À peine une poignée de minutes que je suis chez toi, je sens déjà mon sexe gonflé attendre sa libération. Je me déshabille à la hâte et cette envie s’impose : je vais explorer ta face Nord, sans préliminaire. Ma queue invariablement dressée vers ton cul comme l’aiguille de la boussole vers son pôle, je te cloue au sol et je t’encule.
[1453] Writober – jour 15 – casque
Intercom Dexter D1 EVO – DUO (env. 180 €)
J’aime : l’autonomie, le rapport qualité prix, le plaisir de pouvoir parler librement avec ma passagère pendant tout le trajet tandis qu’elle se serre contre moi.
Je n’aime pas : le système de fixation au casque, l’ergonomie des commandes avec les quatre boutons peu intuitive.
[1452] Writober – jour 14 – tique
Vous vous rendez compte, ami·e·s lecteurs·trices, que j’ai écrit une chanson pour vous ?! Mais hélas – tique –, a-t-elle eu le succès mérité ?! En plus, y a la charmante voix d’une charmante compagne de route de ce burp dedans. Alors je vous prie d’aller rapidement l’écouter (si ce n’est pas encore fait) et d’aller y laisser un commentaire de groupie.
[1451] Writober – jour 13 – toit
Pas de course poursuite à moto sur les toits d’Istanbul pour cet opus final de James Bond cuvée Daniel Craig, mais quelques clins d’œil (appuyés certes) pour les bondophiles dont je suis, quelques scènes croustillantes et une volonté de filmer différemment certaines scènes d’action – en essayant par exemple de faire ressentir au spectateur l’effet de souffle provoqué par une explosion. À voir ou pas, Mourir peut attendre alors ? Oui.
Mais que ce ne soit pas une excuse pour manquer ce chef-d’œuvre incroyable qu’est Drive my car.
[1450] Writober – jour 12 – bloqué
J’en ai acheté de toutes les formes et de toutes les matières (j’exagère un chouïa). À Ikea ou chez Leclerc. Des fermes et des moelleux. Des lourds ou des légers. Des (prétendument) à mémoire de forme. Mais depuis une semaine, j’ai beau permuter de l’un à l’autre, je me réveille toujours avec le cou bloqué. Je cherche désespérément un meilleur oreiller.
[1449] Writober – jour 11 – aigre
Comme avec Camille, mon histoire avec Pascualina s’avère intense et durable. Je n’arrive plus, ici, à la relater dans l’authenticité la plus entière, parce que j’entre plus profondément qu’avec ma queue dans des intimités que je ne pourrais révéler, exposer, sans risquer qu’elle tourne à l’aigre. Je touche aux limites de mon journal intime / extime.