Elle est allongée sur une très grande table, à moins que ça ne soit un lit. Allongée, les genoux relevés.
Elle n’est plus vêtue que de ses escarpins et de sa robe légère que le printemps lui permet enfin d’enfiler avec un peu d’avance, largement déboutonnée. Tout le reste a été enlevé (si tant est qu’elle ai porté autre chose avant d’arriver). Elle a ouvert ses cuisses et plongé une main sur son sexe. De son majeur tendu, elle écarte ses nymphes pour me révéler la béance de sa chair vive. Didactique, elle se caresse en me détaillant ses gestes.
Je vois ses doigts partis en exploration au plus profond revenir luisants à l’air libre. — Regarde ! me dit-elle amusée en relevant son doigt étirant un filet de mouille, Regarde dans quel état je suis ! Et de reprendre sa branlerie de plus belle.
Debout en face d’elle, dans l’alignement de son corps, je déboutonne mon jean, engouffre ma main dans la braguette pour en extraire ma bite dressée, puis, plus délicatement, mes bourses pour sentir sur mes couilles la douce pression de la toile. Je me branle lentement en la regardant se donner du plaisir ; ses yeux sont posés sur moi mais son regard parfois se brouille, ses yeux se ferment quand, de sa bouche, s’échappe un gémissement.
Je me glisse à sa hauteur, je m’agenouille pour présenter ma bite impatiente à la hauteur de ses lèvres. D’une main, je saisis sa tête pour la faire basculer vers moi, de l’autre je dirige ma queue vers sa bouche déjà ouverte pour m’accueillir.