- Un scénario impeccable : une histoire que l’on suit accroché à son fauteuil, où les personnages valsent ensemble dans une chorégraphie parfaite. Le jeu entre les relations de chacun avec chacun, c’est du billard. Je pense que je ne vais pas tarder à me procurer le roman graphique dont le film est issu pour le comparer avec ce qu’en a fait Frears.
- Un casting non moins impeccable : des deux petites pestes d’ado à la rock star au look Princier (M’zelle Dusk, c’est pour vous !), de l’écrivain intello américain au jeune homme de ferme très L’amant de Lady Chatterley, sans oublier évidemment la croquante Tamara Drewe (notre illustration), chacun apporte avec talent sa pierre dans l’édifice du réalisateur britannique.
Je n’en dis pas plus : c’est drôle, c’est touchant, les maris adultères en prennent pour leur grade (oups ! c’est vache !), c’est pétillant et c’est exactement ce dont j’avais envie au cinoche en ce moment ! Courez-y (si ce n’est pas déjà fait) !