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Au gui, les bons tuyaux

Que 2017 vous apporte renouveau et bonheur
Ulf Trotzig – Arbre / rouge, ocre

L’année 2016 a été pour moi une année en demi-teinte et je crois que mon burp en a pâti. Pas beaucoup d’inspiration, pas beaucoup d’énergie pour écrire, mon élan sans doute détourné par ce que j’ai pu vivre par ailleurs, en particulier côté professionnel (qui est un sujet que j’évite autant que je peux sur ces pages).

Oh ! Je ne dirai pas que 2016 aura été une année de merde même si elle fut agitée par toute une série d’événements dramatiques (je ne parle pas de la disparition de personnalités fussent-elles d’exception, la faucheuse fait son travail chaque année) : le terrorisme international (j’en profite pour rappeler que la France n’est pas, et de loin, le pays qui paye le plus lourd tribut) qui ouvre la voie rapide à toutes les démagogies, la situation géopolitique qui tourne à l’aigre presque partout (Syrie, Turquie, Irak, Brexit en Grande-Bretagne, « crise des migrants » en Europe et Trump aux USA…), le Waterloo du socialisme au niveau national (je n’arrive toujours pas à voir sur la scène politique française qui pourra porter mes idées à la Présidentielle – et a fortiori quelqu’un en la victoire duquel je pourrais croire), je me suis recroquevillé égoïstement sur mon nombril.
Pour mon nombril, si l’année 2016 n’a pas été un désastre, ça n’a pas non plus été l’année où je me serai le plus épanoui (et pourtant, vous savez que c’est ce que j’aime à vous souhaiter chaque année : de l’é-pa-nou-isse-ment). Sur plusieurs tableaux, elle apparaît, maintenant que je la referme, comme une année de transition, année pendant laquelle la suite s’est lentement mise en place. Et le changement, c’est maintenant ! Le seul « problème » étant que je ne sais pas trop bien ce qui m’attend.

Alors, vous l’aurez compris, les vœux que je formule sur cette belle œuvre d’Ulf Trotzig sont exactement ce que je me souhaite (on n’est jamais si bien servi que par soi même) !
Mais je ne doute pas qu’ils vous parlent aussi. Merci, ami lecteur, de m’accompagner sur ce chemin ! Que l’année 2017 te sourit et que, dans 365 jours, entre toutes les merdes et les bonheurs qui te seront immanquablement tombés dessus, le tableau soit joli dans le rétroviseur !

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