
Bonsoir Hélène ! J’ai été ravi de faire votre brève connaissance sur la ligne 14. J’espère avoir bien mémorisé votre numéro. J’espère aussi vous revoir prochainement, dussé-je attendre l’année prochaine. J’ai goûté brièvement votre bouche et, pardonnez-moi si je vais trop vite en besogne, je pense que ma queue s’y trouverait aussi bien que ma langue. J’aimerais me noyer dans vos yeux profonds et votre chatte outrageusement humide. Je vous souhaite une belle fin d’année même si c’est un peu loin de moi. Votre -déjà- dévoué, Thomas.
Trop fort, ce CUI…
V., chapeau bas !
Impressionnée je suis …
Mlle Passion > Ce petit texte (un SMS, en fait) n’est pas vraiment à prendre au premier degré. Il faut… imaginer ! Qui l’a écrit ? Quand ? À qui ? Pourquoi ? Que fait-il publié ici ?
Une petite invitation au rêve (le mien ?)…
fée d’hiver > un jambon cru pour un sms cochon, bien vu!….
oui, on ne se méfie jamais assez quand on est concentré sur son tél à rédiger ce genre de billet doux…. mais que c’est bon de pouvoir exciter ainsi son amant(e) à tout moment de la journée…
Vous qui prenez souvent la ligne 14, soyez vigilants, Thomas va passer à l’acte sous peu, ensuite c’est à vous de voir si vous aimez qu’on vous prenne pour un siège de métro ou non.
sélène > chuis désolé, je n’avais pas les références de cette photo !
l’Amazone > Euh, je crois que tu surchauffes un peu, même !
Une blonde dans la ville > (Je crois aussi que tu as chopé la même fièvre que l’Amazone, sauf que tu es une petite chose encore plus fragile…)
Dusk
dusk > Atroce, le mot est faible. J’ai l’impression que nous expérimentons ici les déviances les plus extrêmes. De la coprorosogantophilie, en l’occurrence. Erk.
Cette histoire, est-elle vraie ou non, je ne m’en souviens pas non plus !