Ce matin, tandis que je conduisais aussi paisiblement que possible mon véhicule dans une artère de banlieue bouchée pour cause probable de rentrée scolaire, j’ai aperçu dans la rue un noir atteint d’une maladie de peau qui faisait apparaître sur son visage de vilaines larges tâches de peau dépigmentée, rosâtres en somme, ce qui évidemment se voyait plus encore que le nez au milieu de la figure compte tenu de son teint sombre.
Immédiatement, mon esprit sur cette remarque que je me fais depuis un moment selon laquelle la race noire (bon, je sais, chacun des trois mots de ce syntagme est sujet à interminables polémiques, mais si je ne peux pas faire un peu de provoc’ dans mon burp’, autant aller élever des chèvres dans le Larzac, et je dis ça en prenant le risque de provoquer une polémique au sujet de José Bové, ce dont je me garderais bien, de risque de glisser sur le terrain savonné de la gauche noniste, qui m’entraînerait immanquablement à batailler sur les querelles internes du PS, le rôle des médias, la coupure de publicité dans les films de TF1, la suprématie de Google sur Yahoo, on ne s’en sortira pas) est supérieure à toute autre race, particulièrement chez les hommes (j’entends les mâles : qu’on ne me reproche pas de sous-entendre que les noirs ne seraient pas des Hommes, hein, pas de polémique j’ai dit).
Non pas parce que les hommes noirs en ont une plus grosse, ou qu’ils ont le sens du rythme, ou qu’ils sont meilleurs pour courir le 100 mètres ou être vigile dans les supermarchés. Non, aucune de ces fadaises.
Tout simplement parce que lorsque l’heure vient où point chez le mâle l’alopécie, ces enfoirés de noirs restent beaux, ou aussi moches qu’avant (y’a une justice), car leur crâne est quasiment raccord avec leurs cheveux, quoi que légèrement plus luisant (cf. illustration ci-dessous).
Et l’alopécie est salement plus répandue que les dermatoses.