Comme avec Camille, mon histoire avec Pascualina s’avère intense et durable. Je n’arrive plus, ici, à la relater dans l’authenticité la plus entière, parce que j’entre plus profondément qu’avec ma queue dans des intimités que je ne pourrais révéler, exposer, sans risquer qu’elle tourne à l’aigre. Je touche aux limites de mon journal intime / extime.
[1449] Writober – jour 11 – aigre
Laisser un gazouillis