L’arrivée tardive mais ferme du soleil dans ce mois de mai où, couvre-feu et pandémie obligent, on ne fait pas tout à fait ce qui nous plaît, me rend gai, souriant et partouzard.
L’arrivée tardive mais ferme du soleil dans ce mois de mai où, couvre-feu et pandémie obligent, on ne fait pas tout à fait ce qui nous plaît, me rend gai, souriant et partouzard.