Archives mensuelles : août 2015

[1276] Rock-en-Seine 2015 vite fait (1/3)

Rock-en-Seine 2015 vite fait (1/3)

Oui, vite fait, même le titre de cette note d’une platitude infinie. C’est que j’ai Berlin à finir de vous raconter alors allons-y fissa ! Vous pouvez par ailleurs retrouver mon live tweet en faisant une recherche sur @cmmnmg #RES2015. Day 1 J’arrive sur le site tranquille, à l’heure qu’il faut, après être passé par la… Vite ! la suite »

[1275] Éroffsphère

Est-ce que j’ai une gueule d’Érosphère ? La question n’est pas si triviale ! Toujours est-il que, pour la troisième année consécutive, je me rendais au Off du festival Érosphère, un événement très bien résumé par la triple thématique de cette année : douceur, soufre (avec un seul « f », mais libre à vous d’en rajouter un deuxième) et… Vite ! la suite »

[1274] Love, et c’est raté

Affiche du film de Gaspar Noé « Love » indiquant « En France, l'amour est maintenant interdit aux moins de 18 ans »

Je suis donc allé voir, en 3D s’il vous plaît, Love de Gaspar Noé avec, je dois l’avouer, un a priori négatif, qui s’est malheureusement transformé en a posteriori négatif. Sur le comment et le pourquoi, je vous invite de lire mon avis en commentaire chez une Gaspard beaucoup plus aimable, ma blogueuse aux seins… Vite ! la suite »

[1273] Carte postale de la canicule (6)

Il n'avait pas beaucoup d'humour, sachant s'exprimer mais ne se montrant jamais spirituel ; c'était quelqu'un qui n'avait jamais de sa vie tenu de propos caustiques ou ironiques, à qui il n'arrivait que rarement de faire une plaisanterie ou de dire quelque chose pour rire (...)

Paisiblement allongé sur la petite plage de Balos (un endroit magnifique, en Crète), j’achève Némésis de Philip Roth. Je tombe, dans l’épilogue, sur cet extrait : Nous nous approchons de 17 heures au moment où je lis ce passage, pas spécialement révélateur de la force douloureuse de ce livre, mais (puisque nous parlions récemment avec Brigit… Vite ! la suite »

[1272] Carte postale de la canicule (5)

Marlo Broekmans - just a pulp

J’ai lu ce texte chez la trop rare Lux Lisbon et comme souvent, quand je lis un texte érotique (mais à vrai dire le fonctionnement est le même pour la lecture de quasiment tout texte de fiction), je me projette sur un des personnages. Pour moi, un texte fonctionne d’autant mieux que le processus d’identification… Vite ! la suite »