… mon portefeuille.
Lu cette brève dans le journal du 11/08 :
Un Brittanique de 30 ans, qui avait perdu son portefeuille lors d’un bain de minuit alcoolisé, l’a récupéré quelques jours plus tard grâce à un pêcheur qui l’a trouvé entre les pinces d’un homard. Depuis, le jeune homme a juré de ne plus jamais en manger.
L’histoire ne dit pas si le crustacé kleptomane a eu ou pas la vie sauve, si le jeune homme l’a adopté (« je t’appelerai Winston ») ni si les billets étaient encore dans le portefeuille en question. Je soupçonne une araignée de mer (saloperie de bestioles, ces araignées) d’avoir organisé le larcin.
En tout cas, si le Brittanique n’est pas friqué, il a beau jeu de dire qu’il n’en mangera plus jamais. Moi, à 38 ans, je n’en ai toujours pas avalé un.
Si mon portefeuille est rattrapé un jour par un homard, je jure de continuer de rêver d’y goûter un jour ou l’autre.
pourtant c’est hachement bon un vrai homard … c’est pour ça que je perds jamais mon larfeuille, pouvoir un jour en remanger si par le plus pur de zazards un homard sucidaire croisait ma route ….
@comme un poisson sans bicyclette : mon vieux… non pardon… pouf… pouf… mon Grand… tu as inventé de toute pièce cette histoire ridicule de homard. Bisque bisque ! :-)
Ben ouais, elle vient de loin celle là ! :-)
A 38 ans, tu n’as toujours pas avalé un homard… ben heureusement mon Grand parce qu’avaler un homard c’est pas très commode… :-) ; pas simple et ça comporte de gros risques pour la santé. Il faut toujours mâcher le homard avant de l’avaler…
Moi non plus j’ai jamais connu la saveur du homard.
Si tu veux on pourra en manger un rien que tous les deux… hein… tu es d’accord ? hein ? Dis oui ! Je t’expliquerais comment estourbir la bestiole… on versera une larme lors de son dernier soupir ; ce brave homard deviendra bleu de confusion…
Je termine par le titre de ta note… du grand art… espérons que le jardinier marocain de la mère Marchal n’est pas dans le coup. :-)
Comme un retour de vacances, c’est fini les billets nostalgie? c’était bien joli en tout cas, merci.
@ Les marques du plaisir >
Remarque, c’est assez logique que le homard s’appate au portefeuille. Au prix du bestiau, c’est forcément veinal.
Petit PS de circonstance : sa marque, au homard, c’est d’être rouge de plaisir ?
@ Maître Roumi >
Je ne vois pas pourquoi je me fatiguerai à inventer des histoires alors que le journal est là pour y pourvoir.
Sinon, je suis content que tu en pinces pour mon titre (eh eh, celle-là aussi elle vient de loin).
@ Douda >
Billets de vacances sous le signe de la nostalgie, en effet, alors que j’avais imaginé qu’ils seraient sous le signe de la luxure la plus débordante. Finalement, j’ai dû me planter dans le produit que j’ai mis dans la piscine.
On verra à quoi ressemble la suite ; la nostalgie n’est jamais loin…
@comme une image : euh… comment as-tu deviné que maître Verges, c’est moi ?! :-)))))
Effectivement ton titre est très amusant. J’en pince, monseigneur…
Bon allez, je me barre, nos jeux de mots deviennent minables ! :-)
Bon bin j’ai suivi le mouvement, et me voilà. Non, sans rire, c’est vrai cette histoire? Bin c’est du bol quand même. J’en ai jamais mangé non plus (je vais rajouter cela à ma liste: 1) Manger une belle blonde 2) Manger son copain Omar!!!) hi hi.
Bizzz
@ Roumi >
Gardons des forces pour ne faire que du calembour supérieur.
Trop de cale-en-bourg tue le cas Lambourt.
@ Chris >
Que dire sinon « Bienvenue au royaume des homards pince-gentleman et des lécheries impératives ».