Je me souviens de ce beau film de Peter Greenaway, the Pillow Book.
Je me demande pourquoi je n’ai pas encore écrit sur le corps de mon amante, avec l’écriture tellement au centre de notre histoire.
Les marques, les bleus, les griffures sont peut-être les prémices de cela, un genre d’écriture de Lascaux…
@ Memorandhomme > Je n’ai pas vu ce film de Greenaway, mais je me souviens d’images de ce film, troublantes… L’écriture sur le corps est terriblement troublante (en image, au moins… la réalité, ça dépend toujours de comment on la vit). Sapheere semblait avoir pris l’habitude de tagger ses amants d’un sobre et presque universelle « Sapheere was here » (sur ses amants monuments, comme le chante Camille ?).
Quant à toi, espèce de Cro-magnon, dois-je souhaiter pour ta douce un passage à l’âge de pierre ou, pis, de fer ? Je doute…
Vive la poésie !
La nôtre fut sol(ID)aire, é[C]lectrique, coopéraMICALE.
Nous sommes allé-e-s au Mali avec nos élèves pour installer des capteurs photovoltaïques. dans une petite commune rurale.
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Charmant ouvrage…
48 ?
Piou-piou et les 48 donzelles ?
Les 40 et huit aventures de Comme Une I:mage ?
euh…
19(48) : en attendant Cui… (ouai, faut être patient…) ?
;)
(OK, bon, je retourne bosser)
Je me souviens de ce beau film de Peter Greenaway, the Pillow Book.
Je me demande pourquoi je n’ai pas encore écrit sur le corps de mon amante, avec l’écriture tellement au centre de notre histoire.
Les marques, les bleus, les griffures sont peut-être les prémices de cela, un genre d’écriture de Lascaux…
@ Miss S >
Un léger bout d’explication sur le 48 ici :
http://victoriawelby.ca/victor.....ur-humain/
Enfin, à toi de deviner…
@ Memorandhomme > Je n’ai pas vu ce film de Greenaway, mais je me souviens d’images de ce film, troublantes… L’écriture sur le corps est terriblement troublante (en image, au moins… la réalité, ça dépend toujours de comment on la vit). Sapheere semblait avoir pris l’habitude de tagger ses amants d’un sobre et presque universelle « Sapheere was here » (sur ses amants monuments, comme le chante Camille ?).
Quant à toi, espèce de Cro-magnon, dois-je souhaiter pour ta douce un passage à l’âge de pierre ou, pis, de fer ? Je doute…
Ce qui est certain, c’est qu’elle ne me laisse jamais de bois !…
Ha, je vois… Moi aussi j’ai beaucoup jouer a ça avec des vieux poche qui traînaient (plus jeune… hm).
La p48 de quel livre alors ?
Vive la poésie !
La nôtre fut sol(ID)aire, é[C]lectrique, coopéraMICALE.
Nous sommes allé-e-s au Mali avec nos élèves pour installer des capteurs photovoltaïques. dans une petite commune rurale.
Voir notre blog.
Qu’en pensez-vous ?
@ Memorandhomme >
(…) Dont on fait n’importe quoi
Sauf naturellement les flûtes ?
Zut !
@ Miss S > En toute transparence, je n’en sais strictement rien. Il faudrait demander à Victoria W.
@ Housez Pierre > Je suis allé voir votre burp. Bon.
Et votre commentaire, ça ne serait pas un spam, par hasard ?!
Je le laisse pour la bonne cause.
La suite : http://victoriawelby.ca/victor.....ique-viii/
Le bouquin : Schopenhauer, Douleurs du monde.