This is post 7 of 7 in the series “Haïkul” Sur la branche morte Un bourgeon gorgé de sève – Une rivière chante pour nous Illustration : The Wrestlers par Alphachanneling
Articles étiquetés : printemps
[1393] Un souffle de nostalgie
Cela fait trop longtemps que je ne me suis pas fait enculer…
[1326] Heureux 2016
Vendredi, la France jouait son premier match de l’Euro 2016 contre la Roumanie au Stade de France. Dans les rues, on pouvait croiser quelques hordes de supporters habillés de pied en cap(e) aux couleurs de leur pays, convergeant vers les fanzones ou un bar. Moi, je rejoignais Camille à l’arrivée de son RER pour traverser… Vite ! la suite »
[1251] Haïkul (Printemps 5)
This is post 5 of 7 in the series “Haïkul” Sur mon index et mon majeur vibrants Tous les sucs de son sexe — Vogue mon esprit vers les draps parfumés
[1193] Nous (2)
Surtout, ne commencez pas la lecture de cet épisode sans avoir auparavant pris connaissance du premier volet : ça se passe ici. ⋆⋆⋆ Je n’arrive pas à me rappeler dans quel état d’esprit exact j’étais au moment où j’ai ouvert cette porte. Paisible et impatient, voilà ce qui me revient maintenant mais n’étais-je pas nerveux ? inquiet ?… Vite ! la suite »
[1192] Haïkul (Printemps 4)
This is post 4 of 7 in the series “Haïkul” Un pied file entre mes jambes Gaine de nylon — Pluie de fleurs Je me suis réveillé ce matin avec cette envie de haïku (et une splendide érection, soit dit en passant), et je me rends compte avec un étonnement amusé qu’elle naît… Vite ! la suite »
[1190] Nous
Mercredi, 21 h 49, je reçois, par l’intermédiaire de mon formulaire de contact, votre message portant ce sobre titre, « Nous », ne comptant que deux mots, trois points de suspension et une photo représentant le corps d’une jeune femme nue, tête tronquée, soutien-gorge posé en vrac sur le lit, main posée sur le sexe, sans que… Vite ! la suite »
[1132] Printemps (à ras-bord)
Les beaux jours reviennent, à ce qu’il paraît. Je vais pouvoir sentir dans mon dos ma passagère se blottir contre moi tandis que mon scooter fend les rues de Paris à la recherche de notre prochain lieu de débauche. Source : alt porn
[1042] Rêverie #1
Elle est allongée sur une très grande table, à moins que ça ne soit un lit. Allongée, les genoux relevés. Elle n’est plus vêtue que de ses escarpins et de sa robe légère que le printemps lui permet enfin d’enfiler avec un peu d’avance, largement déboutonnée. Tout le reste a été enlevé (si tant est… Vite ! la suite »
[1031] Le fantôme de l’amante amputée
Le cœur était endommagé, le cerveau donnait des signes de faiblesse, le sexe menaçait. Les plus grands spécialistes étaient formels, il fallait amputer. Dans une ultime lettre, je scellais donc mes adieux à O*** pour évacuer de mon esprit toute tentation de dessiner un avenir avec elle, quel qu’il soit, puisque nos positions ne semblaient… Vite ! la suite »
[1016] Passe-moi le sel (de la vie) !
La colère est partie encore plus soudainement qu’elle n’était venue. Je crois que j’avais besoin de lâcher ces mots comme on se débarrasse d’un fardeau pour continuer à avancer plus facilement. Ce dernier (?) soubresaut aura permis aussi à certaines évidences d’émerger. Comprendre que cette longue période était, pour moi mais aussi pour elle, une… Vite ! la suite »
[899] Haïkul (Printemps 3)
This is post 3 of 7 in the series “Haïkul” Ses jambes ouvertes caressent l’herbe tiède, Rougeurs sur nos corps — Nos sourires qui s’embrassent.
[892] Haïkul (Printemps 2)
This is post 2 of 7 in the series “Haïkul” Son corsage comme un champ de coquelicots Désir qui pulse — Un œillet. Illustration piquée chez Béa (faut-il préciser que c’est le contraste entre le mur brut et rêche et la fragilité des coquelicots qui a retenu toute mon attention ?)
[888] Haïkul (Printemps 1)
This is post 1 of 7 in the series “Haïkul” Couronne de fleurs dans les cheveux, Ruisseau onctueux entre ses jambes, Reine de ma luxure.
[882] Printemps
C’est le printemps. Ou quasi. Ce matin, en circulant à scooter, j’ai croisé un cerisier ou un prunier du Japon en fleur ; je ne suis pas très doué en botanique, mais ça ne m’empêche pas d’apprécier la beauté de ces arbres, quel que soit leur nom, aujourd’hui colorant la ville grise — et plus tard… Vite ! la suite »