[1498] Ffffffffff…

Avant-propos

Je sais que ça ne saute pas aux yeux, mais ce burp est vivant. Outre les nouveaux articles (que j’espère poster plus régulièrement cette année – qui vivra verra), il m’arrive régulièrement d’aller relire d’anciens articles, d’en remanier quelques phrases ou simplement d’y corriger quelques fautes. Souvent aussi, je pleure sur des liens qui pointent désormais vers le néant du World Wild Web (sic) et quand c’est possible, j’essaie de leur rendre un peu d’actualité.
Je travaille même sur un nouveau thème depuis… au moins un an. Il sortira peut-être un jour, mais je ne parierais pas sur 2024.
Bref… Il y a parfois du neuf dans le vieux.

Post-avant-propos

J’ai repensé à Boucle d’Or tout récemment. Tout d’abord parce que, ayant discuté avec elle en 2023 sur WhatsApp, elle apparaissait donc dans ma liste de contacts « récents », que j’ai passée en revue au moment d’envoyer mes vœux de bonne année.
Boucle d’Or a ainsi reçu mes vœux.
Et plus encore, Boucle d’Or s’est promenée dans mon cortex en ravivant quelques souvenirs.
Et puis elle s’est invitée sous ma douche (c’est ce que je vais vous conter dans un instant).
Et puis j’ai eu envie de relire ce que j’avais écrit ici sur elle. J’ai cherché le tag « F*** », parce que notre rencontre remonte à 2007, qu’à cette époque, je transformais les prénoms de mes partenaires en initiale étoilée, genre je-me-la-pète-comme-un-auteur-du-XIXe, jusqu’à ce que les M*** et les I*** s’entrechoquent, un sacré bordel, j’ai dû renommer L*** une M*** parce que M*** c’est ma femme, alors je donnais des initiales pas encore attribuées (j’ai pas eu de Z*** dans ma vie, d’ailleurs – vous vous souvenez de A*** [qui aurait dû s’appeler M*** elle aussi LOL] qui voulait faire tout l’alphabet en amant·e·» ? J’avais même lancé un appel à candidature), et puis j’ai fini par faire comme tout le monde : j’ai attribué des pseudos.
J’ai recherché F***, donc, et je suis tombé sur deux textes. Un qui rapportait ici un de mes grands grands souvenirs de baise, puis un autre, pas moins épique, à l’opéra, mais où Boucle d’Or n’apparaissait pas. C’était une autre F***.
Du coup, j’ai rebaptisé F*** – celle dont je parle ici – « Boucle d’Or », ce qui fait qu’on ne trouve (à l’heure où je publie ce texte) que deux articles la concernant : le récit « Toronto by day » et la présente note !

Tout ça pour ça

Je ne sais pas si ce que je vais vous raconter ici est advenu. Soit c’est à peu près comme ça que les choses se sont passées, quand j’ai revu Boucle d’Or dans un hôtel miteux (un Formule 1, je crois, qui m’a mené à conclure que le dicton « qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse » trouvait quelques limites : je me suis promis de ne plus jamais choisir un hôtel aussi cheap pour m’envoyer en l’air), soit c’est un mélange de réel et d’espéré.

Boucle d’Or est donc face à moi dans cette chambre vilaine et semblable – copie conforme – à des milliers d’autres et nos bouches se dévorent. Je bande déjà copieusement, tandis que nos jambes s’entrecroisent et que nos pubis se frottent. Nul doute qu’elle sent très clairement mon désir pressant.

Je dégrafe sa ceinture tressée de cuir, déboutonne son jean, l’allonge sur le ventre, à même le sol. D’un geste brusque, je baisse son jean, juste sur quelques centimètres, laissant ainsi apparaître la frontière ourlée entre son petit cul et ses cuisses.
Le jean lui maintient ses jambes serrées.
Elle porte un string, le genre de lingerie que je trouve inutile (pour moi, ça en montre trop ou pas assez), mais elle en raffole. J’écarte donc la ficelle pour plonger quelques doigts et constater que sa chatte est déjà bien juteuse. Je barbouille mes doigts de sa mouille que je viens ensuite appliquer sur son œillet. De l’autre main, je me libère aussi de ma ceinture, j’abaisse (aussi peu) mon propre pantalon, le boxer que je porte peut-être pour libérer mon dard. Des deux mains, je l’encapuchonne et j’encule Boucle d’Or (qui adore ça) sans autre forme de procès. J’ai l’impression de jouer un grand classique de film porno, et c’est réjouissant.

Illustration non contractuelle : Alphachannelling

2 gazouillis sur “Ffffffffff…”  

  1. #1
     
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    damoiseau1671137 a gazouillé  :

    Dans les récits, les chattes apparaissent toujours juteuses, et en automne les feuilles tombent.

  2. #2
     
    gravatar
    Comme une image a gazouillé  :

    @damoiseau1671137 » Tu imagines bien que, 17 ans plus tard, dans mon cerveau lubrique, tout ne peut être que parfait (sauf la déco tubulaire blanche, jaune et rouge immonde d’un Formule 1).

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