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(Humeur du jour et de la nuit) #9

Je n’ai pas besoin de plus. Ton pull à même la peau, ton sexe qui m’attend.

 

Oui, peut-être est-il effectivement préférable que ta main cache ton sexe. Sans elle, je verrai certainement ta mouille dégouliner. Je ne crois même pas que tu aies honte d’être aussi excitée par les fessées que je t’administre.

Quel dommage que tu ne puisses pas dire ce que tu penses de ma queue plantée dans ton cul. Pour l’instant, elle bouge à peine pendant que je branle ton clitoris. Dans un instant, je saisirai chacune de tes cuisses pour m’enfoncer vite et profond en toi. Un peu de mon écume coulera de ma bouche et viendra mouiller ta cuisse droite. Je n’ai même pas besoin de bâillon-boule pour baver, tu vois !
Oui, c’est un peu acrobatique, l’équilibre semble précaire. Mais bientôt nos emboîtements coulisseront comme les bielles d’une locomotive à vapeur et nos cris à tous les trois empliront la pièce…

 

 

Remets tes bas, s’il te plaît. Je veux sentir le nylon frotter sur ma queue quand tu me branleras avec tes pieds.

 

Tu vois, il n’y avait besoin que d’une noisette de gel et c’est entré tout seul. Maintenant, branle mon cul et approche ta bouche. C’est au fond de ta gorge que je voudrais gicler.

 

 

 

Promenons-nous dans les bois, Pendant que le loup n’y est pas. Je suis conne ! C’est toi, le loup ! Tu veux bien te dépêcher de me baiser, maintenant, ça va bien faire une heure que je n’ai pas senti ta bite au fond de ma chatte et ça commence à faire long.

 

 

— Tu ne vas quand même pas déchirer ce truc. Tu sais combien ça m’a coûté ? — Tu es si belle que tu ne te rends pas compte qu’aucun portefeuille ne peut contenir ce que tu viens de me faucher.

 

 

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