faut-il encore présenter Bill Gates ?

Peut-être un jour faudra-t-il expliquer aux blancs-becs qui nous entoureront comment Bill Gates fit fortune en nous vendant des systèmes d’exploitation devenus légendaires pour les écrans bleus de la mort comme il faut aujourd’hui leur rappeler que Yannick Noah, avant d’être chanteur (?!), fut un célèbre tennisman (NB : il faut préciser le prénom, sinon on pourrait croire que l’on confond le tennis avec le basket et on va être traités de gâteux).

Reconnaissons à Bill Gates, outre sa clairvoyance de businessman, d’avoir le mérite de consacrer une part de sa fortune à des œuvres caritatives plutôt louables (j’avoue avoir plus de respect pour ceux qui donnent à des causes éloignées de leur quotidien que pour les pipoles qui soutiennent ou créent une association caritative parce qu’un de leur proche – parent ou enfant – souffre de telle maladie orpheline ou autre).

Très récemment, Billou (enfin William Henri Gates III) a annoncé, par le biais de sa fondation, qu’il doterait d’une bourse (sic !) conséquente (100.000$) quelques audacieux projets pour développer « la prochaine génération de préservatif ».

L’idée est de rendre les préservatifs plus pratiques et surtout plus agréables à utiliser (et, par là, d’en développer ainsi l’usage avec les bienfaits prophylactiques qu’on pourrait en attendre).

Merci, Bill ! Espérons que tout cela ne va pas malmener nos bits.


Illustration : EUGENIO RECUENCO – Dreams (1)
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