Elle a 10 ans pile cette note. Elle est énigmatique quand on ne connaît pas le contexte. Elle est brève, percutante – tes notes courtes voire très courtes sont en général excellentes, comme des putching balls.
Qu’en reste t-il depuis ? D’autres quarantaines, d’autres états d’âme ? D’autres rechutes ?
@frenchsweet Oh ! Tiens, Frenchy… Je ne t’avais pas répondu… (Tu savais m’émouvoir, tu sais, que deviens-tu ?)
@mnemosyne J’ai remarqué que les billets courts suscitaient souvent plus de réaction que les billets plus longs, les récits complets, et ma théorie est qu’il est beaucoup plus facile pour le lecteur de coller ses propres émotions, son propre vécu, sur quelques mots qui disent peu que sur un long récit détaillé.
Deuxième point : la concision incite également à un peu plus ciseler les mots rares et il est plus facile d’être « punchy » sur courte distance (mon récent texte « L’œil » en est l’illustration).
#4
Mnemosyne a gazouillé
:
Note courte ou longue, ce n’est pas le même exercice.
J’aime bien les notes avec une belle chute qui change la perspective du sujet. Ça me fait penser à un (court) roman, L’ami retrouvé, de Fred Ulhman. La dernière phrase est percutante et résonne très longtemps après l’avoir lue. J’ai eu l’impression que le roman commençait à ce moment-là, après la dernière phrase…
La note longue est comme un marathon : il faut réussir à accrocher le lecteur tout du long. Cela demande quelque part beaucoup de talent pour tenir le rythme jusqu’au bout ;-))
@mnemosyne Cette note-ci était un petit exutoire, au moment de mon chagrin d’amour (à la naissance de ce burp). (Ça me paraît si lointain aujourd’hui !!!)
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Eh oui.
Ya des jours comme ça.
Elle a 10 ans pile cette note. Elle est énigmatique quand on ne connaît pas le contexte. Elle est brève, percutante – tes notes courtes voire très courtes sont en général excellentes, comme des putching balls.
Qu’en reste t-il depuis ? D’autres quarantaines, d’autres états d’âme ? D’autres rechutes ?
Sic transit gloria mundi…
@frenchsweet Oh ! Tiens, Frenchy… Je ne t’avais pas répondu… (Tu savais m’émouvoir, tu sais, que deviens-tu ?)
@mnemosyne J’ai remarqué que les billets courts suscitaient souvent plus de réaction que les billets plus longs, les récits complets, et ma théorie est qu’il est beaucoup plus facile pour le lecteur de coller ses propres émotions, son propre vécu, sur quelques mots qui disent peu que sur un long récit détaillé.
Deuxième point : la concision incite également à un peu plus ciseler les mots rares et il est plus facile d’être « punchy » sur courte distance (mon récent texte « L’œil » en est l’illustration).
Note courte ou longue, ce n’est pas le même exercice.
J’aime bien les notes avec une belle chute qui change la perspective du sujet. Ça me fait penser à un (court) roman, L’ami retrouvé, de Fred Ulhman. La dernière phrase est percutante et résonne très longtemps après l’avoir lue. J’ai eu l’impression que le roman commençait à ce moment-là, après la dernière phrase…
La note longue est comme un marathon : il faut réussir à accrocher le lecteur tout du long. Cela demande quelque part beaucoup de talent pour tenir le rythme jusqu’au bout ;-))
@mnemosyne Cette note-ci était un petit exutoire, au moment de mon chagrin d’amour (à la naissance de ce burp). (Ça me paraît si lointain aujourd’hui !!!)