Cela commença par une conversation anodine sur Twitter : un calendrier « sexe » de l’Avent, dont nous trouvions qu’il manquait de cunnilingus. Un examen plus précis montra qu’il lui manquait beaucoup d’autres choses : un peu d’élégance, de variété, un peu de distance avec le phallocentrisme.
Quelqu’un lança l’idée : « faisons-en nous même un mieux ! »
J’attrapais l’idée au vol et je me lançais.
Un deuxième homme vint compléter le trio que je formais avec mes deux correspondantes et nous voici tous les quatre lancés pour 25 jours d’avent-ure.