[1494] About last night

Je l’évoquais dans la note précédente, je me suis fait labourer le cul hier soir.

Après avoir porté toute la soirée un ou deux plugs de taille respectable (pas en même temps, cette fois !) 1, j’avais une méchante envie de sentir mon cul envahi, et j’en faisais part à Pascualina.

Non, à bien y réfléchir, après le(s) plug(s), je m’étais introduit en solo mon bouncer chéri, j’avais essayé de m’auto-baiser maladroitement en prenant appui sur un des poteaux de la mezzanine, mais ce n’était pas optimal : il fallait que Pascualina prenne le relai.

Donc, après plusieurs plugs, un bouncer non motorisé et un lavement bien nécessaire, je tends mon cul à Pascualina et je lui dis : « fais de moi ce que tu veux, je promets que je ne me plaindrai pas ».
Parce qu’en temps normal, je suis un peu chochotte, « moins vite », « moins profond », « dans le sens des aiguilles d’une montre », « en récitant Deleuze » etc. Là, je suis bien bien ouvert et très confiant sur ma capacité à recevoir toutes sortes de coups de boutoir, rapides, profonds, courts, longs, carrés sans moufter. Ou disons : en laissant échapper un long râle de plaisir, même si parfois ça la bite de Pascualina (le bouncer avec une nouvelle capote, arrimé à son harnais) ne fait pas exactement ce que j’aimerais.

Je me marrais in petto parce que, lâchant ainsi les chevaux, je me doutais que Pascualina finirait par tomber au champ donneuse, faute de carburant. Je ne fais pas le bégueule : elle a quand même tenu le coup assez longtemps et mon cul se souvient encore de ses émois de la veille. Et j’étais fier de moi parce que, comme prévu, je n’ai pas moufté, sauf à un moment quand elle a confondu mon cul avec un bol de mayonnaise (aïe au lit2).

Un peu plus tard, quand nous étions encore plus enfoncés dans la nuit (oh mais comme j’aime nos séances de baise kilométriques, quand chaque centimètre carré de notre peau appelle le baiser, la caresse, la morsure, le gel !), Pascualina eu la bonne idée d’enfoncer sans ménagement deux doigts dans mon séant pour aller caresser ma prostate. J’ai mugi, puis un « floc floc » a accompagné la cadence de ses mouvements. Oui, il m’arrive de mouiller du cul.

ornement séparateur

(Petite précision pour ne pas être soupçonné de partialité dans mon récit : j’ai longtemps, et à plusieurs reprises, sodomisé Pascualina, et elle n’a pas râlé une seule fois. Louée soit-elle, et son cul prodigieux !)

Un couple étrangement lové (avec beaucoup de love, oui)


Illustration : Alphachanneling – The Wrestlers (les lutteurs)


  1. À ce sujet, voir la note que j’ai commencée mais pas encore publiée, quand elle sera achevée – c’est malin.
  2. Mais pourquoi je ne sais pas me retenir ?!

2 Responses sur “About last night”  

  1. #1
     
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    Ouiboui a gazouillé  :

    Dans mes temps de jachères où mon cul ne demande qu’à être rempli, j’aurais pu écrire ça, mais je n avais pas de pascualina….

  2. #2
     
    gravatar
    Comme une image a gazouillé  :

    Ouiboui » Bienvenu ici ! Pascualina est unique mais j’espère que tu trouveras ton exemplaire dédié ;)

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