[416] Home made

Samedi matin, il est encore tôt et la maisonnée est encore endormie. C’était la semaine dernière, quand la fraîcheur des températures avait brisé mes rêves d’été indien. Je portais donc, exceptionnellement, un pyjama et M*** aussi. Dans un demi-sommeil, je sens son cul qui vient se coller sur mon bas-ventre et se frotte. Nous sommes couchés « en cuillère » et, à ma cuillère, il ne manque pas le manche. Ce n’est pas si souvent que je la sens aussi femelle, ma femme. À moments exceptionnel, pratiques exceptionnelles. Sans un mot, je fais glisser son pantalon de pyjama pour découvrir son cul. Sans un mot, je me débarrasse du mien et vient frotter mon sexe raidi (bienfaits de l’érection matinale, conjugués à l’excitation du moment) contre ses fesses. Sans autre forme de procès, je saisis le tube de gel (toujours à portée de main, caché du regard des enfants entre le bord du lit et le mur, en enduis ma queue et sans effort, j’entre en elle. Quelques coups de rein suffisent à faire monter la température. Mon haut de pyjama est très rapidement inutile, je l’enlève comme un footballeur retire son maillot à la fin du match : d’un geste athlétique. Je remonte ensuite le haut de ma femme pour avoir libre accès à son dos et à ses seins. La position en cuillère a ses avantages (confortable, intime) et ses inconvénients (la position latérale n’offre pas une grande mobilité aux corps). J’allais pour changer de position et passer au missionnaire, mais elle réclame autre chose : « prends moi par derrière, je veux être sur le ventre ». Je ne me fais pas prier parce que j’adore également cette position, très « dominante », tout le poids de l’homme sur la femme quasiment immobile. J’invite mes doigts au voisinage de ma queue. Oh ! comme j’aimerais en glisser un dans son cul, mais c’est zone interdite. Depuis quelques temps, depuis qu’avec l’aide de la thérapie, elle se « lâche » un peu plus, je suis de plus en plus tenter de faire sauter le verrou, de lui faire accepter (parce que c’est vraiment ça) de prendre du plaisir avec sa zone anale. Ça ne veut pas dire nécessairement la sodomiser, non, mais au moins qu’elle y accepte les caresses, un doigt, une langue… À plusieurs occasions, ces dernières semaines, j’ai cru sentir qu’elle y était prête, mais je ne me suis pas lancé. J’ai peur de son refus, d’aller trop vite. J’ai mon impatience optimiste qui lutte avec ma résignation pessimiste de celui qui s’est trop souvent pris le mur en essayant de gravir une marche avec elle. J’ai très envie, donc, mais je ne le ferai pas.

Nous avons assez longuement fait l’amour, ce matin-là. Quelque chose comme une heure, sans être dérangés par les enfants. Nous avons fait quelques acrobaties, sorti le vibromasseur, elle a eu quelques orgasmes mais le mien ne venait pas. Pourtant, je ne m’étais pas épuisé la veille ni rien, peut-être était-ce l’engourdissement du matin, ou bien l’envie inconsciente de faire durer ce moment encore et encore (comme c’est souvent le cas avec mes amours adultérines). J’avais envie d’elle, de la pénétrer, encore. Qu’elle me suce, encore. Mais j’ai senti que son appétit à elle s’était tari. Elle aurait accepté, sans doute, que je m’escrime encore, à faire coulisser ma queue dans son fourreau, en y allant doucement, en sortant presque avant de m’enfoncer entièrement, la lenteur et l’amplitude maximisant les sensations : idéal pour gonfler, durcir. En alternance avec des va-et-vient plus rapides, pour faire grimper le plaisir.

Elle était sur le flanc, me tournant le dos. Derrière elle, je me suis mis sur les genoux, montant un peu les cuisses pour mettre mon sexe à hauteur de son dos. Je le frottais ainsi contre elle, tout en me branlant. Je branlais ma queue de la main droite, la gauche parcourait son corps. Elle disait, cette main, « j’aime ton cul », « j’aime tes hanches », « j’aime tes seins ». M*** restait immobile, ne faisait pas de geste pour m’accompagner. Je ne sais pas si elle déplorait cette pratique ou si elle l’approuvait tacitement. À ce moment-là, j’avais l’impression qu’elle souriait, qu’elle était heureuse. Je ne la voyais pas, mais j’imaginais qu’un peu de mon plaisir qui montait se transmettait à elle par le contact de nos peaux. J’aurais aimé qu’elle me prenne dans sa bouche pour que j’y jouisse, qu’elle m’offre ses fesses à pénétrer pour qu’y gicle ma semence. Mais je ne réclamai rien. Elle ne m’offrit rien de plus. J’ai joui en visant la couette qui nous recouvrait à peine. Un peu de sperme coulait sur elle et nos draps rouges sombre furent constellés d’une assez belle voie lactée.
« On changera les draps ce soir… »

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Euh, non ! ça s’passe pas (tout à fait) comme ça, chez Mc CUI.

27 Responses sur “Home made”  

  1. #1
     
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    cassiopée a gazouillé  :

    Tu aurais dû écrire ce texte le lendemain, pour qu’on puisse dire qu’elle était prise en cui, hier ? Sinon, tu mets tout le temps du gel ? Tu devrais peut-être faire plus de préliminaires, enfin ce que j’en dis ;-)

  2. #2
     
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    sélène a gazouillé  :

    si je puis me permettre, je suis de l’avis de Cassiopée, rien de tel que les préliminaires, sentir les mains et la langue de mon amant partir à la découverte de mon corps nous évite l’utilisation de gel, qui s’est avéré néanmoins incontournable lorsque nous sommes partis à la découverte de ma zone anale…. tout est une question de confiance mutuelle, en avez-vous déjà parlé?

  3. #3
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ cassiopée > Ah bravo pour le jeu de mot !
    Concernant le gel et les préliminaires :
    1/ oui, je mets quasiment toujours du gel, ma femme mouille très peu, même après de longs longs longs préliminaires. Toutefois il arrive que dans certaines conditions, rarissimes, elle mouille (d’où mon impression que c’est plutôt un truc dans la tête que physiologique, et d’ailleurs, je crois qu’il y a une assez forte corrélation entre lubrification et désinhibition).
    2/ Nous faisons pratiquement toujours des préliminaires avec ma femme. Ils pourraient être plus longs mais ma femme étant généralement un peu passive (elle se laisse caresser) et pas très inventive, ils sont souvent un peu répétitifs. Je lui procure (généralement) un ou plusieurs orgasmes manuels avant de la pénétrer. Mais comme je l’écrivais dans cette note, « À moments exceptionnel, pratiques exceptionnelles ». Ce qui était exceptionnel, ici, c’était donc l’absence de préliminaire. Et d’ailleurs, j’ai mis un peu de gel par habitude mais j’ai eu l’impression d’entrer dans un sexe déjà bien lubrifié. L’excitation de ma partenaire était donc au rendez-vous.
    Les préliminaires doivent être la règle générale, mais il est bon parfois de faire des exceptions.

    @ sélène > Je ne répèterai pas ce que je viens de dire à cassiopée, sur le gel et les préliminaires. Concernant la zone anale, oui, on a en déjà discuté. Pour elle, ça reste fortement tabou. « Sale », je crois. C’est pas une question de confiance, en tout cas pas seulement.

  4. #4
     
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    sélène a gazouillé  :

    je suis d’accord avec toi, les pratiques exceptionnelles ont du bon……….

  5. #5
     
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    Charlotte a gazouillé  :

    j’avais bien compris que cette fois-ci, tout l’intérêt était de ne pas faire de préliminaire justement…
    on dit tjs aux hommes « mais faites des préliminaires »… je ne suis pas d’accord, parfois, un peu de rapidité ou bestialité sont très agréables ! là, justement, toute l’excitation est venue, je pense, de ta pénétration rapide.

    mais tu dis que la thérapie de ta femme aide… alors tout espoir n’est pas perdu, peut-être acceptera-t-elle un jour d’être plus active… le poids des années est souvent très lourd, et il est difficile de s’en débarrasser…
    quant à la zone arrière, si vous arrivez une fois à faire l’amour longtemps, peut-être qu’en prenant l’initiative d’approcher tout doucement cette zone-là, éventuellement uniquement avec la langue (synonyme de douceur), tu pourras lui faire comprendre que « ce n’est pas sale » ;-)

  6. #6
     
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    teberli a gazouillé  :

    Tiens, c’est drôle, mais, pour quelqu’un qui refuse de laisser approcher la zone anale, il me semble que la barrière de la langue devrait être la dernière à tomber ..
    Cui, tu as dit « sale, je crois »…
    Bah, ma foi, à chacun ses barrières..
    Ce qui est intéressant, c’est de les faire tomber pour le plus grand plaisir des deux ….

  7. #7
     
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    blabla_avocat a gazouillé  :

    je pense que y’a pas mal de gars sur la planète qui aimeraient avoir une femme « passive et inhibée » qui leur fait l’amour pendant une bonne heure le samedi matin avec vibro et tout.
    sinon, je confirme que la « prise à l’arrache » ou « prise à sec », c’est chouette aussi. c’est agaçant de toutes façons ce terme de « préliminaires » quand même assez réducteur.

  8. #8
     
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    rocco saponara a gazouillé  :

    ne pas oublier de mentionner qu’elle a eu quelques orgasmes, la pauvre…

  9. #9
     
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    une blonde a gazouillé  :

    je ne vais rien ajouter d’exceptionnel sinon que parfois, c’est bien qu’un homme comprenne que les préliminaires sont inutiles et gâcherait même l’intensité du moment (et je suis d’accord, le terme préliminaire est vilain), qu’être une maîtresse (même si on est l’épouse) active et imaginative s’apprend : je ne l’ai pas toujours été, loin s’en faut, mais je le suis devenue parce qu’on ne m’a rien imposée mais très gentiment encouragée tout en laissant libre court à mon imagination… Après ce que j’en dis je n’ai pas tous les éléments pour tenir une comparaison qui se tienne.

  10. #10
     
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    columbine a gazouillé  :

    une nouvelle position a ajouter au kamasutra: la position dite de la petite CUIllere…

  11. #11
     
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    Miss N. a gazouillé  :

    Je ne vais pas innover car ça a été dit déjà mais je crois aussi que la langue n’est peut-être pas l’approche la plus simple à accepter lorsqu’on a du mal avec le plaisir anal… le doigt c’est déjà pas si mal…

  12. #12
     
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    poulpy a gazouillé  :

    Et aussi pourquoi ne pas accepter que finalement la sodomie ne lui plaise pas.
    La plupart des hommes que j’ai connus m’ont tjs dit que c’est parce que les précédents s’y prenaient mal.
    Désolée mais non ça ne me plait pas. Peut-être justement parce que je ne trouve pas ça tabou et que donc franchir l’interdit (qui ne l’est pas) ne m’excite pas.

    Enfin moi ce que j’en dis…

  13. #13
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ sélène > L’inconvénient avec l’exceptionnel, c’est qu’il l’est ;-)

    @ Charlotte > Sur le fait que « les préliminaires, c’est pas automatique » (un slogan qui ferait plaisir au Ministère de la Santé), je me souviens avoir lu (je crois que c’était chez Lib) exprimée cette envie d’un peu de brutalité, de rudesse, de temps à autre. Que le sexe soit parfois sauvage. Que, dans notre propre désir, on oublie parfois celui de l’autre aussi. Pourquoi pas ? Ce qui est important, c’est que cela reste équilibré, harmonieux. Mais ça, ça ne se mesure pas à l’aune d’un seul rapport sexuel, mais d’une relation.

    @ terberli > Oui, oui, à chacun ses barrières… Y en a qui ne tombent pas facilement !

    @ blabla avocat > Je me bats depuis des années pour vivre ces moments-là, oui, qui peuvent effectivement faire baver de jalousie pas mal de gars sur la planète (arf arf). Mais tu ne m’en veux pas, dis, de vouloir en vivre d’autres, et d’en vivre plus, des moments comme ça ?
    Et puis tu as raison, c’est réducteur, ce terme de préliminaires. Tu en as un meilleur à proposer ?

    @ rocco saponara > Ne pas oublier de mentionner que je suis un bienfaiteur de l’humanité ;-)
    Bienvenu(e) ici !

    @ une blonde > C’est bien en effet que l’autre comprenne son désir sans avoir eu à le verbaliser, parce que la verbalisation gâche la spontanéité.
    Ce serait comme clamer « surprends moi ! ».
    Merci d’être repassée ici, et d’avoir, cette fois, participé !

    @ columbine > Aucun rapport mais j’ai toujours beaucoup aimé le titre de ce polar (pas lu) « la petite écuyère a cafté ».

    @ Miss N. > Je pense qu’un doigt, dans le feu (au cul) de l’action, c’est effectivement l’approche la plus simple !

    @ poulpy > Mais je veux bien accepter que la sodomie ne lui plaise pas, mais j’aimerais bien qu’elle essaye avant de dire qu’elle n’aime pas. Hein. Comme aux enfants (euh, quand on leur apprend à goûter les aliments, hein, pas quand on les sodomise, rhooooo).

    Et puis je pense qu’on peut très bien ne pas aimer la sodomie mais apprécier tout de même un doigt à l’entrée de l’anus. Non ? Je me permets de te demander TON avis.

  14. #14
     
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    rocco a gazouillé  :

    oh ! en te remerciant pour l’accueil ma biche… du coup j’ai envie de me fendre d’un témoignage de source pure, tiens : madame a été ultra contre (« contraire » comme on dit chez nous ^^) pendant des années et des années et des années et des… euh, après, si je sais pas ce qui s’est exactement passé dans sa p’tite tête (hormis des discussions avec des collègues représentantes du beau sexe alléchantes), je pense savoir ce qui s’est produit dans son cul si si je puis me permettre… volte face, aujourd’hui c’est elle qui demande !!

  15. #15
     
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    sélène a gazouillé  :

    la gourmandise est un joli défaut CUI!……

  16. #16
     
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    S. a gazouillé  :

    ce mec est un mythomane, bientôt il va nous dire qu’il est amoureux de sa femme!

  17. #17
     
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    TocirbA a gazouillé  :

    Il y a quelques jours j’ai eu un réveil de type. A la différence que nous étions nu. Que je sentais son sexe gonfler contre mes fesses tout en m’y frottant.
    C’est pourquoi j’ai « accroché » sur ce texte et c’est dommage qu’il n’y ait pas plus de dialogue « sexuel » avec ta femme. Les questions que tu te poses, tu pourrais alors y répondre. Mais pour un dialogue faut être 2, je sais.
    Je l’ai trouvé positive cette note.

  18. #18
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ rocco > J’ai dû te souhaiter au moins 7 fois la bienvenue vu que tu postes ici sous plein de pseudos différents (j’exagère ?). Je m’efforce de bien accueillir mes visiteurs, même les plus étranges (je ne dis pas que tu en fais partie, ne nous méprennons pas). Merci de ton témoignage de première bourre qui me remplit d’un espoir immodéré. Juste pour info : tu as patienté combien de temps avant ce changement de cap ?

    @ sélène > Je suis un pêcheur !

    @ S. > Ça dépend des jours.

    @ TocirbA > (Après quelques semaines d’entraînement, je n’hésite pratiquement plus sur la place du R, formid’)
    Pour le dialogue, oui, il faut être deux ; un des bienfaits de notre thérapie est de l’avoir un peu réouvert, justement, ce dialogue.
    Cette note voulait relater un moment plutôt agréable, c’est bien qu’elle te semble donc plutôt positive.

  19. #19
     
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    rocco a gazouillé  :

    étrange, je prends ça comme un compliment :)

    alors en ce qui concerne les pseudos, je t’assure que j’ai pas compté, je me contente plus simplement d’indiquer TOUJOURS la même adresse e-mail : la mienne (sauf chez « S. la censure » où il m’est j’avoue arrivé de déroger à la règle)…

    en revanche, pour le changement de cap, disons une broutille au regard de l’Histoire : euh, un peu + de vingt ans (sans déconner, désolé vieux !!)

  20. #20
     
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    alexa a gazouillé  :

    en commentaire à rocco et à toi cher CUI..je crains, d’experienceS (la mienne et celle de mes amies), que le changement de cap soit intimement lié à un changement radical d’opinion sur la fidelité…
    en d’autres mots..on redevient « chaude » dans d’autres bras d’abord et si vous avez du bol on réimporte à la maison ce qu’on a redécouvert à l’exterieur..

    Mon cher mari a l’habitude de dire en souriant : « du moment qu’après, c’est moi qui profite! »..(vous croyez qu’il se doute de qq chose????!!!!lol)

  21. #21
     
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    rocco a gazouillé  :

    >je crains,

    je ne vous l’fais pas dire, madame…

  22. #22
     
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    Agatha a gazouillé  :

    Très jolie note ! J’y ai ressenti toute la tendresse, tout l’amour d’un homme pour sa femme. Il y a eu du bon grâce à la thérapie.
    Pour mon ancien couple, je n’ai pas su attendre, il y avait trop de choses à faire, un nombre incalculable de chantiers qu’on n’était pas sûrs d’avoir envie de terminer ou de commencer…

  23. #23
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ rocco > Putain, 20 ans !!! (Plus que 7 ans de patience, yahooooo).

    @ alexa > Je ne *crains* pas, moi, que ce changement de cap vienne de la découverte de l’infidélité. La seule chose qui serait à craindre, effectivement, c’est que l’infidélité sexuelle se double d’une infidélité amoureuse (en clair, que l’autre se barre).

    @ Agatha > Je ne sais pas s’il y avait tellement de tendresse, mais en tout cas il y avait une grosse dose de désir.
    Et pour ton couple, la thérapie n’aurait pas forcément fait de miracle. Comme nous le disait notre psy, la thérapie peut éventuellement rendre clair le fait… qu’il faille se séparer !

  24. #24
     
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    Justine Miso. a gazouillé  :

    Mais la pauvre, déjà en étant passive et inhibée, vous êtes décidé à « ramoner des heures » (voir la pièce de théatre « arrête de pleurer Pénélope 1 » pour tout comprendre)…. ou alors vous êtes en flagrant délit d’incitation à la simulation?

  25. #25
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Justine Miso. > Bon, deux choses. D’abord, l’URL de votre site est de plus en plus injoignable. Alors ? C’est frustrant, quoi…

    Ensuite, n’exagérons rien. Elle n’est ni totalement passive ni totalement inhibée. Ensuite, étendre la séance de copulation dominicale de 20 mn à 1 heure, c’est pas encore avec ça qu’on se retrouve avec la chatte en feu inutilisable pendant 48 heures. En outre, dans la vie, y’a pas que le coup de pine, Justine (je ne vous ferai pas l’injure de sous-entendre que je puisse vous l’apprendre). Je n’ai donc pas joué les marteaux piqueurs pendant une heure.
    En tout cas, je note : le jour où je coucherai avec vous, 10 mn et puis c’est marre, je ne voudrais pas vous inciter à ce crime affreux qu’est la simulation (comme disait mon ami Thomas : « Avec moi, les femmes ne simulent jamais. Je ne leur en laisse pas le temps »).

  26. #26
     
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    Justine Miso. a gazouillé  :

    Mon site est joignable sous mot de passe et je pensais vous l’avoir communiqué… si ce n’est le cas, je le ferai donc en privé dès que vous m’écrirez.

    10 minutes me suffisent… même 5 minutes, pourvu qu’on soit dans un lieu très incongru (les rues parisiennes ont ma préférence mais la nature c’est bien aussi) Dans un lit, il me faut plus de temps… la fatigue sûrement… Mais, présentez-moi plutôt votre ami Thomas :-)

    Bises

    J’M.

  27. #27
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Justine Miso. > Z’avez vu comme je suis patient, hein. Pour Thomas, les mots, les rues, les maisons de passe, nous œuvrons désormais dans l’ombre.

    Bises visibles.
    J.

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