Où étais-tu cette nuit ? Ma queue était tendue et ta bouche n’était pas là pour l’avaler, la sucer avec application jusqu’à ce que je laisse gicler mon foutre au fond de ta gorge.
Où étais-tu cette nuit ? Mes doigts, qui cherchaient ta chatte pour la fouiller, n’ont trouvé que le vide. Ils voulaient s’enfoncer en toi, un par un, puis ensemble, ouvrir ton cul aussi pour préparer l’arrivée de ma bite.
Où étais-tu, cette nuit,
quand je n’ai baisé que mes rêves ?…
Illustration : couverture de l’album de Placebo Sleeping with ghosts.
Que de temps passé à se chercher….
Woué pas facile de niker un fantôme…
CDL;)
@ sélène > à tâtons…. ;-)
@ ClairdeLune > Voilà ce qui me manquait peut-être : un grand clair de lune pour éclairer mes recherches…
tsi hi, sinon… tout autre chose, hein :
CECI EST UN MESSAGE LIVRE PAR MAINATE-EXPRESS
LE VOLUBILISME N’EXISTE PAS.
LES VOLUBILISTES, OUI!
Donnez-en la preuve irréfutable sur ‘pavupapri’.
Répondez à cette simple QUESTION :
VOLUBILISTE, COMMENT ES-TU ARRIVE LA ?
Racontez COMMENT vous avez découvert l’un ou l’autre des blogs de VOLUBILIS (un pti comm ou une grosse bafouille au choix)
Une note vous est spécialement réservée sur ‘pavupapri…tag/kilavolulahu’
Faîtes taire la rumeur!
CECI EST UN MESSAGE LIVRE PAR MAINATE-EXPRESS
(merci de faire passer à d’autres volubilistes, je crois qu’il est un peu naze, le mainate, là)
@ Tiniak > Je me suis exécuté pour la première partie de la demande. Mais pour ce qui est de la relayer, j’ai un peu la flemme, tu m’excuseras. Et pis je ne maîtrise pas le réseau volubiliste.
moi j’étais avec Brian M. cette nuit.
(mmmm…)
en fait, chez toi aussi il fait chaud, non?
interessant ce nouveau genre…poesie de vieillard lubrique? ca me fait penser a Courbet qui a la fin de sa vie a peint des nus dans le genre explicite, a partir de photos cochones (oops la legende dit « obscenes) qui sont exposees au meme endroit. d’ailleurs j’ai prefere les photos vintage aux peintures…
Quand je te disais qu’il n’y avait que des pervers ici… rire
P.S. j’aime beaucoup les petits changements que tu as fait sur ton burp…
@ lapetitebrune > Faudrait que tu m’invites dans tes nuits, les miennes sont un peu fraîches ces temps-ci (contrairement aux apparences). D’ailleurs, je n’arrive pas à me débarrasser d’une vilaine toux sèche…
@ columbine > Wahouuuu… « Vieillard lubrique ». You make my day, comme y disent, les Amerloques. Je ne suis pas sûr que ça soit si nouveau que ça, ce genre de note, j’en poste de temps à autre…
@ Nivalane > Non, ici, il n’y a que des perversEs ;-)
PS : Merci !
mais non je ne t’ai pas traite de vieillard lubrique…c’est a cause de ton langage cru et ton cote obsede (je parle du texte, toujours pas de toi) tu ne comprends pas la subtilite?
Les rêves…
haaa… Les portes de l’âme.
Question… sérieuse… mine de rien …
Ce que tu écris là … le lui DIRAIS-tu ???
Si on pouvait transposer… :-)
@ Columbine > Disons, en l’occurrence, que la distance entre la personne censée tenir ses propos (le narrateur) et la personne ayant écrit ce texte (l’auteur) est particulièrement mince, c’est pourquoi j’ai un peu de mal à sentir la subtilité de la nuance. Mais bon… Admettons !
@ Miss S > Faut pas oublier les clés…
@ teberli > Je ne saisis pas précisément le sens de ta question. Est-ce que je le lui dirais « oralement » ? Parce que je le « lui » ai écrit, en tout cas !
@ Les Draps Prunes > Je pense qu’on peut tout à fait transposer !!!
Parfois, c’est bien de baiser ses rêves…
Oui, baiser tous ses rêves est définitivement mieux que rêver toutes ses baises.
je pense avoir compris ce que teberli voulait dire: quand tu ecris a quelqu’un la distance est particulierement grande sauf si elle est a cote de toi. quand tu dis les meme choses face a face, yeux dans les yeux, la distance est particulierement mince. d’ailleurs je pense que toi aussi tu avais compris, tu cherchais peut-etre a esquiver?
Contre toi et avec toi. Tu le sais, non ?
Mieux vaut parfois baiser ses rêves que d’être » baisé » par la réalité non ?
Et quand bien même il puisse y avoir au réveil un ressenti de frustration, les rêves érotiques procurent du plaisir et des sensations fort agréables.
Cordialement
Elise
E&M
Et parfois on aurait bien voulu que ce soit un rêve plutôt que se fourrer ensuite dans la merde (au sens figuré j’entends bien)
@ hélène > Hum, parfois, oui, mais il ne faudrait pas que ça devienne trop frustrant.
@ Vagant > Bah, c’est pas mal non plus, genre « la rétrospective ».
@ columbine > Je ne cherchais pas à esquiver, je voulais être sûr du sens de sa question. Je ne sais pas si je serais capable, les yeux dans les yeux, de dire ce genre de choses. Je crois que je me sentirais un peu ridicule. M’enfin, j’en dis d’autres.
@ *** elle *** > Certaines questions sont purement réthoriques, oui…
@ Élise & Marc > Mes rêves érotiques « endormis » sont toujours vraiment très très sages (mais quelle intensité !!). Un petit bisou de rien du tout m’y rend tout fou.
(PS : votre vidéo « vintage » était un petit régal, j’adore les cheveux courts…)
@ Les Draps Prunes > Que serait-on, aussi, sans l’expérience du réel ?
Oui, c’est bien l’expérience qui fait ce que nous sommes. Et dans le réel oui :-)
Merci pour cet éclairage CUI, lol
C’était une belle note… simple et délicieuse. :)
@ Miss S » Yep ! C’est vrai que c’était une note dans le genre « simple et efficace » ! Un genre qui plaît, des fois je me demande pourquoi je me fatigue à en pondre des feuillets entiers !
Moi aussi j’aime bien Placebo.
@ An’ » Comme je suis un grand malade, je préfère le vrai remède ;-)