Je suis donc allé voir, en 3D s’il vous plaît, Love de Gaspar Noé avec, je dois l’avouer, un a priori négatif, qui s’est malheureusement transformé en a posteriori négatif.
Sur le comment et le pourquoi, je vous invite de lire mon avis en commentaire chez une Gaspard beaucoup plus aimable, ma blogueuse aux seins pâles préférée. Ce sera l’occasion de lire également sa critique à elle, puis de vous égarer dans ses chants de Bilitis…