Il y a pratiquement deux ans jour pour jour, je parlais d’une promesse de Kayser Sözy (dont on peut constater, arrivée à échéance, qu’elle était – évidemment – fausse) et, incidemment, du chanteur Enrico Macias dont je me demandais ce qu’il allait devenir.
Eh bien le voilà durement frappé par la crise financière, suite à un prêt de plusieurs dizaines de millions d’euros (une paille !) effectué pour être réinvesti dans une assurance vie, avec sa villa dans le Sud de la France prise comme caution, le tout couronné par la faillite d’une banque islandaise dans laquelle avait investi la banque luxembourgeoise qui avait consenti le prêt (si j’ai bien compris).
Bref ! Pauvre petit Enrico qui porte plainte pour abus de confiance mais qui, dans cette affaire, ne suscite en moi pas la moindre compassion.
J’aime beaucoup le contraste entre ses chansons pleines de générosité et ses boursicotages à 8 chiffres avant la virgule (oui Mémé, ça chiffres en milliards d’anciens Francs !), un peu comme ces chanteurs pédés qui chantent en clip leur amour des femmes.
Comme le chantaient les Civils,
— La crise économique, c’est fantastique !