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I’m not dead (yet)

Emporté par la vague cette dernière semaine.

À scruter presque heure par heure l’avancée des négociations de la boucherie au PS. À participer à des forums militants. À essayer de chercher une lueur d’espoir. À l’apercevoir. À me dire que le cessez-le-feu a dû être acheté cher, pour qu’on arrête de parler de « procès ». Le mal est fait, de toute façon.
J’aimerais bien être heureux que ça soit ma candidate qui ait « remporté » cette victoire que j’appelais de mes vœux. Mais non. Les réjouissances, je les espère. Mais pour un peu plus tard.

À me consacrer à mon boulot, aussi. Aux changements très nombreux de ces dernières semaines, au temps qui se consume pour les encaisser. À me faire doucement à l’idée que j’aime bien ma boîte, que ma boîte m’aime bien, mais que pourtant, ses projets et les miens divergent. Qu’une séparation à l’amiable est ce qu’il y aurait de plus raisonnable. Mais…

À écouter en boucle The Swamp Waltz d’Arnaud Rebotini, découvert sur le CD démo du bimestriel musical underground (trop bien !) D-Side. De la bonne techno à l’ancienne. Miam. C’est là dessus que je voudrais danser toute la nuit. Ou baiser. Ou les deux.
Oui, les deux, ça me paraît la bonne option.
J’essaierai de vous faire écouter ça prochainement, quand je courrai un peu moins après les secondes.

À me projeter dans ma prochaine aventure au pays des fantasmes, l’exploration d’une terre presque vierge pour moi. Je vous raconterai. Sûrement. Ou pas. Si mon rêve reste un rêve. Bientôt. Très bientôt.


Ceci n’est pas un éléphant du Parti Socialiste, bien que très Rock’n Roll.

* * *

J’en profite pour signaler à mon aimable lectorat marseillais que je serai de passage dans leur belle ville et très disposé à boire un pot en leur excellllllent compagnie le dimanche 30 novembre ou le mardi 2 décembre, en soirée.

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