
Nous quittons le bar où Shéhérazade, n’ayant pas mon côté « exhibitionnisme tranquille », reste trop sage. Court trajet en scooter à travers la nuit humide parisienne, et nous voici dans une belle chambre d’un hôtel où une burpeuse que vous lisez sans doute, amis lecteurs, a ses habitudes (sans moi, hélas, mais il faut parfois accepter… Vite ! la suite »