Ce matin, je m’approche (à vélo) d’un feu rouge à un carrefour.
J’aperçois à l’arrière d’une Vel Satis™ un homme lisant son journal.
Plein de mes préjugés de gauchiste (ou de bobo, comme dirait l’autre), je me rapproche un peu plus pour voir si l’homme lisait Le Figaro, Les Échos ou La Tribune. Non, je crois qu’il lisait en fait Le Monde, je n’ai pas eu le temps de voir le titre du journal car mon œil fut accroché, ça ne s’invente pas, sur ce gros titre de la page qu’il lisait :
« Vers la fin des corvées ménagères »
-=≡=-
Le temps de tenter de dégainer mon téléphone-appareil photo pour vous immortaliser ce grand moment de poésie urbaine, le feu était passé au vert.
Je ne serai jamais un Elliott Erwitt.
Coney Island, New York, 1975
@comme une image : « l’autre » te salue. :-)))
Bien, voilà prends le l’avion tu les auras tes Vacaaaaaaaaaaancesssssssss !
bah, il serait pas un peu « surévalué » ton bonhomme? Pleure pas va, t’en trouveras d’autres, des scènes de rue à schooter! Maintenant, faut que tu trouves une astuce pour avoir ton tél/appareil photo à portée de la mimine!
Tu parles d’Elliott Erwitt ?
Surévalué ? Ben non, je l’aime beaucoup, j’ai pas le droit ?
Je ne connaissais pas cette photo, elle est phénoménale. Love it!
@ Samantha » E.E. est un de mes photographes préférés !