[379] En coulisses

Il y a quelques jours paraissait la note sur le dialogue qu’Alexa et moi avions eu.

Ce que je ne vous ai pas dit, c’est qu’autour du rendez-vous pour l’écriture de cette note s’était construit un petit jeu. En voici le résultat !

AVANT Ci-dessous les deux textes que nous avons chacun écrit de notre côté en présentant les enjeux et… en imaginant ce qui pourrait se passer…

AVANT

Prenons 2 êtres humains, quasi identiques, pour les besoins de l’expérience nous prendrons un élément de chaque sexe, une femme et un homme, que nous appellerons  : ELLE et LUI.

Ils sont en cours de quarantaine, physiquement corrects, normalement dotés intellectuellement, bonne éducation ayant rempli leur programme sans faute : études supérieures, un conjoint, 2 enfants, un métier, des revenus corrects

L’expérience consiste à administrer aux 2 éléments une dose de libido débordante, une grosse dose d’amour du jeu, et quelques doses d’audace et de malice, les plonger ensuite dans un vaste champs de culture hédoniste….

Laissez tremper et mâturer les quelques années nécessaires à enterrer les sales idées de princes charmants et de princesses endormies

Sortez, égouttez…et observez….

ELLE et LUI ont maintenant de nombreuses aventures, sexuelles, ludiques, libertines, amoureuses… Lui s’est brûlé au feu de l’amour interdit une fois, ELLE s’y brûle en ce moment même..

ELLE et LUI ne couchent pas ensemble…

Le jeu auquel nous vous invitons est d’observer ELLE et LUI, et leur vision respective du monde..

Je suis ELLE, et dans quelques heures, j’ai rdv avec LUI..pour retranscrire nos réflexions  à  4 mains

Que va-t-il se passer ?  Qu’en pense-t-ELLE ?

Nous allons nous retrouver dans ce café, tous les 2, contents de feindre chacun de notre coté de maîtriser la situation, 2 cafés, l’ordinateur déjà branché, ELLE jouera la fausse ingénue, tentera quelques manœuvre de séduction, il fera de même de son coté, ils patineront, s’enliseront, mais n’oublions pas que nos cobayes sont loin d’être dépourvus de ressources…

Ils trouveront vite un terrain neutre, soupçonnant déjà que la joute sera équilibrée

Choix du sujet : quelque chose autour de nos aventures extraconjugales et conjugales..

Puis ils se mettront à écrire,  chacun tentant de se maintenir à la hauteur de l’autre, LUI fort de son expérience de blurpeur averti, ELLE de son expérience tout court…

ELLE, voudrait bien lui plaire, beaucoup par coquetterie, ELLE le sait, imaginant avec délice qu’elle pourrait être l’objet d’une de ses notes flatteuses …elle n’en est pas très fière…

LUI, voudrait aussi lui plaire, par coquetterie et aussi par stratégie, IL le sait, ELLE écrit plutôt bien, et sa collaboration pourrait lui valoir quelques notes remarquées..

Ils se plairont. ..

ELLE pressent la possibilité de quelques chose de plus grand, une amitié, une collaboration.

ELLE ne baisera pas avec lui,

Juste ..peut être le sucera… ELLE dit ça pour jouer à l’exciter…

ELLE et LUI sont joueurs… tout peut arriver…même de tous les 2 s’ennuyer..

Je suis ELLE et dans quelques heures je vous raconterai ce qui s’est réellement passé..

Prolégomènes

Au commencement était mon burp. (Le Verbe, pas moins.)

Au septième jour, comme je vis que cela était beau, je créais mon lectorat. De ma propre côte, je rédigeais le premier commentaire d’un lecteur fictif (tel le musicien salant sa coupelle dans le métro), puis un autre vint, puis d’autres, qui [EDIT] crûrent [/EDIT] et multiplièrent.

Au XXXème jour vint la note …. et le commentaire remarqué d’Alexa, qui répondait à mon impression de mâle ayant vécu dans son couple un moment décevant un point de vue féminin. Cela ne correspondait évidemment pas au point de vue qu’aurait pu avoir ma propre femme, mais cela apportait une dimension complémentaire, une profondeur à ma note et s’en suivit un débat fécond entre elle, moi, et d’autres lecteurs/lectrices.

Ceci fit naître en moi l’envie de la rencontrer et, assez rapidement, l’opportunité de le faire se présenta. Au cours d’un déjeuner-chirashi, nous fîmes connaissance, nous nous amusâmes des similitudes et des différences de nos deux parcours, et nous imaginâmes ce qui suit.

Préambule

Heureux de la convivialité de cette première rencontre, je souhaitais qu’il en [EDIT] naquît [/EDIT] quelque chose : je lui proposai de nous revoir pour rédiger une note à quatre mains que j’avais intitulé « Point de vue sur le couple, regards croisés ». L’idée étant de confronter les motivations, les pratiques, l’histoire de deux personnes, un homme et une femme (chabadabada) vivant chacun en couple et ayant ressenti le besoin de vivre en dehors une sexualité adultère de manière délibérée et revendiquée.

Alexa étant joueuse (et moi ne l’étant guère moins), elle proposa de compléter ce projet par la rédaction de deux fois deux notes, une première note que chacun de nous rédigerait présentant ce rendez-vous et la façon dont, selon nous, il se déroulerait, une seconde note postérieure de « débriefing » respectif.

Cela fait donc au total cinq notes :

Alexa-before, CUI-before (cette présente note), Alexa&CUI-together, Alexa-after, CUI-after.

Présentation

Voici donc comment j’imagine le début de notre deuxième rendez-vous. Pour ce qui est du cadre, c’est facile ; c’est moi qui l’ai choisi. Le rendez-vous est fixé au mercredi 25 juillet, 13 heures, au Fumoir, bar cosy et légèrement branchouille près de Châtelet. J’imaginais que nous y trouverions sans peine un coin tranquille où s’asseoir, brancher l’ordinateur et rédiger tout en buvant un verre de vin ou de bière (et probablement leurs cousins) et grignotant un sandwich club en se partageant alternativement le pain de mie et le clavier AZERTY (qui, s’il en vaut deux, ne se manipule pas pour autant à quatre mains).

Nous nous retrouvons, nous faisons la bise, échangeons quelques courtoisies d’usage (« tu l’as bien écrite, ta note ? ») avant de sortir le matériel et de se mettre au travail. Ma première question pourrait être « alors Alexa, et si tu nous racontais un peu ton couple actuel ? depuis combien de temps vivez-vous ensemble ? avez-vous des enfants ? à quand remonte tes premières envies adultérines ? et qu’est-ce qui les fit naître ? et quand passas-tu de l’envie à la réalisation ? » (ce qui fait déjà une première question assez dense).

Je tapoterai aussi rapidement que possible sa réponse, mais sans doute en l’interrompant parce qu’elle parlera plus vite que je ne frapperai, nous reformulerions, et puis elle répondrait à mes questions par les siennes et il y aurait ainsi matière à une note assez longue et riche. Le but étant, selon moi, d’essayer de faire ressortir ce qui est typiquement masculin ou féminin dans ce qui nous distingue, et ce qui serait (je mets un bémol parce que la démarche n’est pas très scientifique) donc plus universel dans ce qui nous rapproche.

Prévisions

Voici désormais les hypothèses que je tisse concernant ce qui pourrait advenir de notre rendez-vous au-delà du cadre strict qui lui était prévu. Ami lecteur, tu te demandes sûrement « coucheront, coucheront pas, ces deux oiseaux ? » (et vu la tendance au libertinage qui les anime tous les deux, j’avoue que je me pose la même question).

Oh, je pense que dans notre enthousiasme respectif suite à la première rencontre, il n’y a guère de doute sur la possibilité d’une liaison entre nous deux. Possibilité qui se nourrirait à la fois d’une attirance physique possible et bien entendu d’une curiosité entre libertins, le potentiel voluptueux qui réside dans l’accouplement de deux personnes éprises de sensualité… Mais de la possibilité à la concrétisation il y a un pas qui ne se franchit pas forcément. Certes, il y a nos disponibilités respectives : elle, provisoirement « débarrassée » de ses amants pour cause de vacances, moi également assez libre de mes mouvements, mais j’ai un rendez-vous prévu à 19h30 en préambule d’une soirée où je me suis annoncé, et nous n’avons pas parlé… réservation d’hôtel (et pour cause, puisque rien n’a été explicitement prévu).

Hum… comme je lui ai dit que j’affectais (parfois) à mes rendez-vous une probabilité de concrétisation, alors je me dois d’en faire une au moins pour celui-ci. La note est assez élevée : 70 %.

Cela commencera par nos pieds qui se toucheront sous la table, la distance entre nos deux corps qui se réduira peu à peu, et cette phrase que l’un de nous deux prononcera en riant : « Bon, allez, on la termine vite fait bien fait, cette note ? ».

APRÈS Ci-dessous, les deux textes rédigés après coup, chacun de notre côté à nouveau… Le verdict en somme !

APRÈS

Je suis ELLE et je reviens de ce rdv..

Je suis séduite

Nous n’avons pas joué, un peu peut être, mais sans malice, juste par plaisir..

Je suis séduite, je ne saurai dire pourquoi.

Pas séduite dans le sens avoir envie de baiser avec lui, pas séduite dans le sens avoir envie de le séduire, juste séduite par l’homme avec qui j’ai discuté ces quelques heures.. ce qu’il est, ce qu’il découvre, par l’intimité découverte au fil des phrases..

Il avait abandonné son air « content de lui » et moi mon rôle « revenue de tout »… ce fut juste.

Séduite par la justesse de nos propos de nos interrogations,

Pas de vrais regards croisés, quoi que, j’ai du mal à me faire une idée de ce qu’on a produit…

Séduite par cet alter ego…

Il n’y manquait peut être que cette dose d’esprit sulfureux qui aurait pu me faire frissonner… mais en même temps séduite de l’apprécier sans frisson au bas des reins…

Si le produit en vaut la peine, il faudra recommencer…

Bon, ceci étant,  je peux avouer… je me serais bien abandonnée à un baiser langoureux et ludique en le quittant… s’il avait osé laisser glisser sa main sur le bas de mes reins.. ;-)

Alex’after

Je suis arrivé au point de rendez-vous exactement à l’heure (en prenant en compte la demi-heure de retard annoncée vers onze heures), légèrement transpirant suite à mes coups de pédale (cf. L’embrayage). Elle m’attendait, souriante ; je ne l’étais pas moins. On échange quelques propos avant de consulter le menu. Je suis plein d’énergie, prêt à sortir le portable pour commencer à rédiger notre grande note, mais elle tempère mon enthousiasme en suggérant que l’on prenne d’abord le temps de manger, d’autant qu’elle a grand faim. Soit.

Déjeuner léger et mutin, on se raconte nos dernières petites histoires, ma quinzaine de liberté qui manque de concrétisation, son amant Italien possessif (litote ?), son petit-déjeuner mutin programmé le lendemain, etc.

Puis nous attaquons d’arrache-pied l’écriture. Je prends le clavier, rédige et questionne, elle prend le relais, nous sommes ralentis par notre vitesse de frappe qui ne suit pas nos mots (NB : la prochaine fois, penser à prendre une sténo – bi).

Un couple d’heure plus tard, on referme l’écran et nous poursuivons notre discussion, puis vient le moment de nous séparer. Il est 17 heures, je pense à Paris-Plage, juste à côté. Elle va retourner à son boulot, propose de me rapprocher de Barbès, sa voiture est au parking souterrain juste au pied du café.

Parking souterrain…

Paris-Plage…

Une moitié de mon cerveau me suggère de descendre et voir ce qui peut bien se passer dans un parking souterrain entre deux libertins sans perspective d’hôtel.

L’autre moitié du cerveau proclame, méthodique : « mais non, elle ne va pas dans ta direction ». Elle emporte le morceau, cette conne qui se croit plus rationnelle.

17 gazouillis sur “En coulisses”  

  1. #1
     
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    wrong forever a gazouillé  :

    Une note tous les deux/trois jours, ciel on peut dire que tu te préoccupes de ton lectorat ;)

  2. #2
     
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    PJ a gazouillé  :

    hey!! C’est du piquage de couleurs, ça!!

  3. #3
     
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    PT a gazouillé  :

    (PJ…: hey, tu m’as piqué mon com!!)

  4. #5
     
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    Comme une image (wifi enabled) a gazouillé  :

    @ wrong > C’est pas comme d’aucune qui profite des vacances pour fermer la boutique (genre le gouvernement qui profite de la torpeur estivale pour faire passer ses mesures impopulaires).

    @ PJ & PT > Il me semble que « rose pour les filles, bleu pour les garçons », il y a des précédents sur lesquels vous aurez du mal à prétendre du moindre droit de propriété.

    @ f. > Merci énigmatique f. Néanmoins, la série s’arrête là, hélas. Bientôt, une autre série ici-même :-)
    Et bonnes non-vacances.

  5. #6
     
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    Forever Wrong a gazouillé  :

    Choupinet, tu n’as rien compris. Si je pars c’est pour mieux revenir :)

  6. #7
     
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    secondflore a gazouillé  :

    La démarche est amusante… Et ces deux chutes (de reins et de rien), en regard, j’aime beaucoup. Salutations.

  7. #8
     
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    kara a gazouillé  :

    Je suis un peu surpris, dans un texte qui se veut élégant écrit par un homme bien élevé, de lire les mots :

    « qui croissèrent et multiplièrent ».

    Il me semble que c’est indigne de vous. Où donc vous a-t-on enseigné à conjuguer le verbe « croisser » ?

    J’aimerais mieux aussi que vous souhaitassiez qu’il naquît quelque chose de la première rencontre dont vous nous rendez comptes ici, et que vous n’écrivissiez pas :  » je souhaitais qu’il en naisse quelque chose ». Mais vous pourriez arguer pour votre défense qu’il s’agit là d’un solécisme usuel, que peu remarqueront.

    Malgré son style tendu et son assez bonne tenue d’ensemble, votre texte est déparé par d’autres menues défaillances. Je me contente de vous indiquer les deux que je viens de citer, qui m’ont frappé : la première de celles-ci est savoureuse, la seconde plus banale. Mon intention n’est pas d’en entreprendre un relevé méthodique au fil de votre journal (à moins que vous ne m’en priiez vous-même ; en ce cas, cela devrait, à mon avis, trouver place plutôt dans des messages privés antérieurs à la publication d’un fragment préparé que dans des commentaires publics après la publication de celui-ci).

  8. #9
     
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    PT a gazouillé  :

    ouaaaaaaaaaaah… Y’a du deuxième degré là où tu es? Fais des provisions ;-) (et puis maintenant que PJ écrit en bleu…!)

  9. #10
     
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    Miss S a gazouillé  :

    Intéressante mis en plis…

  10. #11
     
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    TocirbA a gazouillé  :

    Toujours particulier une rencontre. Que l’on ait communiquer ou non auparavant. C’est l’intrigue, la nouveauté, la surprise, bonne ou non.

  11. #12
     
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    Comme un kouign-aman a gazouillé  :

    @ Alphavillette > Nan mais d’où tu m’appelles Choupinet, toi ??!
    Sinon, tu comptes nous faire des adieux à la Sheila alors ? Wahouuu…

    @ secondflore > Merci merci ! J’en profite pour te dire que je profite aussi de ta petite rétrospective estivale (même si je reste silencieux, si tu savais le prix que m’a coûté ma dernière carte d’accès wifi, y zy vont fort, les dealers de la Côte d’Azur).

    @ kara > Ah ! barbarisme & solécisme sont les deux mamelles de CUI (et je tête à tout vent). J’irai corriger mes horreurs prochainement (j’ai beau avoir été bien élevé, je suis faillible, et pas qu’un peu comme vous le faites remarquer). Et je n’ai rien contre le fait qu’on me signale mes coquilles, bien au contraire (je m’autorise à le faire ailleurs et certains le prennent mal – pas moi).
    J’aime bien aussi que les commentaires ne portent pas que sur les erreurs de forme mais contribuent à enrichir le fond (ceci étant dit en passant).

    @ PT > Elle écrit où, PJ ?

    @ Miss S > Ouais, et sans couper les cheveux en quatre !

    @ TorcibA > Pour la petite histoire, nous nous étions déjà vus avant ; c’était donc notre deuxième rendez-vous in vivo (IRL, si tu préfères).

  12. #13
     
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    PJ a gazouillé  :

    PJ, elle écrit là où tu cliques dessus elle ou dessus PT…
    ; )

  13. #14
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ PJ > PT et toi savez combien j’apprécie d’être tenu au courant ;-))) Tu veux un TUC ?

  14. #15
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ PT > Pfff, j’y pense, tu dois être trop jeune pour comprendre mon jeu de mot sur TUC.

  15. #16
     
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    Sapheere a gazouillé  :

    vraiment interessant comme exercice, le fond comme la forme, ça me fait sourire ces regards croisés, on papote de sa vie bien rangée et de la façon dont on se perd doucement dans les méandres de l’adultère, et on veut nous faire croire que c’est une rencontre en tout bien tout honneur, entre un homme et une femme que tout pourrait pousser à la faute….. Si c’est pas un bel exercice de sado masochisme ça….
    Bref, moi ce que j’adore c’est la chute: Alexa avouant qu’elle aurait bien succomber alors qu’elle se jurait de ne pas le faire (les femmes sont d’un compliqué), et CUI qui l’aurait bien attrapée dès les premières minutes et qui finalement s’est fait une raison :-))) très drôle.

  16. #17
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Sapheere > Merci de ton intérêt ! Quant à la rencontre de deux « libertins » (appelons ça comme ça), doit-elle forcément donner lieu à une partie de jambes en l’air ? Ne serait-ce pas un peu téléphoné ? J’aime parfois (et tu en sais quelque chose, délicieuse) laisser au désir le temps de prendre forme, de s’épanouir. Ça a un petit côté maso, je te le concède.

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