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Puits à souhait (août 2006)

La cuvée des mots-clés d’août 2006 n’a pas été fameuse fameuse…

J’inaugure ce mois-ci une nouvelle méthode pour la mise au point de cette rubrique : j’ai ponctionné régulièrement dans les statistiques les mots clés indiqués au hit-parade (la pratique montrant que certains de ces mots-clés disparaissent dans le puits de l’oubli électronique), puis j’ai bidouillé les pourcentages correspondants pour arriver à quelque chose de pondéré et on arrive au résultat suivant.

 

En tête des requêtes, comme une évidence, les requéquettes que je vous livre ici par intensité décroissante. On notera que le fétichisme constitue une bonne part du gâteau. On pourra juger orienté de ma part de faire figurer dans cette liste-ci des mots comme « collants » qui ne sont pas à eux seuls particulièrement pornographiques, mais je soupçonne les intensions vicelardes de mes concitoyens (par identification bien sûr).

 

Viennent ensuite quelques requêtes désormais habituelles, mes petits chouchous que je bichonne pour qu’ils reviennent chaque mois :

  

Les nouvelles notes m’ont évidemment apporté de nouveaux visiteurs ; l’histoire ne dit toujours pas s’ils furent heureux de leur atterrissage ici bas.

 

Quelques requêtes autour de mon burp :

 

Et puis il y a les requêtes incongrues, celles qui nous font rire quand on surveille nos stats, et là, je te demande, ami lecteur, une attention toute particulière en ce qui concerne la première arrivée qui me remplit de circonspection :

 

Bon, eh bien maintenant, roulements de tambours pour savoir dans tout ce Q-pharnaüm quelle requête sera exaucée par l’auguste puits à souhaits… ra ta ta ta ta….

L’heureuse requête gagnante du mois est
«  Culs de garçons ou homme ».

 

Oui je sais ami lecteur que tu es déçu par ce choix et que tu attendais Comment faire une boucle à fond de fouille, mais d’une part je suis d’humeur libidineuse ces temps-ci, d’autre part je rédige cette note en mode offline, c’est-à-dire en l’absence de toute connexion Internet et donc sans moteur de recherche pour me documenter sur ce mystérieux à fond de fouille dont je ne peux rien vous dire. J’aurais pu faire semblant de connaître, tu n’y aurais sans doute vu que du feu (vois comme je suis présomptueux de t’imaginer aussi ignorant que moi), mais à la prochaine requête qui aurait échoué sur mon site, j’étais sûr de me retrouver avec les faiseurs de boucle à fond de fouille furieux pétant un scandale, lançant une pétition, provoquant une panne de mon site avec une attaque D.O.S. et tu te serais retrouvé bien emmerdé quand ton navigateur te renverrait Error 404. Je choisis donc, contrairement aux apparences, la voie de la sagesse.

 

Attend-on généralement les mêmes qualités des culs mâles et des culs femelles ?

Le cul d’une femme qui a un beau cul est-il comparable au cul d’un homme qui a un beau cul ? Sait-on distinguer facilement le cul d’un homme de celui d’une femme (il me semble qu’il y avait un photo-test qui circulait sur Internet sur ce sujet, sur le modèle de « reconnaîtrez-vous les faux seins des vrais seins ? ». L’adjectif callipyge (du grec kalli : joli et pyge : fesse) désigne habituellement une femme bien en chair ayant de plutôt grosses fesses. Ce qui ne correspond plus exactement au canon de beauté actuel de notre civilisation européenne (alors qu’il y a deux siècles, ou en Afrique, l’opulence fessière est/était vivement appréciée).

Personnellement je n’ai rien contre des fesses rebondies pour peu qu’elles aient une certaine fermeté. À cet égard, les fesses de P*** sont une merveille pour la levrette ou la fessée. Je m’étonne de ne l’avoir toujours pas enculée depuis le temps qu’on se connaît. Mystère. Je pourrais dire « les voies du seigneur sont impénétrables » mais ce serait un peu facile. Remarque, je ne recule pas souvent devant la facilité, dont acte.

É*** a également des fesses rebondies mais qui remontent vers une taille plus fines, et c’est également source d’un grand plaisir tactile et visuel.

 

Pour les garçons, qui ne sont pas formés comme les filles, de grosses fesses sont hélas souvent synonymes de grosseur généralisée, et, personnellement, je ne suis pas gaga du gars gras. Des jolis culs de garçons ou homme devront donc être musclés, voire dessiner des fossettes que l’on pourra caresser des yeux ou des mains, éventuellement s’amuser à y verser un peu de liquide (de l’eau ou de l’alcool) qu’on viendra lapper. Le joli cul mâle se prête également à la fessée, et mesdames, ne réservez pas à ces messieurs le plaisir d’enculer un joli cul de mâle. Il existe en vente libre (quoi que surveillée) une large gamme d’accessoire destinées à vous assister dans la tâche.

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