Je vous parlais dans la précédente note du dernier album de Merz que j’écoutais en boucle.
Notamment le titre verily dont voici les paroles récupérées sur son site :

VERILY
Without you all love is gone
Without you all luck is gone
Without you there’s all hell to pay
I can truly say got myself to blame
Without you all love is gone
Without you all luck is gone
Without you there’s all hell to pay
I can truly say got myself to blame
Without you all love is gone
Without you all faith is gone
Without you there’s no heaven’s gate
When we separate I’m in a sullen state
Without you I’m like a setting sun …
Et voici également un lien où vous pourrez trouver leur clip [lien mis à jour le 02/10/2010, merci Am’], qui vous permettra peut-être de mieux saisir le pourquoi du titre de la présente note.
Ami lecteur perspicace, sache que tu as toute ma considération, et même un peu plus…
Comme on dit en bonne compagnie : « j’aime beaucoup ce que vous faites ».
Je suis donc particulièrement touché que ce soit de votre main que jaillisse sur mon burp naissant (le faire-part n’est pas encore imprimé) le premier _vrai_ commentaire (car oui, avoué-je en rougissant, Arnaud est un fake).
Je tâcherai de me montrer digne de ceux qui m’accueillent.
C’est bien la peine de jaillir si c’est pour s’enfoncer juste après (et tu remarqueras que pour un homme normalement constitué c’est généralement l’inverse qui se produit).
Sinon, par hasard, ne serais-tu pas l’amant de la délicieuse miss Gally dont je fais la publicité ci-contre ?
Pourquoi ? Parce que piotr-en-gally.
TODO : créer une catégorie “Almanach Vermot”
Je pense qu’il y avait un faucon sur le clip, un truc comme ça.
La video en de Verly