
Je suis donc allé voir, en 3D s’il vous plaît, Love de Gaspar Noé avec, je dois l’avouer, un a priori négatif, qui s’est malheureusement transformé en a posteriori négatif.
Sur le comment et le pourquoi, je vous invite de lire mon avis en commentaire chez une Gaspard beaucoup plus aimable, ma blogueuse aux seins pâles préférée. Ce sera l’occasion de lire également sa critique à elle, puis de vous égarer dans ses chants de Bilitis…
Même la scène du trio m’a irrité, parce qu’on voit bien que ni les deux femmes, ni le réalisateur, ne sait ce qu’elles pourraient bien se faire entre filles. Des bisous, des caresses, mais c’est tout.
Bon, c’est pas irréaliste, ce n’est pas parce qu’on fantasme sur les relations lesbiennes qu’on sait quoi faire une fois sur place. Mais bon, c’est un film, pas la réalité.
Je n’ai pas été voir ce film, parce que Gaspar Noé m’emmerde prodigieusement, un ado acariâtre qui est persuadé d’avoir tout révolutionné dans son domaine, merci j’en ai plusieurs à la maison… !