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Le tour de Constance

J’ai rencontré Constance pour la première fois dans une petite partouze improvisée par mon ami Smindyrides un mercredi soir. J’avais apprécié son visage mutin de jeune fille peu farouche, ainsi que la rondeur merveilleusement ferme de son cul rebondit que ma main eut le plaisir de jauger lors d’une brève mais prometteuse séance de fessée ; il fallait rester raisonnable, quelques jours plus tard elle retrouvait sa famille au bord de la mer et comptait exposer un cul irréprochable aux rayons du soleil et aux regards de ses parents lorsqu’elle serait en maillot de bain (le genre de modèle limitant drastiquement la quantité de tissu, devinais-je).

Mais surtout, j’avais jalousé mon voisin d’un moment quand j’ai vu la bouche de Constance approcher ma queue, déjà entre de bonnes mains lèvres – j’avais espéré l’ivresse d’une double fellation – pour aller en fait gober le sexe de l’homme qui se tenait à ma droite et l’enfoncer sans la moindre difficulté au fond de sa gorge alors qu’il était remarquablement membré (se plaignant même, petite chose sensible, de se sentir trop à l’étroit dans les préservatifs King Size que je lui avais donnés).

Quand Smindyrides m’indiqua qu’entre autres qualités, Constance chérissait le coït anal au point d’en dédaigner la pénétration vaginale, il m’apparut urgent et indispensable de la revoir avec mon complice pour reprendre avec elle là où nous en étions, c’est-à-dire l’introduction et faire connaissance plus avant (et plutôt derrière, vous m’avez compris).

Rendez-vous fut donc pris pour un jeudi soir. Après un dîner léger, je retrouve Smindyrides dans son appartement. Constance n’est pas encore arrivée alors j’en profite pour partager avec mon complice mes projets pour la soirée. Ne connaissant qu’à peine la demoiselle, je préfère avoir quelques repères pour sentir si mes audaces trouveront écho dans le caractère et les envies de Constance ou s’il convenait de les tempérer. Smindyrides ne fait que confirmer mes intuitions. La soirée sera donc rough ou ne sera pas.

Nous venons à peine de commencer à boire notre premier verre – après avoir trinqué à la réussite de cette soirée – que Constance nous rejoint ; Smindyrides lui tend un verre et nous réitérons le même toast. Dans sa tenue, Constance ferait bander un cheval, un séminariste, un directeur de campagne LR, un steward ou un eunuque. En tout cas, je me sens déjà à l’étroit dans mon pantalon en voyant sa petite robe indécemment courte, couleur crème contrastant avec sa peau cuivrée (j’apercevrai bientôt un bout de peau plus claire que ne recouvrait pas son string minimaliste) et sa paire de stilettos rouge carmin. Dans ma tête défilent à une vitesse affolante des images plus obscènes les unes que les autres inspirées par sa tenue. Il me faut des efforts insensés pour faire taire le Moloch en moi et conserver un semblant de civilité en conversant légèrement sur nos souvenirs de vacances et la canicule qui s’est abattue sur la Capitale. Fort heureusement, Constance n’est pas moins impatiente que moi et je la vois vite se rapprocher de Smindyrides pour poser ses cuisses sur ses genoux et commencer à le bécoter. Smindyrides plonge sa main libre dans le décolleté de son amante pour malaxer avec douceur son sein droit. Leurs bouches se mêlent. Entre deux baisers, Smindyrides glisse cette première consigne : « il va falloir être bien gentille avec Charles et obéir à toutes ses requêtes ». Puis juste après : « D’ailleurs, Charles a une requête pour toi ».

En guise de toute instruction, je me lève, me déplace vers la table du séjour et fais signe à Constance d’approcher. Elle se lève, réajuste sa robe dans un vain geste de décence et avance maladroitement vers moi comme si, soudain, elle ne savait plus marcher sur des talons aussi vertigineux. Alors qu’elle était à quelques pas de moi, s’attendant sans doute à ce que je la prenne dans mes bras, je m’esquive, j’attrape ses deux bras que je plaque le long de son corps, et du poids de tout mon torse, je la bascule à plat ventre sur la table. Je réunis ensuite ses deux poignets dans son dos que j’enserre alors d’une main tandis que l’autre relève le peu de tissu qui dissimulait encore son cul démentiel à nos regards avant de faire brutalement glisser le string sur le haut de ses cuisses.

— Il va falloir payer le prix pour me mettre dans cet état, lui dis-je d’une voix autoritaire, n’hésitant pas à la rendre responsable de mes propres travers (le sentiment de justice n’est pas ce qui caractérise le mâle dominateur).

D’abord ce n’est presque qu’une caresse, puis ma main, qui s’abat avec un souci paritaire sur les deux globes de son fessier décidément fidèle au souvenir qu’il m’avait laissé, vient heurter sa chair de plus en plus lourdement. Par instant, elle se fait plus douce pour constater que, progressivement, le cul de Constance se teinte de pourpre et rayonne d’une chaleur nouvelle.

Smindyrides nous rejoint. Comme de fait exprès, à l’autre bout de la table où il se poste se trouve la tête de Constance qui devine ce qu’on va exiger d’elle. Mon plus-que-jamais complice se saisit des mains de notre victime, les baise délicatement, puis les fait pendre le long des pieds de la table. Il disparaît un instant en cuisine et revient avec un rouleau de film transparent avec lequel il s’emploie à arrimer chacun des bras de Constance à un pied de table, l’immobilisant plus sûrement qu’avec des menottes. Il fait ensuite glisser son pantalon sur ses mollets sans se donner la peine de plus se déshabiller, empoigne Constance par les cheveux pour relever sa tête et lui donner à sucer son sexe déjà à demi érigé. Il ne faut pas longtemps pour que je le voie entrer et sortir d’entre ses lèvres bien dur et brillant de salive. Je reprends alors avec application ma fessée, prenant garde à ce que mes coups les plus vifs ne viennent pas mettre en péril l’appendice turgescent de mon ami.

Rouge le cul de Constance ! Rouge le gland de Smindyrides ! Rouges mes envies bouillonnantes !

Plus que la canicule, elles me donnent si chaud que je me débarrasse de ma chemise. Je défais ensuite ma ceinture aussi ostentatoirement que possible pour que Constance, toute sanglée qu’elle était, puisse deviner mon geste. Alors que j’allais la faire cingler sur ce cul objet de toutes les tentations, j’observe qu’un filet de cyprine s’échappe du sexe de notre prisonnière. J’approche un doigt inquisiteur et je constate un niveau d’humidité à faire suer d’angoisse n’importe quel expert des assurances. J’appelle un deuxième doigt en renfort et les deux partent en apnée dans la chatte détrempée de Constance. Celle-ci laisse échapper quelques gémissements tandis que je la branle, avant de venir badigeonner de cette précieuse mouille l’entrée de son cul fort réactive. N’y tenant plus, je pose ma ceinture au sol, je plie les genoux pour venir plonger ma langue alternativement dans son con mellifère et son anus vibrionnant. Les soupirs de Constance ne laissent pas de doute sur sa préférence : à chaque fois que ma langue s’insinue dans son calice étroit – lequel se détend pour m’inviter à plonger au plus profond – j’entends s’échapper de sa bouche un « oh » plus ou moins distinct et sonore selon que la bite de Smindyrides y est plantée ou non, alors que ma dégustation de sa chatte ne lui arrache que quelques « hummm » timides.

— Elle est mûre et sera à toi dans quelques instants,  lancé-je à notre hôte, mais j’ai quelque chose à finir avant.

Je reprends ma ceinture et sans plus de précautions, je lui fais mordre les lunes de notre vestale. Avec une précision étonnante, je vois se dessiner presque instantanément en rouge chaque impact de la langue de cuir noir.

Constance implore grâce. Je pose ma ceinture sur la table, contre son flanc, et j’invite Smindyrides à échanger sa place avec la mienne, lui glissant à l’oreille ma consigne en vue du jeu suivant. Smindyrides se met plus à son aise ; il défait ses lacets, ôte ses chaussures et les chaussettes qui vont avec, retire son pantalon et couvre sa queue de latex. Je me mets moi aussi pieds nus et tandis que Constance a déjà commencé à se faire prendre par mon acolyte sybarite, je lui explique qu’elle m’a beaucoup agacé, la précédente fois où nous nous étions vus, à sucer mon voisin immédiat en délaissant ma queue et qu’il était temps pour elle de se faire pardonner.

Joignant le geste à la parole, je déboutonne mon jean d’où émerge ma queue (je n’ai pas jugé bon de mettre un boxer ce soir) en semi-érection, légèrement tordue vers la gauche. Constance relève la tête et ouvre docilement la bouche ; je décide de l’aider en empoignant ses cheveux courts pour lever plus encore sa tête et faire atterrir mon gland sur sa langue. Je regrette que ses mains soient toujours immobilisées car j’aurais bien profité de son talent entier, mais ce n’est pas encore tout à fait le moment alors l’heure est plutôt à l’irrumation. Je sens mon sexe devenir plus long et plus dur dans sa bouche mais je ne cherche pas à forcer sa gorge. Puis je fais signe à Smindyrides de passer à l’étape suivante. Mon sexe quitte la bouche accueillante de Constance, je m’accroupis et ma bouche à la hauteur de son oreille, je lui glisse :

— Smindyrides va maintenant t’enculer et je veux que tu me décrives très précisément ce que tu ressens.

Tout en caressant sa chevelure, je la fixe droit dans les yeux sans plus pouvoir détailler les gestes de mon comparse. Je devine toutefois le moment où son sexe prend le chemin de son cul.

Constance bafouille :

— Je… Il commence à entrer… Ça brûle un peu mais c’est bon… Je sens que je m’ouvre… si facilement… il est en moi… (au même instant j’entends Smindyrides lâcher un han ! concomitant au coup de reins qui l’envoie effectivement au fond de son cul).

Je le vois ressortir puis s’enfoncer à nouveau, il gémit aussi et Constance se révèle incapable de toute articulation tandis qu’elle se fait labourer. C’est le bon moment, pensé-je, pour reprendre cette fellation là où nous l’avions laissée. Pour le coup, bien excité par la scène, je n’ai pas débandé et c’est donc mon gourdin bien roide que j’enfonce sans ménagement dans sa bouche dont je vais progressivement forcer la gorge.

Mon dieu que c’est bon ! Il ne faut pas que je m’affole et que je m’abandonne trop vite aux sensations car nous avons encore quelques fantaisies au programme de la soirée.

Je fais une pause salutaire et en profite pour libérer  ses bras de l’étreinte plastique. Constance affiche un réel soulagement et fait doucement bouger ses membres engourdis. Dans une manœuvre subtile dont il a le secret, Smindyrides relève le torse de notre Aphrodite et, sans déculer, par petits pas, se glisse avec elle jusqu’au matelas où il ne fait que s’asseoir. Constance prend appui sur ses propres jambes pour faire coulisser le sexe de Smindyrides dans son chemin étroit. Alors que je regarde la scène avec fascination, je la vois se libérer soudainement (Smindyrides n’a pas le temps de l’agripper par les hanches), se retourner, d’une pichenette le coucher sur le lit où elle grimpe ensuite, une jambe de part et d’autre de son amant dont elle empoigne le sexe pour se l’enfoncer à nouveau dans son cul et reprendre les va-et-vient. En appui sur son torse, elle le baise avec vigueur et me fait signe de les rejoindre. Je grimpe alors sur le lit, debout face à elle, présentant ma queue devant son visage (et offrant sans doute à mon ami une vue imprenable sur mes couilles et mon cul). Pas besoin de lui dire deux fois. Pas même besoin de lui dire une seule fois : Constance s’empare à deux mains de mon membre, empoigne, avec un geste qui me ferait frémir d’angoisse si sa maîtrise ne me faisait pas lâcher un gémissement de contentement, ma paire de couilles tandis que l’autre guide d’un geste tout aussi sûr ma verge au fond de sa bouche. J’attrape aussi sec sa nuque pour bloquer mon sexe dans sa gorge et je vois avec délectation ses lèvres collées contre mon pubis. Là où la plupart ne supportent la sensation qu’une demi-seconde avant d’être pris du réflexe de haut-le-cœur, Constance maintient la position en s’offrant le luxe de m’offrir, avec sa langue, des sensations encore plus chavirantes.

— Rends-moi bien dur pour que je prenne ton cul, ma belle salope ! lui dis-je en me prenant pour un acteur porno, au comble de l’excitation, pas certain que ma queue puisse gonfler plus encore tant j’étais excité par ce que je vivais.

Tandis que Smindyrides tend le bras pour atteindre la boîte de préservatifs tombée au pied du lit, je me délecte des attentions de ma partenaire lors de cette gorge profonde, mi-fellation, mi-irrumation.

Smindyrides me propose une capote tandis qu’il remplace la sienne avant de reprendre sa partenaire par la chatte. Sur ma queue raide et luisante de salive, je déroule l’enveloppe de polyisoprène et m’apprête à embrocher la demoiselle mais je demande d’abord à mes deux complices de glisser plus loin dans le lit pour me permettre de me joindre plus facilement à eux. J’ai l’occasion un instant de regarder de près le magnifique spectacle de la bite de mon ami coulissant dans le sexe de son amante dont l’anus est encore bien ouvert. J’attrape d’une main ferme et douce les deux couilles de Smindyrides et les caresse délicatement ; il glapit de plaisir. Je plonge deux doigts de ma main libre dans ma bouche et les baigne de salive avant de les enfoncer, sans la moindre difficulté, dans l’œillet dilaté de Constance qui grogne, et je sens avec précision avec la pulpe de mes doigts la queue de Smindyrides qui glisse de l’autre côté de la paroi. J’aime beaucoup cette manière obscène de caresser mon amant, mais je ne veux pas perdre l’influx. Je retire donc mes doigts presque aussi vite que je les ai introduits, ayant constaté la bonne ouverture du cul de Constance, j’abaisse son torse contre celui de Smindyrides pour rehausser l’axe d’enculade, je me mets en bonne position et je la pénètre avec une facilité déconcertante. Concert à trois tons de soupirs et de gémissements. Je lance un mot de contentement. Constance répond d’un mot d’encouragement et je creuse en elle mon sillon de mes coups de reins répétés.

Je ralentis un peu et laisse Smindyrides bouger à son tour en veillant à ne pas désimbriquer notre Lego lubrique. Je m’installe en flexion, pieds à plat, mains plaquées fermement sur les seins de Constance qui se cambre sous ma traction et je reprends vigoureusement le pistonnage de son cul.

Dans mon cerveau, quelque chose entre l’armoire électrique qui disjoncte et le barrage qui se craquelle et qui cède violemment : je pousse un long cri tout en giclant, la queue au plus profond des entrailles de Constance. Je m’écroule sur mes deux partenaires au risque d’étouffer Smindyrides qui ne perd pas le Nord, reprend la direction des ébats et me rejoint rapidement dans l’étourdissement de l’orgasme. J’embrasse tour à tour Smindyrides et Constance qui, elle, n’a pas joui, ce qui me chagrine ! Je l’allonge sur le dos tandis que Smindyrides continue de l’embrasser, j’enfonce majeur et index dans sa chatte on ne peut plus accueillante et viens poser mes lèvres sur son sexe. Ma langue vient caresser son capuchon, mes doigts fouillent sa grotte tropicale et tandis que je la sens progressivement se tendre de plaisir, j’entends son gémissement étouffé. Je ne sais pas où Smindyrides a trouvé cet énergie mais j’aperçois en levant les yeux son sexe déjà gonflé s’enfoncer dans sa bouche. Constance prend appui sur ses pieds et se cambre ; je réajuste ma position pour garder le contact de ma bouche avec sa vulve dont je bois le jus musqué. Le pouce de ma main libre vient en renfort et vient se poser sur l’anus de Constance qui s’ouvre immédiatement pour avaler une phalange ; j’accélère le va-et-vient de mes doigts frictionnant la zone du point G quand Constance se met à décharger. Trois longs spasmes et autant de jets – le deuxième étant le plus abondant – accompagnés avec retard par un long râle de plaisir.
Et je me retrouve, tout surpris, avec à mes genoux le petit lac de Constance.

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