Avant d’entrer en 2022, pensez à vous faire tester en profondeur par des mains expertes, maniant des écouvillons bien raides et compatibles avec la norme AFNOR ; inspirez un bon coup, et lancez-vous !
La maison CUI vous souhaite une année qui ne s’en laisse pas compter.
Mon amante ibère vante les qualités du chorizo de sa région : « c’est le meilleur d’Espagne, il ne contient que de la viande et du gras de porc, du sel et du paprika piquant ! » Entre deux galipettes, elle m’en tranche quelques rondelles dont je me délecte.
Ma queue a déjà investi le cul de Pascualina quand je suis saisi par une coupable inspiration. Je me saisis du chorizo (d’un diamètre conséquent, ce n’est pas un fuet catalan !) et tente de l’enfoncer dans le vagin de ma créature enchaînée. Échec, ça ne passe pas ! En revanche, le frottement de la charcuterie sur ses chairs commence un peu à la chauffer ; je jubile. Je ronge le contour – miam ! – pour arrondir les angles mais ça ne passe toujours pas. Je me résous à déculer Pascualina pour pouvoir enfourner cette belle saucisse rougeoyante qui finit par se loger entièrement dans sa chatte. Il dépasse une ficelle épaisse et rouge, comme celle d’un tampon gorgé de sang au-delà du raisonnable.
— Ça pique ! gémit Pascualina. — Tant mieux, sera ma réponse tandis que je la rencule dans ma tentative de double pénétration gastronomique et transfrontalière.
Quand j’estime que le jeu a assez duré, je retire le chorizo dégoulinant de mouille en tirant par sa ficelle, puis je le relèche et croque dedans, profitant de ses parfums décuplés.
Je me suis lancé dans le défi Inktober pensant que ça allait passer crème ; les premiers jours, j’avais même pondu quelques texticules à l’avance. Et puis le temps m’a rattrapé, le boulot, les mille trucs à gérer entre banque et notaires (guess what!?) alors j’ai commencé à bidouiller les dates de publication. Et là, je rédige ce billet de clôture le 3 novembre peu avant minuit, après une sacrément rude journée de boulot.
Écarte un peu plus tes cuisses… Que j’y puisse glisser dans ta chatte deux, puis trois, puis quatre doigts… Ouvre-moi ta bouche, ouvre ta gorge et accueille-moi… Montre-moi ton cul ! L’as-tu bien lavé et dilaté ? J’en retire ce gros rosebud et j’y glisse ma queue tendue. Veux-tu que je gicle au fond ? Mets-toi sur le dos et ouvre-toi encore. Mes doigts s’y agitent à nouveau. J’entends tes floc floc mais je n’arrive pas encore à te rendre fontaine.
C’est une vieille histoire drôle qui m’avait fait rire et qui est plus vieille que ce burp, c’est dire si c’est une antiquité. Elle remonte à l’affaire Lewinsky, en 1998.
Bill Clinton prend l’avion. L’hôtesse de l’air remarque un truc bizarre et lui glisse discrètement à l’oreille : — Monsieur le Président ! Vous avez une petite culotte autour du poignet ! Et Bill de répondre : — Oui ! C’est un patch : j’essaye d’arrêter.
Évidemment, c’est ce que tu recherches ici, j’imagine, ami lecteur : du cul, du cru, du croustillant ! Du qui t’amuse ou qui t’excite. Du qui t’ouvre une fenêtre sur mon âme, qu’avec un peu de lubrifiant tu pourras fister. Du qui te donne l’impression de me connaître un peu mieux, que tu m’aies rencontré ou non.
Alors, forcément, en une cinquantaine de mots, je comprends que tu restes un peu sur ta faim.