Je profite d’un petit jeu auquel j’ai participé sur Fetlife pour partager ici ma petite collection d’envies, dans lesquelles vont se mêler des envies déjà assouvies, mais avec un délicieux goût de reviens-y, quelques explorations en cours et qui demandent qu’on s’y attarde, et quelques idées qui peuvent me faire peur…
Je mesure à quel point ma sexualité, mes pratiques ont pu évoluer ces dernières années, et des choses qui pouvaient me sembler inimaginables voire un peu répugnantes il y a quelques années ont pu devenir des envies troubles et lointaines ou même des pratiques que j’ai adoptées. Dans cette liste, donc, il se trouvera peut-être, selon votre propre parcours, des choses qui vous sembleront affreuses ou des envies de petit débutant coincé ! Méfiez-vous donc, et ne lisez la suite que si vous savez avoir le cœur suffisamment bien accroché !
À la demande de Marie la Sardine, d’une infinie patience, voici donc 45 envies kinkies qui me chatouillent ou qui me grattouillent (avec plus ou moins d’intensité) :
- J’aimerais retourner au KitKatClub de Berlin, ou bien que l’on ait un équivalent du KitKatClub aux alentours de Paris,
- …voire que je sois le propriétaire et animateur de l’équivalent parisien du KitKatClub et que je vous y propose des soirées toujours plus pétillantes !
- Je descends d’un cran mon niveau d’irréalité de fantasme : je serai fort honoré d’être le DJ occasionnel d’un club ou tout simplement d’une soirée kinky : où j’irais de préférence sans amant·e·s pour rester concentré sur mes platines ! (Annonce sérieuse : si vous cherchez un DJ pour votre mariage, votre pacs ou n’importe quelle occasion : je suis votre homme 😉). Et puis c’est une expérience intéressante : rester sage devant une foule en chaleur !!!
- Si on considère qu’est kinky tout ce qui sort de la sexualité plan-plan, un de mes mégas fantasmes kinky, serait de m’envoyer en l’air, au sens propre et au figuré, dans l’espace, en apesanteur, et que ça ne dure pas les quelques secondes d’un vol antigravitationnel. Tant qu’à faire : une partouze en orbite(s).
- Continuer mon exploration des jeux uro. Pour l’instant, je me contente de quelques jeux très softs sous la douche. À suivre… (voir aussi un fantasme un peu plus hardcore ci-dessous.)
Update : Pascualina vient de me donner très explicitement son « Go! » pour la poursuite de ces explorations ! - Être fisté (analement) (je précise, même si c’est assez évident, mais c’est surtout par rapport au point 9).
- Faire un trio avec mon amante et une trans « M2F » très féminine, bi, avec une jolie poitrine et très belle verge.
- Faire un trio avec un homme trans bi et mon amante.
Dans les deux cas (7 et 8), il faudra que ce soit une personne patiente et pédagogique, qui ne partira pas fâché·e en claquant la porte parce que je dis un mot ou je fais un geste de travers par rapport à son genre. J’ai une vraie curiosité (et une vraie excitation) à découvrir et partager l’érotisme d’une personne trans… - Fister une femme (vaginalement). J’ai essayé plusieurs fois, mais à chaque fois il manquait un petit rien pour réussir (et pourtant, je n’ai pas une très grande main et j’ai un poignet très fin).
- Continuer nos (comprendre : ceux de Pascualina et moi) jeux exploratoires autour du lavement anal, sous la douche.
- Tester un « vacuum bed » (bien que je ne sois pas bien sûr que le résultat soit très palpitant, ça doit être une expérience amusante à faire au moins une fois).
- Faire du sexe entièrement couverts (elle et moi) d’une combinaison latex, laissant juste la possibilité au sexe et aux doigts d’entrer aux bons endroits (je pourrais vous faire un dessin, mais voici plutôt une photo illustrative)
Source : https://rubberhell.com - J’écoute régulièrement le podcast La pointe du cul et ça m’a donné envie d’une petite expérience exploratoire de knismologie : en gros : j’accroche bien fort Pascualina et je la torture de chatouilles. Elle a dit « d’accord », dans un moment d’égarement…
- Qu’est-ce qui façonne notre sexualité, nos envies sexuelles ? Il n’y a évidemment pas une seule réponse univoque… Dès l’adolescence (et probablement avant, mais à part mon fétichisme des pieds que je sais raccorder à ma prime enfance, je n’ai pas de souvenirs liés à ma sexualité qui remontent avant mon éveil sexuel vers 11-12 ans), on a déjà quelques envies ancrées (pour moi : la bisexualité, le triolisme), et puis on a des envies qui viennent de nos partenaires (j’appelle ça : le désir miroir), de nos farfouillages sur le net (cf. la knismologie ci-dessus). Est-ce que le porno participe de ce façonnage ? Difficile de répondre non avec certitude.
J’ai donc – je ne sais plus comment – entendu parler de porno gay dans lesquels le pénétrant pissait dans le cul du pénétré. Et bien, j’ai trouvé ça bizarre, légèrement dégueu. Et maintenant je veux essayer ! Le monde est bizarre. (Ou, moi, je suis bizarre !)
(Par contre, j’ai lu plusieurs personnes sur Fetlife parler de bondage au barbelé : ça n’aura pas suffit à faire naître mon envie !) - Puisque l’on parle de bondage : je ne suis pas très intéressé par la pratique du shibari. Je trouve ça plutôt joli à regarder, il y a un côté « cérémonial » qui ne me déplaît pas, mais ça ne m’attire pas pour autant (ça viendra peut-être). Une de mes explications sur cette indifférence, c’est que je crois avoir une sexualité très « génitale , et même si cette sexualité génitale peut trouver sa place dans le shibari, la plupart du temps, j’entends que c’est une pratique qui se suffit en soi.
En revanche, la notion de « contrainte » dans la sexualité est quelque chose qui me plaît beaucoup, et j’aime bien jouer avec les menottes, les bandeaux, etc. J’en viens à mon point : j’aimerais bien apprendre à faire quelques nœuds de shibari, pour pouvoir jouer un peu mieux – et en toute sécurité – avec ma corde, quand je m’amuse à immobiliser ma partenaire.
NB : je ne suis pas très doué avec les nœuds (je dois être un peu nœud-nœud) : à chaque fois que je fais un stage de voile, je dois réapprendre les nœuds de chaise, en huit, de taquet etc. comme au premier jour… - J’aimerais apprendre à manier avec dextérité un single tail plus long que celui que j’ai actuellement. Un truc genre cowboy, avec un cracker, toussa !
- Même si ce n’est pas mon gros fantasme au quotidien, j’aimerais bien participer à une orgie « furry ». Graouuuuu !
- Plus modestement – mais aussi plus réalistement – j’aimerais bien organiser ou participer à une petite orgie ou tou·te·s les participant·e·s porteraient une queue en fourrure (renard, lapin, teletubby, tout ce que vous voudrez) – et pas grand chose d’autre.
(Je m’amuse toujours de ce souvenir, au KitKatClub justement, où Camille portait – avec beaucoup de grâce – cette queue de renarde que je lui avais offerte, et que quelqu’un lui avait demandé comment elle tenait.
Pour ceux/celles qui ne le savent pas : l’appendice est fixé au plug que l’on se visse dans le cul, parbleu !) - J’aimerais participer au prochain KSP ! (Vade retro, covid-19 !)
- J’aimerais participer au moins une fois au festival Érosphère !
- J’ai des amis qui ont un joli et grand chalet dans les Alpes, qui peut accueillir 20 personnes sans trop se serrer. J’y vais très régulièrement avec mes amis, leurs enfants, mes filles (enfin, quand elles étaient encore partantes pour aller skier avec Papa…). Ça fait des vacances très agréables mais… un peu trop abstinentes à mon goût.
J’aimerais donc, une année, partir sans enfants et avec tout un tas d’amis kinky, poly, libertins, tout ce que vous voudrez. Ski le jour, et planté de bâtons la nuit (oui, désolé, la blague n’est pas neuve). Ski, Sex & Sun ! - Je rêve (mais, financièrement parlant, tant que je n’aurais pas gagné au Loto – Mais joue, Maurice ! – cela restera un doux rêve) d’aménager une petite garçonnière mi-lupanar, mi donjon. Murs et plafonds seraient couverts de miroirs, il y aurait une croix de Saint-André, un pilori, plusieurs crochets permettant divers accrochages et suspension, une douche à l’italienne spacieuse pouvant accueillir au moins 3 personnes, etc.
- J’aimerais bien organiser un deuxième « anniversaire ». Le premier a eu lieu il y a trop longtemps maintenant, et a été raconté en long, en large et avec mes travers ici (billet privé : il faut être inscrit·e ici pour le lire).
- J’aurais bien envie d’une grande et longue séance de jeux de cire. La dernière remonte à trop longtemps, elle aussi (mais moins longtemps que l’Anniversaire). J’avais trouvé de très belles bougies teintées dans la masse chez Etsy. Il faudrait que je me réapprovisionne !
- Je n’ai jamais profité de « glory hole ». Il faudrait donc y remédier.
- Vous m’excuserez, j’espère, pour l’illégalité de ce fantasme : on m’a dit que faire du sexe sous l’emprise de la MDMA était une sacrée expérience. Je fantasme donc que cela se produise et qu’on soit nombreux (6 ou 8 quoi).
- Boris Vian a écrit quelques textes érotiques dont un « Drencula » que j’avais découvert, ado, chez mon grand frère, de 7 ans mon aîné. Ça m’avait beaucoup excité à l’époque, tout puceau que j’étais, à une époque où je n’avais pas encore mis le mot « bisexuel » sur mes fantasmes.
Je veux mourir comme ça (je veux dire : comme le protagoniste de cette nouvelle – pardonnez-moi pour le divulgâchage). - J’ai bien conscience que la sodomie est très présente dans mon univers fantasmatique, mais qu’y puis-je si j’aime enculer, et si j’aime (de plus en plus) l’être ? J’aimerais donc une soirée 100 % sodomie, ou toute autre pénétration serait interdite (en revanche, pour l’organe pénétrant, tout serait autorisé : sexe, langue, doigts, objets-inanimés-avez-vous-donc-une-âme, etc.)
- J’aimerais que la performance que mon ami C*** voulait organiser à Venise ait enfin lieu – et que j’y participe, évidemment. Plaisirs de bouche, plaisir de bouches…
- Est-ce moi qui n’étais pas assez attentif à ce sujet (une recherche Google rapide montre que cette première hypothèse est la bonne), ou est-ce bien un nouveau terme qui surgit dans le monde du BDSM, mais le CNC (Consensual Non-Consentement) est un sujet d’interrogation permanent, notamment depuis une séance avec Camille, la première amante avec qui j’ai vraiment exploré le BDSM – alors qu’avant je ne faisais que l’effleurer – où je savais que je dépassais une limite alors qu’elle n’avait pas prononcé de safe word. Sujet exploratoire, donc, où j’avance avec des pincettes (à côté de ça, les talons aiguilles de 13, c’est de la gnognotte). Dois-je préciser que ce fantasme concerne désormais exclusivement Pascualina ? C’est une pratique beaucoup trop délicate pour s’y aventurer sans un haut niveau de complicité et d’intimité.
- (Bon sang je n’en suis qu’au 2/3 !!!) J’aimerais donc revoir Marie la Sardine, ailleurs que dans un café, et lui donner 45 coups de fouet, en lui demandant de les compter bien fort et, à chaque numéro, de rappeler ce que j’avais mis en face dans ce texte que vous lisez en ce moment précis. On est bien d’accord que les erreurs et les approximations seront sanctionnées comme il se doit.
- Mes expériences purement homosexuelles se comptent sur les doigts d’une main. J’aimerais bien rencontrer un homme (je précise dans ce contexte : cis) qui me donne envie de baiser avec lui sans forcément la compagnie d’une ou plusieurs femmes.
- J’aimerais faire l’amour dans la mer.
- J’aimerais me promener avec toi dans une ruelle déserte, dans une nuit douce de fin d’été, te plaquer contre un mur, relever ta robe si légère, découvrir (au sens littéral pour le coup !) ton cul rond, plonger ma main dans ton sexe et la couvrir de ta cyprine pour aller lubrifier ton œillet, saisir ta queue de cheval pour te cambrer de la nuque aux reins, et m’enfoncer dans toi, te sentir ouvrir ton cul aussi facilement que cette fois où je t’avais ordonné « ouvre-toi ! » à C&C, et que tu t’étais exécutée.
- Dans mon attirail, j’aimerais avoir, dans la famille « contraintes », de lourdes chaînes de métal (genre « bagnard », vous voyez ?). Et des menottes métalliques. Et un collier métallique aussi. Bref ! Compléter ma collection qui est plutôt orientée « cuir » à ce jour. (J’avais une vraie paire de menottes, mais elle a été cassée – lors d’un date avec Wonder Woman lol.)
- Puisque l’on parle de métal, j’avais imaginé, pour une édition du KSP à laquelle je n’avais finalement pas pu participer, une tenue de pêcheur mélange de cuir et de métal, avec entre le bras et le torse une sorte de filet en cote de mailles pour attraper de gros·ses poisson·ne·s ! Dans ma tête, c’est très clair, mais je ne sais pas du tout dessiner, alors vous n’avez qu’à l’imaginer !
- Connaissez-vous le Nuru-Nuru ? C’est assez fantastique en termes de sensations. Je rêve donc d’un Nuru-Nuru géant, qui pourrait ressembler à un atelier huileux d’un lointain Érosphère (qui m’avait bien fait fantasmé alors que je ne connaissais pas encore le Nuru-Nuru à l’époque) (je précise que je n’ai hélas pas participé à cet atelier ni à aucun autre, puisque de l’Érosphère, je ne connais que le off), idéalement dans un monde 100% safe – cette partie là est donc uniquement fantasmatique – dans lequel il n’y aurait pas à ce préoccuper de prophylaxie si participant·e n°X veut introduire son quelque chose dans l’orifice truc de participant·e n°Y !
- Après avoir participé à un spectacle très particulier qui parlait de cette pratique, et après avoir entendu un épisode de La Pointe du Cul qui parlait également de cette pratique, je mûris lentement l’envie de tester l’introduction de sonde dans mon urètre à des fins érotiques et non médicales.
- Il faudrait que je teste la canne / badine (comme donneur – précise-t-il avec une perle de sueur sur le front).
- Tiens, un fantasme un brin macho : j’aimerais bien être juré dans un concours de fellations. Les personnes avec qui j’ai, à l’occasion, déjà pu évoquer ce scénario le plaçaient toutes dans un cadre strictement hétérosexuel (les femmes sucent, les hommes jugent), mais à vrai dire peu importe. Évidemment, il faudrait prévoir une pause respectable entre les participantes, surtout si dans le temps imparti (mettons : 5 ou 10 minutes), j’atteins l’orgasme (période de rémission toussa).
Bon, ça doit commencer à se sentir que l’inspiration faiblit. Encore cinq, bon sang ! - Oh ! J’aimerais beaucoup une soirée avec une femme dans un (vrai) costume de policière. (Pourquoi pas une vraie policière, d’ailleurs, mais qui aurait envie de s’amuser avec ça évidemment.)
- Ah ! (je m’exclame à chaque nouvelle idée, parce que plusieurs jours de réflexion séparent chaque item de cette liste, ce que vous ne mesurez pas, chèr·e lecteur·rice qui dévorez ma prose d’une traite !) Il m’arrive de poser les mains sur la gorge de ma partenaire et de serrer… mais comme je sais qu’il s’agit d’une manœuvre dangereuse (non sans blague ?), je reste très prudent sur les jeux de respiration (dites ! vous n’en avez pas marre de bazarder des mots angliches à chaque fois que vous parlez de vos pratiques ?) (c’est quand même dément, par exemple, « figging », malgré mon bon niveau d’anglais, je n’avais aucune idée de ce que ça pouvait être, avant de me rendre compte que, comme Monsieur Jourdain, j’avais déjà joué à ça avec Pascualina. Je l’ai mis aussi dans mon propre cul, pour vérifier que c’était bien moins intéressant qu’escompté, en termes de sensations, raison pour laquelle ça ne fait pas partie de cette liste). Bref. Pour ceux/celles qui n’auraient pas saisi de quoi je parle avec mes jeux de respiration, je voudrais explorer le breathplay !
- J’ai envie d’une session Q à 2 ou 3, en présence d’un·e photographe/vidéaste capable de fixer de beaux souvenirs érotiques et pornographiques (ras-le-bol des clichés un peu dégueu faits à la hâte avec nos portables). À la question : est-ce que le/la photographe peut participer à la fête, je reste ouvert, mais c’est un peu comme le DJ-ing, on ne peut pas toujours être au foutre et au moulin !
- Pascualina venant de se faire percer les seins, j’ai hâte que ce soit tout à fait cicatrisé pour qu’on puisse à nouveau jouer avec ses tétons (je vous accorde que, en soi, ce n’est pas un sommet de kinkitude) et que je puisse lui offrir aussi des bijoux de seins que j’aurai choisis, et je suis sûr qu’il y aura matière à jouer avec eux, cordages, chaînes, etc.
- Après plusieurs semaines de réflexion, j’ai enfin eu la révélation et trouvé ma 45e idée, en mode Une nuit que j’étais à me morfondre… Et il m’a fallu encore une bonne semaine pour trouver le temps de la rédiger et enfin clore mon article.
Ma vision dans l’eau de Seltz est la suivante : une jeune femme indienne, habillée en version traditionnelle, mais topless, si possible dotée de 4 ou 6 bras (comme Shiva – qui est un dieu mâle, soit dit en passant) – ce serait sources d’infinis plaisir, mais si elle n’a que deux bras, je ne ferais pas mon bégueule – m’offre une danse pour mes beaux yeux. Avec ses pieds nus, les chevilles ornées de lourds bracelets sonores, elle vient avec délicatesse et dextérité caresser mon membre qui n’aura pas manqué de gonfler devant ce beau spectacle, jusqu’à ce que j’en jouisse…
Oh une wish list ! ça va mon coeur a tenu, mais je savais. il y a des envies que je ne qualifierais pas de kinky mais d’un érotisme éclectique (et libre penseur… ).
Pour le 43, je suis surprise, il me semble que nous avons des connaissances communes qui connaissent bien un tel artiste, non ? enfin après, il faut que le feeling passe aussi.
le 30 est le témoignage d’une bascule intéressante.
personnellement, j’adore l’idée que le ‘vrai’ shibari ne comporte pas de noeud, mais de savants entrelacements dont le but ultime est … une sorte d’orgasme par étouffement. l’apprentissage de la technique, aussi belle soit-elle, a fini par me lasser.
je n’étais déjà pas fan du macramé, alors…
le problème des noeuds marins est qu’ils sont attachants, certes, mais pas plus. le shibari ajoute l’utilisation des points de compression, ce que l’on obtient pas avec quelques noeuds ou autres chaines, menottes et sangles diverses. mais ces derniers sont souvent plus amusants.
un autre truc amusant m’est arrivé durant le confinement n°1, des proches se sont retrouvés dans la situation 21, ce qui n’a pas manqué de titiller mon imagination un brin perverse. ça aurait pu devenir un texte publiable si je tenais encore un blog….
en ces temps de rencontres (très) contraintes, les jeux kinky ou érotiques sans (aucun) contact direct -et ici j’exclu toute pratique virtuelle, à distance, etc.- ajouteraient un ou deux numéros, non ? évidemment, quand on est très génital… ça vous parle moins.
(pour votre vocation DJ, je me permettrai un conseil… évitez toute proposition à joinville, ils sont grillés !)
enfin, j’ai découvert des trucs dans votre liste !!! ça alors, c’est étonnant.
Je me suis accroché pour lire de bout en bout, pas que j’ai été choqué, mais parce que j’ai trouvé lassante la lecture du catalogue 3 Suisses de tes fantasmes. Je me suis amusé quand le n°33 m’a rappelé cette chanson :
https://invidious.snopyta.org/watch?v=pqLzwPwsU_Y
(mais j’ai craqué : je n’ai pas pu l’écouter jusqu’au bout).
Ah oui, quand même.
Le Père Noël ne va pas être déçu quand il va checker ta liste…
@Brigit » Je suis assez bluffé que vous puissiez, dans ma liste, découvrir des choses de vous inconnues ; mais finalement, l’imagination des humains n’a pas beaucoup de limites.
Pour ce qui est de tracer la limite entre ce qui serait kinky et ce qui ne le serait pas, je me suis hasardé à une définition douteuse. Mais à vrai dire, c’est exactement comme l’étiquette «libertin», «dom» ou «poly» : certains peuvent vous en coller une que d’autres vous retireront outrés, je m’en fous pas mal.
Vous avez raison pour le 30. Pour le 43, ma mémoire me fait sans doute défaut, mais si vous voulez m’envoyer quelqu’un dans les pattes, ça ne me dérangera pas.
Enfin, pour le 21 : mon burp reste ouvert aux contributions étrangères, si le cœur vous en dit !
@Christophe » J’étais impatient et curieux de découvrir ta chanson et le site à l’URL rebelle qui l’accueille, mais hélas : 504 Gateway timeout…
Je comprends ta lassitude devant la longueur de la liste. Sans la contrainte, j’aurais fait plus court :)
@Sorcière » Il n’a qu’à m’offrir un retourneur de temps, c’est ce qui me semble le plus simple et le plus pragmatique.
J’aimerais beaucoup participer à l’aménagement du 22; Je partage le 29 ! C’est quoi le 17 ?
@vagant » On dirait une grille du loto, ton commentaire :)
Pour le 22, je serais ravi de faire appel à tes talents, seulement, il faudrait que je gagne au loto, justement, avant d’avoir les moyens de m’offrir une garçonnière à Paris !!!
Pour le 17, une petite recherche Google assouvirait ta curiosité, mais comme je suis joueur, je te propose une petite image sur laquelle il faut laisser ton esprit broder :