Il me suffit de quelques secondes à son contact pour sentir mon sexe se déployer, piaffant déjà d’impatience.
Plus tard, je regarderai ma tige longue et droite glisser dans ton cul, presque surpris de son aspect si régulier, piston de chair, comme poli à force de coulisser dans tes gorges cylindriques.
Comme une fleur qui se déplie sous les rayons du soleil, chacun de tes orifices s’ouvre pour m’accueillir. C’est ta gorge, quand tu me suces, qui m’avale au plus profond m’arrachant à chaque bouchée un tressaillement de plaisir. C’est ton cul qui ne s’étonne même plus des assauts répétés du dragon à la tête grenat, le cajole, l’amadoue si tendrement qu’en fait de feu, ce n’est que du lait qu’il crache. Ou c’est ton sexe, grotte plus que jamais humide dont j’explore le relief secret de mes doigts inquisiteurs ; ta main qui descend jusqu’à la mienne, qui l’entoure et se rend à l’évidence : ce sont bien quatre doigts entiers, jusqu’à la paume, qui se sont engouffrés et te baisent.