Un peu de mal à trouver le sommeil en ce moment malgré la fatigue qui s’accumule. Tout ce week-end, alors que j’avais toute latitude pour me lever quand bon me semblait, pas moyen de dépasser les sept heures de sommeil. Lundi, j’ai veillé jusqu’à 1 heure du matin, pour la bonne cause (on en reparle dans quelques temps, ami lecteur) et hier soir, j’ai tenté d’être raisonnable. J’ai décidé d’aller me coucher vers 23 heures. Je me suis effectivement dirigé vers le lit une heure plus tard. Et ensuite, je me suis retourné comme une crêpe dans le lit pendant 1 h 40 (dernière heure mémorisée) avant de lâcher l’affaire. Vers 4 heures, je me réveille avec une envie de pisser à assouvir sur le champ. Soit. Je crains le pire quant à ma capacité à retrouver le sommeil mais quinze minutes plus tard, je disparais au pays des rêves.
Au réveil, ce lourd tribut versé à mon équilibre psychique ne me paraissait pas cher payé en comparaison avec le splendide rêve qui avait peuplé ma deuxième partie de nuit…
J’ai fait un rêve absolument délicieux où il n’était question que de sexe (mais où je ne baisais absolument pas : la plupart de mes rêves érotiques sont plus soft qu’un téléfilm de fin de soirée sur TMC). Les détails, ce soir, m’échappent déjà (j’ai une très mauvaise mémoire de mes rêves) toutefois, je me souviens de la trame : une de mes amantes (NB : aucun visage connu n’apparaissait dans ce rêve ; il s’agissait donc d’un concept d’amante) m’avait organisé mon anniversaire surprise.
Je vous rappelle le concept de l’anniversaire : un maximum de nanas dévouées à mon seul plaisir. Je voulais m’organiser cette petite gâterie puissance 10 l’année dernière, mais de compliqués enchaînements de circonstances ont fait que j’ai renoncé. Provisoirement.
Donc, sachez-le, je compte toujours l’organiser et je réfléchis à un créneau qui conviendrait. Ce serait probablement en mars. N’hésitez pas à me faire signe par tous les moyens à votre disposition si vous êtes tentée, amie lectrice (ami lecteur, pour le coup, tu passeras ton tour). Enfin… on en reparlera.
Là où mon rêve était – en toute modestie – génial, c’est que se cumulaient le concept d’anniversaire (enfin, mon concept d’anniversaire : une sorte de rêve de pacha avec son harem d’une nuit) et celui d’anniversaire surprise (on ne m’a jamais fêté d’anniversaire surprise – faut dire que j’ai tendance à n’en pas oublier la date). C’était absolument délicieux. Je ne peux absolument pas vous raconter de détails alléchants puisque, comme dit plus haut, il n’y en avait aucun. C’était juste délicieux dans ma tête.
Du coup, je me suis réveillé avec la banane (je parle de celle qui s’affiche sur le visage) et l’envie réaffirmée de l’organiser, cet anniversaire.
2014, année de l’anniversaire (y a pas de rime).