J’ai ce bouton que je sens sur mon front, je l’approche d’un doigt, regrette de ne pas avoir de l’essence d’arbre à thé à portée de main pour le traiter, ni même d’un peu de savon pour me laver les doigts qui se posent dessus.
Zut !
Le lendemain, je suis au bureau, je sens encore ce bouton, je regrette de ne me souvenir de sa présence que quand je suis en incapacité à le traiter. Que n’y ai-je pensé hier soir ?!
Je me dis : au moins, il est caché par mes cheveux.
Un peu plus tard, je peux me rendre aux toilettes, et réaliser devant le miroir qu’il n’y a aucun cheveu pour dissimuler ce bouton. Et ce depuis de nombreuses années.
Superzut !