En provenance de la cuvée PostSecret hebdomadaire toute fraîche, ces deux secrets que je voudrais vous glisser à l’oreille.
Il est des cornichons dont on devient dépendante bien plus facilement qu’on l’imagine.
Changeons de sujet avec ce deuxième secret.
Je n’aurais sans doute pas eu l’imagination pour illustrer ce secret avec des nonnes (après tout, peut-être est-ce une nonne sans imagination qui a envoyé cette carte), et d’ailleurs ce secret n’est pas mon secret, parce qu’avant de le lire, je n’aurais jamais formulé l’idée d’attendre mes 80 ans (d’autant que je voudrais crever plus tôt), mais cela résume bien mon état d’esprit.
J’aimerais bien tester les amphétamines, par exemple. Mais j’ai la trouille.