Je suis en plein rêve et il s’annonce délicieux.
Ézéchiel (mettons qu’il s’appelle ainsi) m’invite à une fête des sens chez lui. C’est un jeune homme moderne, environ 28 ans, il porte une barbe, il a la peau mate et je crois qu’il joue dans des films pornos féministes. Il y a déjà deux filles avec nous, très jeunes.
L’une m’informe qu’elle a seize ans ; je lui réponds que je respecterai la loi et que je ne coucherai donc pas avec elle.
Il s’agit donc d’un rêve qui parle de luxure, mais aussi de droit.
Surmoi de mes deux.
Un peu de temps s’écoule et des femmes, toujours bien jeunes, nous rejoignent. Combien sont-elles à s’ébattre, belles et nues, avec Ézéchiel ? Au moins cinq ou six.
Je sors de ma torpeur, m’apprête à les rejoindre.
J’entends l’une d’elle parler de je-ne-sais-quoi et je comprends alors qu’elle connaît ma fille cadette.
Je ne peux décemment pas les rejoindre, c’est trop dangereux.
Je m’éloigne, donc.
Fin du rêve.
Surmoi de merde.
je suis plus perplexe que mal à l’aise, le trouble érotique en soi n’a jamais été quelque chose de « mal » pour moi, y compris au risque de choquer, celui éprouvé envers les adolescents, lolitas filles ou garçons, ou une personne bien plus jeune que soi-même. le passage à l’acte, c’est une autre histoire. maitriser ses pulsions est un exercice intéressant…