Notez qu’il ne faut pas grand chose pour qu’une photo de nu, somme toute assez classique, de facture correcte mais sans beaucoup d’effort, vue sans doute mille fois, banale en somme, se transforme aux yeux d’un spectateur en une image d’un érotisme torride.
Ici, le spectateur ému, c’est moi, et le détail insignifiant pour vos yeux peut-être, mais qui me fait perdre mes moyens, c’est cette légère torsion des chevilles.
Le diable (au corps) est dans les détails.