Évidemment, je pourrais continuer à retourner encore sept fois la plume dans mon clavier, sortir ma balance de Roberval de mes vieux cahiers du collège pour soupeser chaque mot de cette introduction, me rendre compte qu’un kilo de clavier AZERTY pèse moins lourd qu’un kilo de plume d’oie Sergent-Major (j’en parle pour faire plaisir à ma vieille mère – Maman, si tu me lis, casse-toi !) et trouver au finale mille raisons de repousser encore l’échéance du démarrage de mon burp.
Donc voilà. Je déclare ouvert le burp Comme une image, et j’aurais toujours le temps de revenir par la suite sur cette note introductive, du moment que la voilà désormais déposée comme une première pierre.
Visiteurs qui passez ici par hasard ou par nécessité, soyez les bienvenus et j’émets le souhait que vous vous amusiez de ma prose (sinon, à quoi bon ?).
[TODO] Présenter le contenu présumé de ce burp
[TODO] Expliquer pourquoi mélanger tout ça est une erreur terrible
[TODO] Tenter de trouver une justification à foncer dans le mur en connaissance de cause
[TODO] Expliquer pourquoi « burp » et pas « b… » (non je ne le dirai pas !)
[À FAIRE] Arrêter les anglicismes à la con. ASAP !
Ouaissssssssssssssssss !
J’aurais attendu 20 mois avant que ma première note ne reçoive son premier commentaire !
Patience et longueur de temps font mieux que force ni que rage.
Je ne t’excuse pas. Pour le snobisme : tu as raison ;-)
PS : moi aussi j’aime beaucoup lire les premiers billets de chaque burp, comment ils ont commencé. J’ai commencé avec un chagrin d’amour, et j’ai attendu la 6ème note avant d’attaquer un peu le sujet. Je posais d’abord les fondations. Un peu de politique, un peu de pub, un peu de cinoche. Je le dis avec fierté, j’ai vraiment fait de ce burp ce que je voulais en faire.
Tu as de la chance d’avoir fait de ton vomi (j’accuse souvent les autres snob parce que je le suis deux fois plus qu’eux, alors je refuse d’imiter et d’utiliser le mot burp) ce que tu voulais en faire, perso, j’ai longtemps hésité avant de me lancer, juste humouristique ou juste grave et sérieux. Finalement, j’ai choisi les deux, parce que je suis les deux mais je suis pas sûre que ça donne à la chose une certaine cohérence. Et puis il y a encore et toujours une certaine forme de pudeur qui m’empêche de me lâcher complètement dans ce que je dis, on sait jamais, quelqu’un de ma connaissance pourrait tomber dessus.
Tu parles de grave et sérieux chez toi mais tu utilises toujours les tags « humour, parodie » (si je ne m’abuse)…
sinon, tu as raison, être monothématique c’est lassant et puis on n’a pas toujours envie de parler de la même chose. Peut-être que tes lecteurs ne s’intéressent qu’à tes histoires de fesses car c’est dans ces posts-là que tu te dévoiles le plus et après tout, n’est-ce pas cela que l’on recherche dans un blog ? (pas seulement, j’admets, mais du coup, la force que tu mets dans ceux-là rend moins percutant ce que tu dis dans d’autres ? j’en sais rien, je ne fais que proposer des hypothèses)
La perfection n’est pas de ce monde.
PS : si tu juges ma vision lucide c’est probablement que j’ai probablement au moins visé juste pour toi ;-)
ps : peut-être, peut-être pas.
le bonheur, n’est-ce pas une notion dont nous pourrions débattre durant des heures ? ;-)
dans notre société, où tout est fait pour nous frustrer, je pense que c’est relativement difficile d’arriver à une certaine plénitude… il faut déjà pour cela accepter certaines frustrations, et être en paix avec soi-même, ce qui est difficile !
ensuite, il faut comprendre que le bonheur n’est pas forcément ce dont on rêve, mais ce que l’on a : arriver à comprendre que l’on peut être heureux avec la vie que l’on mène est un long cheminement sur soi, car forcément, on rêve toujours de quelque chose d’impossible à atteindre !
Charlotte > Mais n’hésite pas à t’immiscer ! D’autant que tes paroles confortent mes propos.
Voilà ! Pour vivre heureux, vivons frustrés !
Charlotte : toute l’histoire de ma vie c’est justement ne pas « savoir se contenter de ce que l’on a » car, même si l’idée est réconfortante et tentante, comment savoir si on ne s’encroûte pas par la même occasion ? Vouloir toujours plus que ce que l’on a c’est une forme aussi de bonheur (à condition de savoir profiter du plus lorsqu’enfin on l’obtient, ce qui est une autre pair de manche) si j’avais toujours dû me contenter de ce que j’avais, très honnêtement, je serais peut-être bien, mais pas heureuse (et loin de moi l’idée de te traiter de gagne petit ce que j’ai pu lire sur ta page me fait comprendre ce que tu mets derrière tes propos, mais… Justement, ce bonheur, aujourd’hui, dont tu parles, ne t’a-t-il pas demandé quelques efforts pour le conquérir ? C’est un peu de cela dont je parle aussi)
Puisque tu as reconnu faire des concessions pour le boulot, parlons maintenant zamours. À supposer que ton récit de Cantat-Boy soit assez fidèle à la réalité, en t’obstinant à draguer un tel zigoto, ne fais-tu pas de grosses concessions ? D’après ce que je perçois de lui, c’est un beau gosse mais what else ? T’éblouit-il par son esprit ? J’ai pas trop l’impression. Tu veux juste t’offrir le plaisir narcissique de coucher avec un beau spécimen mais tout me paraît tracé à l’avance pour une fin de romance assez médiocre. Non ?
Colombine : je suis d’accord avec toi sur le long cheminement, mais c’est une attitude générale que l’on est censé avoir bien avant d’être adulte, non ? Par contre, que mets-tu derrière les contraintes à prendre comme une chose qui permet d’aller plus loin ? Parce qu’il y a toute sorte de degré de contrainte. Le boulot, pour moi, n’est pas une contrainte (sauf pour l’instant et même encore, j’apprends des choses, sur moi, sur des fonctionnements humains, sur les codes dans certains types d’entreprise) même si ce n’est pas celui que j’aurais rêvé de faire à 18 ans, il me permet quand même de faire, à côté, ce que je ne me contente plus de rêver de faire depuis mes 18 ans. Mais il n’y a pas que cela que l’on pourrait considérer comme des contraintes d’adulte, et quelles sont ces autres choses, alors ?
columbine : oui, mais c’est lourd parfois d’être adulte !!! l’innocence de la jeunesse, la nostalgie qu’on peut avoir de ces illusoires heureux moments, ça n’aide pas forcément à apprécier d’être adulte !
j’ai parcouru un long chemin pour arriver là où je suis, mais parfois, je me dis que c’est lourd à porter… non ce que je vis, mais le regard des autres… mais il suffit de penser à la chance que j’ai pour que je me dise qu’au final, ce n’est pas si chèrement payé !
je pense qu’en fait, CUI a mieux résumé ce que je pensais que moi !!! ;-)
une blonde dans la ville > Je vois très bien ce que tu veux dire par « défi lancé à toi même ». Je m’en lance parfois (avec le même succès que toi d’ailleurs ;-). Je comprends aussi ce que tu dis, de ne pas avoir choisi tes amours. De toute façon, c’est toujours à 2 qu’un couple se forme, mais tu prends une posture très passive. Tu désires… d’être désirée. Un grand classique. Là, je n’ai pas de solution miracle à te proposer. Si la recette pour l’amour fou existait ailleurs que dans les chansons de Michel Legrand, ça aussi ça serait méga-breveté.
Continue sur la voie Cantat-boy, donc, mais RÉUSSIS ton coup la prochaine fois ! Je crois qu’il faut que tu sois encore beaucoup plus active. Ne pas jouer sur la rencontre fortuite, la provoquer. Peut-être que, toi aussi, tu feras naître le désir de l’autre de ton propre désir. Cette recette-là marche dans les deux sens (mais pas à tous les coups).
Ceci dit en passant, tu as de la chance que le boulot ne soit pas une contrainte, pour toi.
Charlotte > Je n’ai rien à ajouter de plus, moi non plus !
Cécile de Quoide9 > 24 mai 2006, les voyageurs de mon burp n’iront pas plus loin !
Je n’ai pas forcément de la chance que mon boulot ne soit pas un contrainte, c’est une question d’état d’esprit : si je ne suis pas contente, je m’en vais, si je reste, je vois ce que je peux y grapiller pour mon enrichissement personnel (les gens, des missions différentes, des nouvelles choses à apprendre…) si je ne maîtrise pas assez mon environnement direct pour l’influer et l’amener à faire ce que je veux, je trouve d’autres alliés, ou alors, si vraiment il n’y a plus rien à en espérer, je me contente d’y faire le minimum demandé et je profite de mes heures obligatoires passée devant un écran pour avancer sur d’autres choses qui ne concernent que moi (c’est inoui totu ce que j’ai pu avancer sur la grande oeuvre les derniers mois dans mon ancienne boite pendant ma procédure de licenciement) en restant vigilente à ce qui se passe ailleurs et me permettrait de rebondir. (ensuite, ça c’est la pratique, j’admets que certains matins, j’aimerais ne pas avoir à me lever)
CUI : merci pour ces paroles de grand sage, si, si ;)
une blonde qui ne confirme pas > De rien petit Scarabée and good luck !
( Bas les pattes la blonde ! ;) cela dit)
(merci maître Yoda)
une blonde dans la ville > Ah ah… perfide comme une brune alors !
Bon… Je propose de poursuivre notre petite conversation ailleurs !
Je viens de lire tout votre blog à l’envers. Ce n’est pas la première fois que ça m’arrive, mais il se trouve que vous êtes très prolifique et je ne pensais pas que ce serait aussi long et aussi touchant… Bref je viens de passer quelques jours en votre (agréable) compagnie, et, bien que je ne sois pas une grande commentatrice de blog, je me suis dis que la moindre des choses était de vous en informer.
Merci donc de partager ainsi votre vie, de façon parfois assez impudique (et je ne parle pas des notes érotiques), c’est toujours bizarre d’avoir l’impression de connaître intimement quelqu’un qui ignore votre existence. Voyeurisme, quand tu nous tiens…
Outre les sujets abordés et vos choix de vie qui ont surement fait écho à des expériences et des réflexions personnelles, j’ai particulièrement apprécié la qualité de votre écriture d’une part, et le respect et la tendresse toujours présents quelle que soit la nature des relations que vous entretenez.
Bonne continuation, vous avez désormais les honneurs de mon google reader ;)
Effectivement, je crois que le voyeurisme des lecteurs est un des ressorts essentiels pour nous autres, burpeurs exhibitionnistes !!!
Pour le reste, je suis flatté, évidemment, et heureux aussi que ce que j’essaye de transmettre, visiblement, se transmette effectivement parfois.
(on ne rigole pas !)
comme on en était au prémices de CE blog ; je ne vais pas sortir mes archives d’avant 2006 xd
j’ai seulement recherché cet exercice de style avec Cali que je me souvenais avoir kiffé
Plein d’humour et d’exhib , le petit scarabée dans cette interview virtuelle.
Au fait virtuelle or not ?
l’avez vous rencontrée pour faire ce duo ? ( discrétion écris le moi ds mon mail , s’iou plait)
Par contre c’était osé de dire que « Jean Allais ne mouillait pas beaucoup » ( je sais , j’exagère de déformer ainsi)
baisers souvenirs
Mouillette
Cui cui pourriez vous m’aider ,je sais que vous êtes fort en technique ( bon on le caresse dans le sens du poil à… _ petites curieuses(eux) , vous aimeriez savoir où !!; que nenni , c’est private _ )
Or donc, en ce moment j’ai mes commentaires qui disparaissent sans être affichés ; et pas que dans votre blog (na!)
aussi chez frenchsweet qui m’avait relancée (hé oui c ça d’avoir du charme ;-) jusque sur mon site (lol)
j’étais allée lui écrire un petit délire sur son burp(mdr) mais il s’est effacé 2 fois, snif.
A moins qu’elle ne modère ? cela n’a pas l’air d’être son style pourtant, plutôt warior le petit scarabée féminine , sourire
p.s. vous avez mon mail , je ne vous le ré-affiche pas ?
Ben en fait, Marie, je suis allée vous repêcher dans les spams, je ne sais pas pourquoi, mais je suppute que c’est canalBUG tout simplement ..
Moi un spam !! lol , pour une trollette c la consécration , mdr
J’utilise en tout cas une excellllllente extension sur Firefox, qui s’appelle « Lazarus » et qui permet de ressusciter les formulaires perdus (et donc les formulaires de commentaire). Ça m’a sauvé la mise un nombre incalculable de fois.
Pour répondre à votre question, cet interview par Cali avait été réalisé par boîtes aux lettres interposées. Je l’ai rencontrée plus tard. Et je ne la connais pas bibliquement.
Frenchsweet » Je ne répondrai donc pas à votre non commentaire (moi aussi je m’y connais en prétérition).
je suis une trollette rieuse pas une « concierge »
vais faire attention à mes plaisanteries .
Mes archives de trollette sont apparemment incomplètes
je vous demanderais, s’il vous plait, de réparer cet oubli :
-soit en m’indiquant les références de l’article .
-soit en écrivant nu devant votre fenêtre de bureau sur le sujet .