Ce que j’aime dans la baise avec Pascualina, c’est que nos séances durent tellement longtemps que nos corps tout entiers semblent être couverts de gel, nos chairs sont en fusion et chaque parcelle de notre peau finit par devenir érogène, appelant baisers, caresses, pénétration, humidité et friction.
Illustration issue du Journal d’une fille de ferme – ouvrage anonyme, vers 1952.
J’ai pris plaisir à fouiner sur le site que tu donnes en lien, merci !
@individu1671137 C’est toujours ça de pris !
Bonne année, fidèle lecteur !