À la suite de cette note…


Je m’approche d’un peu plus près et je constate que c’est bien un de ces jetons gratuits qui a été sacrifié, qui fera peut-être le bonheur prochain d’un clécaddomane (bricoleur de surcroît).
Ah ah ah ah ! Je me sens comme une sorte de Nostradamus des temps modernes, prédisant le proche passé. Chuis trop fort.
Non, non, n’applaudissez pas, c’est truqué.
Non, non, n’applaudissez pas, c’est truqué.
Le plaisir de glisser son jeton dans la fente…
Aaaaaaaaahhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!
:-)
Quelqu’un a un extincteur pour Roumi ? Il craque…
(Ouhhhhhhh c’est terrible aussi quand le jeton reste coincé… Ouhhhhhh)
Ah j’oubliais aussi ; je ne bois jamais de café (sauf ssi on m’oblige ou que c’est le truc le moins cher dans un troquet hors de prix).
en terre : ça va mieux t’inquiète… mais qu’est-ce que tu crois ? Je me rappelais juste de mon enfance où ma mère me donnait le jeton et moi je courrais pour aller chercher le chariot.
Tu pensais à autre chose, gros dégoûtant ?! :-)
Quand le jeton reste coincé dans la fente, ça s’appelle du vaginisme. :-)
Je crains que la remarque de la petite brune sur l’usage des stupéfiants ne me soit destinée.
Inutile de faire plus avant l’étalage de ta probité morale, un peu de retenue que diable, tu veux choquer mes visiteurs ?
J’imagine que dans notre société guidée par le vice, Roumi, où le sexe s’étale partout entre télévision, internet et kiosques à journaux, tu dois avec tes camarades vertueux, te réunir avec une certaine discrétion pour ne pas t’exposer aux quolibets.
Je t’imagine entrer discrètement au lieu de rendez-vous convenu. On appelle ça les « cinq ascètes ».
Le vaginisme, c’est quand le jeton ne peut pas rentrer dans la fente.
Le roumisme, c’est quand le jeton ne veut pas rentrer dans la fente.
Pour la société guidée par le vice, je confirme que c’est pas forcément fameux dans ce domaine… disons que je trouve notamment assez vulgaire d’étaler des corps nus en permanence partout au regard de tous… la semaine dernière j’étais à une station de métro et il y avait au moins trois femmes à poil pour trois publicités différentes sur un même quai de station… le corps est devenu un objet (et pas seulement celui de la femme d’ailleurs). Et puis surtout je trouve que le fait d’étaler ces corps en permanence leur fait perdre une part de mystère, fait sombrer leur vision dans une sorte de banalité qui explique peut être au passage le manque d’ardeur de certains ou certaines ; après une journée de branlette mentale devant toutes ces images et devant même certaines personnes qu’on peut croiser dans la rue à moitié déshabillées, ben y’en a peu être qui sont fatigués ! :-)
Le roumisme c’est quand le jeton ne veut pas rentrer dans la fente ?! Mais non mon grand, moi je veux bien rentrer mon jeton dans la fente… simplement pas avec n’importe qui et sûrement pas en me disant que le lendemain ce sera définitivement terminé. Roumi veut assurer le service après-vente.
Je comprends ta perception du monde et par certains aspects, je la partage.
Concernant l’étalage de corps nus dans le métro, ce n’est pas tant cette banalisation du corps nu (et de l’érotisme), cette désacralisation, que je déplore, que la projection de la « perfection » de ces corps qui peut facilement nous mener à la frustration, de ne pas avoir à la maison une femme nue aussi belle, un homme nu aussi musclé.
Il faut toutefois que tu prennes en considération le fait que toute relation n’est pas forcément jetable ; et quoi que tu en dises, le fait de repousser sans cesse l’échéance te la rendra de plus en plus difficile à atteindre. Puisque tu joues les sexologues de service avec tes copains, moi je serai celui de ton coach sexuel : MAIS LANCE TOI BORDEL !!!!
Tu sais, je ne joue pas les sexologues de service avec mes amis… je ne pose pas de question moi… ce sont eux qui se confient spontanément à moi, justement parce que je pose pas de questions indiscrètes et donc que je cherche pas à savoir les choses pour le simple plaisir de les savoir et de les répéter. Ce sont donc mes amis qui me donnent ce rôle et j’essaie de les aider avec dévouement bien que j’y connaisse pas grand chose et bien que je préférerais au fond ne pas avoir à entendre des choses dont je ne profite pas moi même.
Tu veux être mon coach sexuel : ben mon pauv’gars t’as pas fini… :-)
Allez, bon courage.