[1252] Je ne suis pas de bois

Maintenant que nous sommes tous les deux à point, il attrape ce qui me mettait dans un certain état d’excitation avant même que la soirée n’ait commencé : Adam, mon cadeau.
Il me le glisse dans les mains et me dit juste avant de s’insérer de nouveau dans ma chatte :
— Pour que tu te rendes bien compte de ses dimensions.
— Mais je les connais, ce n’est pas la première fois que je le caresse !

Plus d’un mois qu’il est en ma possession et je ne l’ai toujours pas utilisé alors que ça fait des semaines, voire des mois, que je fantasme dessus. Le plus difficile fut de ne pas pouvoir l’utiliser lorsqu’il me l’a offert¹. À ce moment j’étais vraiment frustrée. Ensuite, mon voyage occupant mon esprit je n’y pensais plus et, même si à mon retour je le voyais me faire de l’œil, j’avais dit à Jérôme que je l’attendrai pour l’inaugurer.

J’aime l’avoir dans les mains, le toucher, l’admirer ; vous ai-je déjà dit que c’est une véritable œuvre d’art ? Il faudrait que je vous le montre une fois juste pour que vous puissiez vous en rendre compte.

Jérôme s’est maintenant retiré et il est tout disposé à s’amuser avec moi et mon cadeau d’anniversaire. On compare alors son membre avec Adam. Bien qu’il soit gâté par la nature, Adam est légèrement plus gros et je dois avouer que sa taille impressionne un peu. Nous décidons de rajouter du lubrifiant même si je suis déjà toute mouillée, simple précaution. Jérôme me le tend pour que je l’insère mais je veux que ce soit lui.
Alors que je sens Adam à l’entrée de mon vagin,, je prends d’autant plus conscience de la taille de la bête. Jérôme n’ose pas trop pousser et alors que je lui dis qu’il peut y aller sans problème, il relève la tête avec un sourire coquin et me dit : « Trop tard, ta chatte l’a déjà gobé ! »
Une fois Adam entièrement en moi, la première sensation est assez étrange. Sans aller jusqu’à dire que c’est douloureux, il est tellement gros que je ressens comme une gêne. Mais cette dernière s’en est allée après quelques minutes, le temps que les parois de mon vagin se soient adaptées.

Nous savions d’après les différents tests lus çà et là qu’il ne fallait pas procéder en de grands mouvements amples mais des petits mouvements circulaires. Voici alors Jérôme s’amusant à le bouger un peu dans tous les sens pour trouver le mouvement qui fera mouche.
Moi, j’ai encore un peu cette sensation de gêne et sur le coup je me dis : « Mouais… c’est ça le fameux Adam ? » Je m’attendais à des étincelles et pour l’instant ce n’est pas extra.
Notons que n’étant pas « vaginale », les quelques godes ou vibros que j’ai essayés ne m’ont jamais apporté un vrai plaisir, à moins d’être couplés avec autre chose (cunni, masturbation, sodomie…). Peut-être ne suis-je pas faite pour prendre du plaisir avec ce genre de sextoys – ou du moins pour le moment, je sais qu’on peut évoluer avec l’âge et j’ai encore de belles années devant moi.

Au bout de quelques minutes, je décide de prendre le relais. Il est plus simple de trouver le bon mouvement moi-même puis l’expliquer à mon amant.

Mouais…
Bof…
Pas ça…
Ah ! Pas mal celui-là !
Ah oui ! Avec ça on est sur la bonne voie !

Comme expliqué dans les articles que j’avais lus, il faut faire un petit mouvement circulaire mais le must, c’est d’appuyer vers le bas pour faire levier de sorte de la tête d’Adam vienne appuyer plus fortement sur le point G.
Je montre à Jérôme le geste et le voici comme un gamin devant un nouveau jouet en train de s’amuser à varier les mouvements et le rythme en fonction de mes réactions.
Je suis détendue, la gêne que je pouvais ressentir au départ est partie et les sensations sont de plus en plus agréables. Je me surprends en entendant des gémissements sortir de ma bouche se transformant en petits cris. Je suis d’autant plus surprise que ces cris-là, je ne les ai que lorsqu’on me prend (je veux dire : un homme avec sa queue) et c’est une première avec un sextoy (même si mon expérience avec ce type de sextoys reste limitée, étant plus tournée sextoys pour le clito ou plugs – sans parler des entraves, cordes, etc. mais on entre là dans une autre catégorie).
Jérôme prend vite le coup de main et les sensations s’amplifient, c’est délicieux!
Mon amant s’allonge sur moi en 69 afin d’atteindre mon clitoris avec sa langue. J’essaye tant bien que mal de lui faire une fellation mais le plaisir me fait perdre mes moyens et je n’y arrive pas. J’arrive tout de même à lui les lécher les couilles et le pseudo masturber (pseudo parce que ma position n’était pas idéale et encore une fois je n’avais pas un total contrôle sur mon corps avec les spasmes qui me prenaient). Contre toute attente, j’entends son souffle s’accélérer et le voici de nouveau parcouru de spasmes sans orgasme.

Petite pause.

Je lui fais part de mon étonnement car je n’avais pas l’impression d’être efficace. Il m’avoue que me voir dans cet état de plaisir, répondant si vivement aux mouvements qu’il donne à Adam, cela l’excite plus que fortement.
Mouillée au possible, mon corps ondule et ma bouche exprime mon plaisir. Je sais qu’il me faudra une stimulation clitoridienne pour faire sortir cet orgasme qui me nargue depuis de longue (mais incroyablement délicieuses) minutes. C’est moi qui m’en charge alors que Jérôme se concentre sur le mouvement d’Adam et surtout à la manière dont mon corps répond, détectant ce qui me fait perdre pied.

Mon orgasme commence à monter, je devine qu’il sera puissant.
Il envahit mon corps petit à petit… Cette sensation de chaleur qui se diffuse… Puis d’un seul coup : j’explose.

WAOH !

…

Ce fut un des orgasmes les plus forts que je n’ai jamais eus ! J’ai d’ailleurs un peu éjaculé (ce n’est pas la première fois que ça m’arrive mais ça reste relativement rare). On m’avait parlé des qualités d’Adam pour faire éjaculer, je ne peux que confirmer et, avec un peu plus d’entrainement, cela devrait amener à des situations encore plus « sympathiques » (même si l’éjaculation n’est pas forcément un signe indiquant que l’orgasme était meilleur).

Mon amant me regarde avec des yeux brillant, apparemment ravi du spectacle auquel il vient d’assister. Il me dit alors :
—Tu aurais vu la force avec laquelle tu as contracté ton vagin! J’ai dû maintenir Adam avec force en toi sinon tu l’expulsais entièrement !

Cela ne me surprend pas sachant la puissance de l’orgasme que je viens de vivre.

1. Pour des raisons qui ne seront pas détaillées ici, NDLR.↩