De ce film, je ne me souviens de peu.
Qu’il était de Michel Deville, fort à propos.
Qu’il réunissait Jean-Hugues Anglade et Marie Trintignant, une actrice que j’appréciais particulièrement dont la disparition on-ne-peut-plus tragique nous a privé de son talent, de sa grâce et de sa singularité et, pour les raisons que l’on sait, dans le même temps, d’un des meilleurs rocker français.
Qu’ils étaient tous les deux réunis dans une chambre dont les volets fermés laissaient passer une tiède lumière estivale.
Qu’ils avaient sûrement, en plus de faire l’amour, des choses importantes à se dire mais je ne me souviens pas lesquelles.
Que j’ai vu ce film en première exclusivité au Pathé Hautefeuille, avant que ça ne devienne un MK2.

J’ai envie, moi aussi, de cette nuit d’été en ville. Il me reste jusqu’au 20 septembre.
ça promet de beaux billets ! héhé !
Sinon, cette baignoire trônant au milieu de la pièce (je dis pièce car il me semble que ce n’était même pas la salle de bain), bel endroit pour les ébats d’une chaude nuit d’été … qui reste cette saison ou chaleur et vacances sont la combinaison sensuelle par excellence !
De 5 à 7, de déjeuner, de soirées ?
http://www.youtube.com/watch?v=iDTpcbvkNUk
Je t’embrasse.
Lewis » Ah oui, j’ai eu droit une fois, dans un bel appartement de province, à une baignoire trônant royalement au milieu d’une grande pièce… Joli souvenir ! Par contre, je n’ai jamais été coiffé comme Chris Waddle ;-)
Audrey & Cristophe » Ben c’est toujours gonflable, une bite, non ? :-p
M e » L’intuition est presque juste. Pas en manque, non, mais disons que cette note est comme un appel du pied vers une personne en particulier !
Marietro » Si je devrais mettre toutes mes envies dans un seul billet, je n’aurais plus d’inspiration pour les suivants. Donc, celui-là, c’est pour une nuit et pis c’est tout !
Marieh2o » Oh la la ! Va falloir que je fasse attention à pas confondre vos deux pseudos, les Marie !
Une nuit d’été dans un mas provençal, ça peut être très bien aussi. Pour poursuivre dans les références cinématographique, je dirais Beauté volée.
Lune rouge » Eh, et ton pseudo « Lune rouge » il ne fait pas aussi un peu Étoile mystérieuse ? Bah, si y a des boutons, je mets de la crème et pis ça fait des champignons à la crème (© Maurice et Patapon).
J’ai cru un instant vous avoir écrit » malencontreusement » ;) un soir de rosé au bord de la piscine-
Les Marie ont l’air imprévisibles mais synchro…
Bel été , bel ami-
Espérons qu’elle vous entende
;)
Jour pour jour ;)
:)
On vous la souhaite, une telle nuit en ville (été ou pas!).
Vagant (et ivv) » Ben oui, c’est tout simplement qu’après le 20, compte tenu du titre, tout va se périmer. D’où le proverbe « quand le 20 est tiré, il faut le boire ».
Icare » Bienvenue ici. Voyez, vous avez osé et le ciel ne vous est pas tombé sur la tête (et inversement) !
Tamara » Ah, ça fait partie de mes vieux fantasmes, ça, séduire une touriste (un bref amour de vacances, pour l’un et l’autre en somme). Mais je n’ai jamais su faire, jamais su cueillir l’occasion (je ne sais même pas si elle s’est présentée). J’ai beau être un pervers polymorphe, je ne suis pas un dragueur polyvalent.
Marietro » Ah ben c’est trop gentil de faire tinter le compte à rebours. En plus, je n’ai pas le temps de répondre rapidement à mes commentaires, plus que 11 jours !? Ça sent le roussi.
Eux gênent, pas moi » (Vous gardez ce pseudo bizarre ?) Tant que ça n’est pas « Quand la marabunta gronde » que la photo vous évoque ^^
Merci !
:)
Vous n’aviez pas illustré là votre envie de passer une nuit d’été dans une fourmillère, autrement j’imagine que ça aurait vraiment eu l’allure d’une marabunta. Et sûrement que mon évocation aurait été autre que l’univers Deville.
On croise les doigts jusqu’au 20, alors?!
:)
Ben… en attendant, quand même… un peu!
:)
:)
Bon boulot-boulot!