[1218] Bande d’enculées !

Dessin représentant une femme, sur le flanc, se caressant et souriant à l'homme qui la sodomiseAlors que je discutais sodomie (un sujet inépuisable) avec une de mes correspondantes Twitter qui semblait particulièrement apprécier cette pratique au point d’en jouir au-delà (en termes d’intensité) des orgasmes apportés par d’autres types de stimulation (clitoridienne, vaginale…). Non, il ne s’agit pas de Marie Tro mais je vous invite au passage à lire un de ses billets sur le sujet pour admettre que les femmes anales existent.
Elles existent, mais elles sont rares, disais-je justement à cette correspondante.
Alors qu’on voit régulièrement passer des sondages sur le nombre de Français et de Française ayant pratiqué jamais / occasionnellement / régulièrement la sodomie, on trouve moins facilement des chiffres sur qui aime ça ou pas.

Je me suis dit : et si je regardais un peu ce que ça donne chez les femmes que j’ai moi-même rencontrées ? Il s’agit évidemment d’un échantillon non représentatif de la population ! D’abord parce que trop petit (contrairement à ce que d’aucuns imaginent, je n’en suis pas à mille e tre), ensuite parce que je suis assez convaincu que les femmes que je rencontre ont une sexualité plus libérée que la majorité des Français(es), sans quoi elles ne me rencontreraient sans doute pas.

Même si on pourrait aller un peu plus finement dans la granularité du classement, j’ai considéré qu’il y avait trois types de relation à la sodomie :

  1. Les femmes qui n’aiment pas ou ne veulent pas la pratiquer (qu’elles aient déjà essayé ou non : soit en raison de tabou, soit parce qu’elles trouvent la pratique douloureuse1 ou pour toute autre raison).
  2. Les femmes qui pratiquent la sodomie mais n’en tirent pas d’autre plaisir que celui d’offrir leur cul à leur partenaire.
  3. Les femmes qui apprécient la sodomie et la pratiquent volontiers, voire la réclament2.

J’ai donc passé en revue la liste de mes partenaires passées et présentes et je les ai placées dans une de ces catégories en ajoutant une quatrième : NSP3 tout simplement quand je ne savais pas, au moment où j’ai eu une relation avec ses femmes, si elles aimaient ou pas, soit parce que quand je les ai rencontrées, je ne pratiquais moi-même pas la sodomie (j’avais 31 ans lors de ma première fois), soit parce que l’occasion ne s’est pas présentée.

Il en résulte deux tableaux.

Le premier inclut ces fameux « NSP » :

NSP 31%
Non 22%
Mouais 15%
Ouiiiiiii ! 31%

Ce qui fait :

  • Un petit tiers que je n’ai pas sondées (ah ah) ;
  • Un petit quart qui ne veut pas en entendre parler ;
  • 15 % qui se laissent sodomiser par bonté de cœur ;
  • Un dernier petit tiers qui en redemande.

Le second tableau ne tient compte que des partenaires pour lesquels je pense savoir où les classer. Après ce filtrage, les résultats sont assez surprenants à mes yeux et me semblent en tout cas très éloignés de ce qui doit être « la réalité du terrain » (d’ailleurs, moi-même, j’ai du mal à y croire).

Non 33%
Mouais 21%
Ouiiiiii ! encore ! 46%

Un tiers n’aime pas, les deux autres tiers pratiquent et près de la moitié de mes amantes s’étant prononcées sur le sujet seraient des farouches partisanes de la pratique : tant mieux.

✦✦✦

Quelques remarques complémentaires :

  • J’ai lu récemment les résultats d’une étude anglaise, portant sur des jeunes filles, et montrant que beaucoup d’entre elles pratiquaient sous la contrainte (directe de leur partenaire, ou indirecte, pour ne pas passer pour des prudes). Et, d’ailleurs, elles ont souvent mal.
    C’est bien fâcheux, car cela ne leur donnera pas bien envie d’approfondir et contribuera à la mauvaise réputation de cette pratique qui, effectivement, peut faire mal quand les précautions d’usages ne sont pas respectées.
  • Il va de soi que ce qui vaut pour les femmes vaut pour les hommes, pour qui la zone anale est tout autant érogène (sinon plus, grâce à la prostate4)
  • Je voudrais aussi rappeler que la sodomie reste une pratique particulière car porteuse de beaucoup connotations. Par exemple, certaines personnes la considèrent comme une pratique sale (trou du cul = caca) donc dégradante ou avilissante. D’autres l’associent à une pratique impliquant la soumission (ce qui peut se vivre comme ça, mais pas forcément), probablement à cause de la douleur qui peut lui être liée.
    Je me souviens d’une amante qui m’avait demandé de la sodomiser lors de notre première nuit ensemble, et qui, des années plus tard, m’avait dit qu’un homme lui avait « ouvert les yeux » sur cette pratique qui n’était destinée qu’à affirmer l’emprise des hommes sur les femmes (en gros : on les enculerait pour les dominer et pas parce que c’est agréable). Non mais quel gros connard, celui-là !

✦✦✦

Amis lecteurs, amies lectrices, vous comprendrez bien que c’est à votre tour de prendre la parole sur ce sujet douloureux inépuisable !


  1. Je ne compte pas ouvrir ici le sujet sur « les best practices pour une sodomie sans douleur » ni « comment faire aimer la sodomie à une femme qui n’aime pas ça », je compte juste parler d’une situation à un moment donné de la vie d’une femme, ce moment étant celui où elle me rencontre !
  2. Ici, on mériterait d’aller encore un peu plus loin dans l’analyse en parlant du rapport orgasmique avec la pratique anale : celles qui aiment mais sans jouir, celles qui jouissent mais avec une autre stimulation conjointe – essentiellement clitoridienne –, celles qui jouissent d’une stimulation purement anale, et pour finir, celles qui placent le plaisir anal au-dessus de tous les autres, ce Graal !
    Mais contentons-nous de ces trois degrés
  3. Ne Sait Pas.
  4. Pour ma part, je n’ai pas encore découvert l’orgasme prostatique mais je ne désespère pas. Il faut dire que je suis un pratiquant trop occasionnel, par manque de partenaires tenté(e)s par l’assaut de mon cul.

29 gazouillis sur “Bande d’enculées !”  

  1. #1
     
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    Lisbeth a gazouillé  :

    Pour ma part cela reste une pratique beaucoup plus occasionnelle que les autres, mais toujours faite avec plaisir et envie. Je n’ai jamais offert mon cul à un partenaire juste pour lui faire plaisir mais bien parce que je partageais avec lui cette envie.
    Quant à la jouissance, il m’est arrivé de jouir de la stimulation anale seule, d’une double stimulation, voir quelquefois de ne pas jouir du tout. Et il est vrai que la jouissance n’est pas la même que la clitoridienne ou la vaginale. Voilà pour ma modeste contribution à vos statistiques cher CUI ;)

  2. #2
     
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    Chipie a gazouillé  :

    Les premières fois, c’était autant par curiosité assez insatiable (deuxième trimestre de grossesse et des hormones encore plus débridées que la moyenne…) que pour faire plaisir à mon mari…dont je doute que ça lui ait plu tant que ça au final. Pareil pour moi. J’ai attendu 3 ans et un autre partenaire pour recommencer. Certes, nous ne le faisions pas systématiquement mais c’était toujours avec envie de ma part et les jouissances arrivaient par stimulation clitoridienne simultanée. Mais certaines sensations étaient quand même démultipliées. Voilà ma contribution…et à l’ouest, rien de nouveau comme qui dirait :-)

  3. #3
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Lisbeth » C’est vrai que je n’ai pas abordé ici l’angle de la fréquence de la pratique. J’ai, pour ma part, des amantes avec qui ça sera systématique, ou quasi, en raison du plaisir pris tous les deux (le plaisir que prend ma partenaire à se faire enculer est primordial dans le plaisir que je peux y prendre moi-même), d’autre avec qui ça sera occasionnel et d’autre avec qui c’est tout simplement jamais. Mais dans le cadre d’une relation de couple, c’est autre chose.

    @ Chipie » Tu soulèves un autre sujet (que j’ai volontairement écarté de cette note) qui concerne l’apprentissage du plaisir lié à cette pratique. J’ai quelques témoignages de femmes qui annoncent avoir pris du plaisir dès la première fois, mais c’est une minorité.

  4. #4
     
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    dita a gazouillé  :

    J’aime bien que ça soit occasionnel.Et ça ne me viendrait pas à l’idée de le faire par plaisir ou alors c’est que je suis amoureuse. et encore, j’ai dans ce cas envie.
    C’est vrai que c’est un plaisir à part avec des sensations que je ne retrouve pas ailleurs. J’aime!!!! mais bizarrement quand je le réclame c’est plus parce que je veux être en osmose et donc l’accueillir au plus profond de moi ( en l’écrivant je me dis que c’est bizarre parce que je pourrais penser que mon vagin est le plus profond de moi alors que non je pense que c’est mon cul… bref!)et pas pour le plaisir physiologique. Celui ci vient après au moment de l’acte.
    et puis rien que de demander ça, ça fait grimper l’excitation au plafond et l’orgasme est déjà presque là sans avoir rien fait.
    ^_^

  5. #5
     
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    l'onirique a gazouillé  :

    ah la sodomie!

    c’est cool de parler des femmes qui aiment, pratiquent, prennent plaisir! parce que je sais pas si c’est la période estivale ou ma tendance à me sentir extra terrestre mais qu’est ce qu’on entend sur celles qui aiment pas, et sur ce qui montre bien que la vraie vie c’est pas du porno..

    bref..
    la sodomie a toujours eu une grande place avec mon Maître.
    je jouis plus intensément que par les autres voies. (à la reflexion les quelques fois où il y a stimulation du clitoris c’est moins bien. par contre jaime toucher mon ventre pour sentir son sexe de « l’exterieur » aussi!)

    chez nous c’est tres frequent et c’est un peu plus souvent que par la voie conventionnelle. (à des fins statistiques ns sommes desormais sous le meme toit :D)

  6. #6
     
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    Lilou a gazouillé  :

    Premièrement, se « forcer » en terme de sexe est complètement idiot et tu as totalement raison, c’est le meilleur moyen pour ne jamais recommencer la manœuvre!!

    Ensuite, tu commences un peu à connaitre nos pratiques ^^ Je dois avouer que j’ai réellement découvert le plaisir anal avec mon homme! C’est ainsi que les sodomies sont très fréquentes car nous adorons ça et que nous nous offrons ce petit plaisir mutuellement….

    La sodomie féminine est un sujet tabou et ne parlons même pas de la sodomie masculine!!

    J’ai beaucoup aimé tes petites stats!

  7. #7
     
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    Marietro a gazouillé  :

    Ceci dit, je me sens assez gauche à pénétrer les hommes de cette manière. J’ai bien trop peur de leur faire mal. Avec mon doigt (et du super gel silicone), je suis plus assurée car je sens les mouvements, les rejets ou l’accueil des entrailles de mon partenaire. Mais avec un objet, je perds ces sensations. Et puis je n’ai peut-être pas le bon outil. Il faut que j’étudie plus la préparation. Vous me donneriez des cours de préparation à la pénétration ?

    (Merci pour le lien vers mon post)

  8. #8
     
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    Miss Flo a gazouillé  :

    J’ose … Il a attendu 12 ans de vie commune avant que j’accepte la sodomie. Patient tout de même :) Et maintenant, je dois dire que j’apprécie. Le déclic s’est fait en papotant sur un forum d’avertis en plaisirs et en bavardant avec d’autres femmes qui découvraient aussi.
    Maintenant, nous pratiquons soit sur sa demande, soit sur la mienne dans la bonne humeur et le plaisir qu’elle peut procurer.

  9. #9
     
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    Zoumpapa a gazouillé  :

    Bon mon comment est un peu hors sujet mais je suis tout de même étonné – quoique non finalement, vu le côté ingénieur méticuleux qui transpire de tes textes – bref je disais être étonné par le fait que tu ais forcément noté scrupuleusement les identités et goûts de chacune de tes amantes (ou alors tu disposes d’une mémoire prodigieuse, ce qui est encore possible bien entendu).

  10. #10
     
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    A* a gazouillé  :

    Il manque une catégorie quand même ! (parce que moi, je ne fais partie d’aucune des trois…)

  11. #11
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ A* » Laquelle ? Laquelle ?

  12. #12
     
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    A*** a gazouillé  :

    Je serais bien incapable de lui donner un nom. (déjà que je me trompe de nom et que je me mets A* au lieu de A***)

    Moi j’aime bien l’idée de la sodomie et j’aime bien la sodomie quand c’est bien fait. Ce n’est pas une pratique que je réclame en général mais ça peut m’arriver. Je le fais parfois pour faire plaisir et parfois pour me faire plaisir. Des fois je trouve ça trop bien et des fois je trouve ça nul. Je le ferais volontiers plus souvent si ça pouvait être plus spontané (sauf que j’ai besoin de préparation et que du coup ça devient un truc qu’il faut anticiper et ça, ça m’énerve parce que quand j’ai envie, eh bien… j’ai envie !) Je suis entre le « mouais » et le « ouiii » en fait !

  13. #13
     
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    Marietro a gazouillé  :

    J’allais dire laquelle laquelle mais quelqu’un m’a prise par surprise.

    Je précise du coup que si j’ai fait partie de la catégorie graal, n’importe qui ne peut m’y faire accéder. Et comme je l’ai déjà dit ailleurs, et comme le dit A***, si j’ai bien compris son propos, c’est le désir qui élit le «qui».
    j’aime la préparation qui vient spontanément, c’est une sorte de préliminaire des plus agréables.

  14. #14
     
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    Carnets d'Eros a gazouillé  :

    J’avais écris ça et je l’avais intitulé : Offrande.
    C’est la saynette numéro 4 et elle est vécue.

    – Tous mes amants m’ont sodomisé.

    – T’aimais ?

    – Je les regardais prendre leur pied pendant que je souffrais. Mais un jour, j’ai décidé d’arrêter d’échanger ma douleur contre leur plaisir.
    Je t’octroierai peut-être de m’enculer. C’est le plus intime que je puisse t’offrir, mon beau cul ouvert pour ta bite. En retour, j’exigerai de t’enculer moi aussi, avec un gode qui permet aux filles de jouir.

    Et j’avais fait un dessin accompagnant cette… offrande.

  15. #15
     
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    Leela a gazouillé  :

    Je ne sais pas si je suis la seule, mais j’ai pour ma part apprivoisé mon cul lors de mes premières masturbations adolescentes. Sans trop savoir pourquoi, vaginalement je ne ressentais quasiment rien alors j’ai tenté autre chose et là ça me faisait jouir bien plus fort que la simple stimulation clitoridienne. Et puis j’ai arrêté pendant très longtemps pour diverses raison jusqu’à re-découvrir ce plaisir des années plus tard avec les hommes. Et aujourd’hui, j’en redemande et la pratique fait toujours partie de mes masturbations. Pour les catégories, clairement, je suis dans le Ouiiiii! mais je crois que la manière dont on vient à la pratique joue un rôle dans la catégorie dans laquelle on se retrouve.

  16. #16
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ dita » J’entends bien tout ce que tu dis. Et je suis bien d’accord : en parler, juste avant, ça fait joliment monter la pression !

    @ l’onirique » Je me demande si je n’ai pas, plus en amont encore, eu l’envie de cette note (oui, parler du plaisir…) à force de lire des Tweets du genre « qu’ils aillent se faire enculer » ou bien « on est en train de la prendre bien profond » et ce genre de trucs.
    Je sais bien, pour l’avoir lu chez vous, comment vous aimez la sodomie ! Sans doute plus « raide » que la majorité de vos consœurs ;-)

    @ Lilou » Je voudrais juste lever une ambiguïté : il y a une différence entre « se forcer » et « faire quelque chose pour faire plaisir ». Juste un exemple : autrefois, quand on me demandait une fessée, je la donnais, sans que j’en ressente aucune satisfaction sinon celle de contenter ma partenaire (ça a changé depuis). La différence est celle qu’il y a entre quelque chose de neutre et quelque chose de désagréable. Bref, il y a des personnes pour qui la sodomie, c’est juste fade.
    La sodomie masculine est un sujet bien intéressant aussi, mais je manque de statistiques personnelles ^^
    Parce que je suis un bi d’opérette :)

    @ Marietro » Votre « Ceci dit » fait référence à quoi ? Il faut faire attention, lors de la pénétration digitale, aux ongles, qui peuvent tout gâcher. Pour les cours de préparation, on en trouve des kilomètres sur le net (basiquement : y aller doucement et progressivement, avec beaucoup de lubrifiant), mais vous avez raison, rien ne vaut les travaux pratiques !

    @ Miss Flo » Mais oui ! « Osez le témoignage » (bientôt aux Éditions La Musardine !)
    Vous confirmez donc ce que répète : le plaisir de la sodomie n’est pas inné, mais il s’apprend, du moment qu’on y met le doigté (!) nécessaire…

    @ Zoumpapa » Oui, je dispose d’une assez bonne mémoire et je n’ai pas eu assez (!) de partenaires pour qu’elle ait besoin d’être prodigieuse. Déjà, comme je le disais, vu que j’ai commencé à 31 ans, je n’ai pas besoin d’aller au plus profond de mes souvenirs !

    @ A*** » Oui, c’est un peu ce que je disais, mon classement avec seulement trois cases mériterait un peu plus de finesse, mais d’une part, je n’aurais pas été forcément capable de « évaluer » aussi facilement mes amantes, d’autre part, ça aurait sans doute nui à la compréhensibilité de ma note :)
    For the record: je t’ai classée dans les « Mouais ». À te lire, je ne me suis donc pas trop planté !

    @ Marietro » Oui, je pense qu’il faut le bon partenaire, le bon protocole, le bon moment, enfin, plein de critères qui font que la pratique reste forcément moins anodines que les autres pénétrations…

    @ Carnet d’Éros » Même s’il est dommage que votre saynète donne à la sodomie l’image d’un plaisir unilatéral (que je cherche justement à effacer par un peu de propagande pro domo !), elle a le mérite de soulever la question de la réciprocité. Comme je le disais : les hommes ont autant la capacité de prendre du plaisir par le cul, et il serait bon qu’ils y soient plus régulièrement éduqués (ça les rendrait sans doute de bien meilleurs amants, soit dit en passant).

    @ Leela » Non, tu n’es pas tout à fait seule ! Personnellement, j’ai aussi commencé à découvrir le plaisir anal pendant l’adolescence et mes expériences masturbatoires (sous la douche). Je me souviens d’une fois où, furtivement, j’étais allé emprunter à la cuisine une bouteille d’huile d’olive pour m’en servir de lubrifiant)… Ce qui nous différencie, hélas, c’est que je n’ai pas réussi à y trouver plus qu’un plaisir intéressant mais diffus et pas assez intense pour qu’il devienne orgasmique. J’espère qu’il n’est pas trop tard !

  17. #17
     
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    FLORENCE a gazouillé  :

    Pour moi ça sera ouiiii avec stimulation clitoridienne ou pas, préliminaires et mots susurrés au creux de l’oreille faisant partie intégrante de cet acte

  18. #18
     
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    Brigit a gazouillé  :

    je vous croyais un bi d’opéra !

    la sodomie masculine est un vaste sujet qui mérite d’être cerné avec doigté, si l’on ne veut pas se répandre trop rapidement ou au contraire provoquer une belle débandade.

    sodomie et domination, à l’inverse est un peu éculé. oups, ce n’est pas très joliment dit… navrée. ça mérite mieux mais je ne suis pas inspirée, momentanément.

  19. #19
     
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    YoSayQuiche a gazouillé  :

    Quelque chose d’aussi simple que le sexe bordel.

    D’aussi loin que je me souvienne de moi en tant qu’être conscient de mon côté sexué je n’ai pas eu de préférence concernant les orifices (different mood toussa toussa) et si j’en avais d’autres supplémentaires je trouverais ça plutôt cool.

    Quelle race de nazes on fait avec nos étiquettes putain.

    Fuck the stats, fuck all ass.

  20. #20
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Florence » Merciiii

    @ Brigit » Elle vous tendait les bras !
    Pour l’inspiration, je ne doute qu’elle revienne bientôt. En attendant, sodomie et domination restent un couple qui fonctionne chez bien des personnes.

    @ YoSayQuiche » Mais, justement, c’est loin d’être simple, le sexe. Ou, en tout cas, loin d’être simple pour tout le monde.

  21. #21
     
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    GreenLullaby a gazouillé  :

    Bon ben je fais partie des « OUIIIIIII !!! », incontestablement. Mais la première fois, c’était pas gagné : j’avais 21 ans, et mon copain de l’époque (un peu plus âgé et un peu plus expérimenté) a fait ça tout naturellement, sans prévenir, comme si c’était la chose la plus anodine qui soit. Après m’être rebiffée (« mais t’es malade ???!!! »), je me suis laissée faire la fois suivante, à la fois par curiosité et parce que j’avais peur de passer pour une coincée (oui, je sais, mais j’étais jeune). Pas de préparation > douleur plus désagréable qu’agréable, saignements et hémorroïdes à la clé – pardon, c’est pas très glamour mais c’est la vérité.
    Ca m’a calmée pour un bon moment, puis j’ai fait découvrir la pratique à quelques-uns de mes amants par la suite, jusqu’à l’apprécier.

    Avec mon mari, c’est occasionnel et ce n’est venu que sur le tard (j’ignore pourquoi). Il n’y a qu’avec l’Amant Magnifique que ça atteint des sommets : personnellement, je jouis comme jamais (hummmm…. j’ai d’ailleurs en mémoire une scène dans la salle de bains, penchée sur le lavabo…) et lui, qui ne connaissait visiblement pas, en redemande. Il me fait d’ailleurs plus jouir par le cul que de n’importe quelle autre façon. D’entrevue en entrevue, nos ébats ont d’ailleurs pris une voie résolument anale, si je puis m’exprimer ainsi : j’adore qu’il m’encule, et j’adore l’enculer de mes doigts, lui titiller la prostate et le sentir décoller (alors que je ne me suis jamais résolue à le faire à mon mari, pourtant très demandeur). Quant à l’anulingus, je n’en parle même pas… mon dieu, quel bonheur !!! Plaisir d’offrir, joie de recevoir ! ;-)

    Le facteur psy joue aussi beaucoup : comme l’ont dit plusieurs personnes, c’est incontestablement la façon la plus intime de se donner à l’autre. Quoiqu’il m’est arrivé de le faire avec un amant de passage dès la première et unique fois, sans que j’y attache grande importance – appelez-moi contradiction. Quant au stade du « c’est caca, c’est sale », il faut le dépasser : avec une hygiène scrupuleuse c’est sans problèmes.

    Bref, un grand OUIIIII !!!

  22. #22
     
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    La cochonne masquée a gazouillé  :

    Je confirme : les femmes anales existent bel et bien. Si beaucoup de mes amies (toi et moi fréquentons un peu le même genre de femmes, semble-t-il ;))m’ont confié apprécier la sodomie, j’en ai une qui ne jouit que comme ça, et sans stimulation vaginale ou clitoridienne qui la laissent froide.
    Pour ma part, je rejoins Marietro sur une partie de son témoignage. J’aime assez ce plaisir défendu mais en fonction de mon partenaire, et surtout je crois de l’intensité de ce que nous vivions ensemble, je peux jouir très fort ou ne pas apprécier. J’ai, rarement certes, pris un pied incroyable en me faisant sodomiser et je me souviens que c’était bien plus intense que l’orgasme classique.
    Les hommes me posent souvent la question (faut croire que mon cul les inspire) : est-ce que tu aimes ça ? Difficile de répondre à cette question. Je peux aimer ou pas. Avec mon torride amant actuel, c’est devenu systématique et s’il tarde un peu trop, je la réclame !

  23. #23
     
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    La Sauterelle a gazouillé  :

    Le titre m’ a fait rire :)
    Somewhere between le mouais et le ouiii!!! Ça dépend.
    Je garde un souvenir joyeux, et ému oui, de la première fois (quelle bonne surprise, on ne m’ avait rien dit ^^)

  24. #24
     
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    columbine a gazouillé  :

    j’aurais affiné la granularité du petit 1 (pour parler cui) car ne pas vouloir en entendre parler ou avoir essayé et ne pas aimer me semble très différent

  25. #25
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ GreenLullaby » Votre témoignage me fait rêver ^^

    @ La Cochonne Masquée » Ah ! Quand la cochonne masquée débarque dans les commentaires, on sait qu’on ne va pas s’ennuyer ! J’imagine, en effet, que ton cul doit inspirer bien des ambitions….

    @ La Sauterelle » Un peu comme A***, en somme. J’imagine que ça dépend du talent du partenaire et de l’inspiration du moment…
    Même les femmes qui disent « Ouiiiiii ! » ont parfois des moments où « ça ne passe pas ». C’est fragile.

    @ columbine » Je suis d’accord, c’est bien différent, mais de mon point de vue de mec / partenaire, le résultat est le même : c’est niet !

  26. #26
     
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    Carnets d'Eros a gazouillé  :

    Moi, je suis d’accord avec ceux qui disent que tout est question de personnes de lieux et de circonstances.
    Tenez, quand un certain François H…. encule les électeurs de gauche, en se faisant élire à gauche pour mener une politique de droite, je ne crois pas qu’ils y prennent beaucoup de plaisir.

  27. #27
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Carnet d’Éros » Franchement, vous nous avez habitués à mieux que ce genre de poncifs !
    Hollande n’encule pas le peuple de gauche, il le désespère.
    Nous aurons sans doute l’occasion d’en discuter dans un billet dédié à ce sujet que je compte pondre si le poil que j’ai dans la main veut bien se faire discret. D’ici là, merci d’en rester, pour ces commentaires, au sujet qui nous préoccupe :-D

  28. #28
     
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    Pierre qui roule a gazouillé  :

    Passant égaré dans ce post ancien, je peux juste témoigner que lorsqu’on a rencontré une « ouiiiiii oui oui oui ! ohhhhh putain que c’est bon ! », on ne doute plus jamais que la jouissance anale est une réalité fantastique.
    Moi, l’un dans l’autre (!), j’aime donner ce plaisir à qui le désire, surtout quand il est exprimé si intensément !

  29. #29
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @pierre-qui-roule Oui, en effet, c’est une assez belle découverte que celle-là, et rien n’est plus bon que de prendre son pied qu’en envoyant du même geste son/sa partenaire au septième ciel (que ce soit avec du sexe anal ou tout autre méthode !).

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