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Bande d’enculées !

Dessin représentant une femme, sur le flanc, se caressant et souriant à l'homme qui la sodomiseAlors que je discutais sodomie (un sujet inépuisable) avec une de mes correspondantes Twitter qui semblait particulièrement apprécier cette pratique au point d’en jouir au-delà (en termes d’intensité) des orgasmes apportés par d’autres types de stimulation (clitoridienne, vaginale…). Non, il ne s’agit pas de Marie Tro mais je vous invite au passage à lire un de ses billets sur le sujet pour admettre que les femmes anales existent.
Elles existent, mais elles sont rares, disais-je justement à cette correspondante.
Alors qu’on voit régulièrement passer des sondages sur le nombre de Français et de Française ayant pratiqué jamais / occasionnellement / régulièrement la sodomie, on trouve moins facilement des chiffres sur qui aime ça ou pas.

Je me suis dit : et si je regardais un peu ce que ça donne chez les femmes que j’ai moi-même rencontrées ? Il s’agit évidemment d’un échantillon non représentatif de la population ! D’abord parce que trop petit (contrairement à ce que d’aucuns imaginent, je n’en suis pas à mille e tre), ensuite parce que je suis assez convaincu que les femmes que je rencontre ont une sexualité plus libérée que la majorité des Français(es), sans quoi elles ne me rencontreraient sans doute pas.

Même si on pourrait aller un peu plus finement dans la granularité du classement, j’ai considéré qu’il y avait trois types de relation à la sodomie :

  1. Les femmes qui n’aiment pas ou ne veulent pas la pratiquer (qu’elles aient déjà essayé ou non : soit en raison de tabou, soit parce qu’elles trouvent la pratique douloureuse1 ou pour toute autre raison).
  2. Les femmes qui pratiquent la sodomie mais n’en tirent pas d’autre plaisir que celui d’offrir leur cul à leur partenaire.
  3. Les femmes qui apprécient la sodomie et la pratiquent volontiers, voire la réclament2.

J’ai donc passé en revue la liste de mes partenaires passées et présentes et je les ai placées dans une de ces catégories en ajoutant une quatrième : NSP3 tout simplement quand je ne savais pas, au moment où j’ai eu une relation avec ses femmes, si elles aimaient ou pas, soit parce que quand je les ai rencontrées, je ne pratiquais moi-même pas la sodomie (j’avais 31 ans lors de ma première fois), soit parce que l’occasion ne s’est pas présentée.

Il en résulte deux tableaux.

Le premier inclut ces fameux « NSP » :

NSP 31%
Non 22%
Mouais 15%
Ouiiiiiii ! 31%

Ce qui fait :

Le second tableau ne tient compte que des partenaires pour lesquels je pense savoir où les classer. Après ce filtrage, les résultats sont assez surprenants à mes yeux et me semblent en tout cas très éloignés de ce qui doit être « la réalité du terrain » (d’ailleurs, moi-même, j’ai du mal à y croire).

Non 33%
Mouais 21%
Ouiiiiii ! encore ! 46%

Un tiers n’aime pas, les deux autres tiers pratiquent et près de la moitié de mes amantes s’étant prononcées sur le sujet seraient des farouches partisanes de la pratique : tant mieux.

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Quelques remarques complémentaires :

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Amis lecteurs, amies lectrices, vous comprendrez bien que c’est à votre tour de prendre la parole sur ce sujet douloureux inépuisable !


  1. Je ne compte pas ouvrir ici le sujet sur « les best practices pour une sodomie sans douleur » ni « comment faire aimer la sodomie à une femme qui n’aime pas ça », je compte juste parler d’une situation à un moment donné de la vie d’une femme, ce moment étant celui où elle me rencontre !
  2. Ici, on mériterait d’aller encore un peu plus loin dans l’analyse en parlant du rapport orgasmique avec la pratique anale : celles qui aiment mais sans jouir, celles qui jouissent mais avec une autre stimulation conjointe – essentiellement clitoridienne –, celles qui jouissent d’une stimulation purement anale, et pour finir, celles qui placent le plaisir anal au-dessus de tous les autres, ce Graal !
    Mais contentons-nous de ces trois degrés
  3. Ne Sait Pas.
  4. Pour ma part, je n’ai pas encore découvert l’orgasme prostatique mais je ne désespère pas. Il faut dire que je suis un pratiquant trop occasionnel, par manque de partenaires tenté(e)s par l’assaut de mon cul.
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