[1079] Penses-tu encore à moi ? (10)

Ça fait depuis le CM2 au moins qu’on se connaît, peut-être cela remonte-t-il même au CE2, quand je suis arrivé à l’école primaire B*** après mon déménagement. Je pourrais interroger mes photos de classes, mais dans ma mémoire, je ne remonte pas avant le CM2, où j’ai en tête des images de cour de récré où nous jouions ensemble. Je n’étais pas une « fille manquée » mais je faisais partie des garçons pas passionnés par le foot et je fréquentais donc des filles, dont toi, et des garçons qui ne jouaient pas forcément au foot ou à l’élastique (il m’est arrivé occasionnellement de jouer à l’un comme à l’autre). Nous avions des jeux mixtes, de gendarmes et voleurs, d’osselet, etc., ou bien, tout simplement, on tapait la discute.

Arrivé au collège, nous faisions partie de la petite bande de copains qui se retrouvaient presque systématiquement à chaque récré et à la pause du déjeuner, avant ou après la cantine, du côté de la haie, sur une petite butte à droite de la cour, contre le mur qui nous séparait de la forêt. Si ma mémoire est bonne, les groupes mixtes n’étaient pas si fréquents au collège, où c’était plutôt les filles d’un côté et les mecs de l’autre (amis lecteurs, c’est le moment de ressortir vos souvenirs).

Tu faisais donc partie de mes très bonnes copines, tu étais la meilleure copine de ma meilleure copine (qui habitait juste à côté de chez moi, et chez qui j’allais souvent squatter le mercredi après-midi ou le week-end. Cette meilleure copine en pinçait peut-être pour moi – elle ne me l’a jamais dit, mais elle eut un jour un comportement qui me fit douter (j’y reviens plus bas) – mais, pas de bol, moi c’est toi que je kiffais grave (NB : je signale à la jeune frange de mon lectorat que cette expression est grave un anachronisme). Je ne sais plus dire non plus à quel moment je me suis dit que j’étais amoureux de toi ; avant l’adolescence, ce concept était un peu abstrait, mais avec la poussée d’hormones, je suis devenu un masturbateur compulsif de la main droite, tandis que mon comportement, gauche, me faisait désirer beaucoup de jolies jeunes filles de mon entourage de façon désordonnée (un jour je tripais sur É*** et le lendemain M*** m’accompagnait dans mes fantasmes pré-hypnotiques), mais n’en séduire aucune, vu que j’étais bien trop inhibé pour déclarer ma flamme à quiconque ni même tenter la moindre approche. J’étais juste le bon copain.

En quatrième, je suis tombé raide-dingue d’une sérieuse concurrente à cette bande de jeunes filles en fleur parfumées au Biactol : l’informatique. J’ai embrassé (avec la langue) cette profession dans le CDI du collège en découvrant (et en apprenant quasiment par cœur) un ouvrage de vulgarisation sur le sujet où il y avait même, dans les annexes, une vraie carte perforée (là encore, je m’adresse à mes jeunes lecteurs : cherchez juste pas à comprendre, jeunes cons).

Il me restait quand même un peu de cerveau disponible pour être amoureux de toi, A***, et après des semaines d’hésitation moite, j’ai fini par te rédiger ma déclaration d’amour sous forme d’organigramme. « Salut. M’aimes-tu ? Si oui, GOTO tralala ; si non, GOTO chercher un tanière profonde pour cacher ma honte et digérer mon chagrin. » (J’ai l’air de plaisanter ?)
Après moult transpiration là encore, j’ai réussi à planquer l’enveloppe qui contenait les premières lignes de code de mon programme amoureux dans ton cartable pendant un cours d’allemand, et chaque jour qui suivit, je me rendais au collège dans un état d’intense fébrilité, attendant ta réponse.
Le lendemain, rien.
Le surlendemain, pas plus.
Imaginez l’état dans lequel j’étais une semaine plus tard, n’osant évidemment pas te demander ta réponse, encore moins pourquoi tu ne me répondais pas. Je finis par me confier à notre meilleure amie commune, qui t’a donc transmis le message, et le lendemain, j’ai eu ton…
j’ai eu ton…
j’ai eu ton OUI !
Putain que j’étais heureux !

Je passe sur l’épisode avec É*** (je pense qu’il y a eu là intervention pas très bienveillante de la copine, d’où mon soupçon qu’elle fut jalouse) qui voulait me casser la gueule à la récré, soit disant parce que je lui avais piqué sa copine qui venait d’accepter de sortir avec lui (soit dit en passant, A***, je n’arrive pas à croire que tu aies pu dire oui à ce lourdaud). J’ai eu le droit à son poing dans la gueule le jour où je n’ai pas couru assez vite à la sortie du collège (je vous rappelle que je n’étais pas foot, donc pas baston non plus), suivi quasiment immédiatement de ses excuses quand il a appris que ma déclaration était antérieure à la sienne, même si ta réponse fut postérieure, du fait de mon enveloppe trop bien planquée dans ton cartable (tu ne l’avais pas trouvée, en fait).

Nous étions donc officiellement amoureux l’un de l’autre, mais nous n’étions pas sortis de l’auberge. Il fallait donc maintenant nous embrasser. Je passais désormais mes après-midi libres et des bouts de week-end chez toi, quand tes parents nous autorisaient à nous voir, car ils étaient très stricts sur ton temps de devoir.
Et là, nous sommes partis sur encore de très longues tergiversations.
— On le fait, là ?
— Ouais ! On le fait !
(…)
— Bon, on le fait, là ?
(…)
— Et si on mettait de la musique pour s’ambiancer ? (trop de la balle, cette expression, c’est R. qui me l’a appris, total anachronique aussi, NDLR)
Notre tube, c’était L’été indien de Joe Dassin (que je connais absolument par cœur pour l’avoir entendu whatmille fois), mais Carlos tentait aussi de nous encourager avec son plus jovial Big Bisou (que j’ai connu par cœur aussi mais dont mon cerveau snob a réussi peu ou prou à planquer dans un recoin sombre de ma mémoire).

Nous avons essayé de créer une intimité plus propice à notre premier attouchement buccal dans ton tunnel-crocodile. Ça n’a pas marché non plus.

Des semaines se sont écoulées avant qu’une après-midi, par je-ne-sais quel miracle, nous avons enfin trouvé tous les deux le courage de nous donner ce baiser. Je me souviens de notre maladresse, de nos hésitations, de mes bagues orthodontiques qui ont cognés tes dents, de la gêne qui en a résulté, et je garde, plus de 30 ans après, un souvenir d’une émotion sans plaisir. Je ne suis même pas sûr que nous ayons eu un 2e baiser. Un peu de temps a passé, et tu as fini par me larguer, peut-être impatiente de trouver un garçon un peu plus audacieux.

Voilà à quoi je peux résumer cette première amourette : un organigramme, un coup de latte, un baiser (coucou M’zailes !), que dis-je, un Tiny bisou goût métal, et rideau.

Ensuite, je suis tombé amoureux des palanquées de fois, mais sans le moindre succès, quelques déclarations d’amour écrites (pas capable de faire autre chose) repoussées poliment, cinq ans de patience avant de retrouver une fille qui veule bien m’embrasser et me dépuceler dans la foulée (cf. ma Journée particulière) – pour le coup, ce fut un baiser chargé d’émotion et de plaisir, et je m’en souviens des plus vivement.
Nous sommes restés copains jusqu’en seconde, et puis là, notre meilleure copine commune et toi, vous avez un un tournant hard-rock, nous nous sommes éloignés, puis complètement perdus de vue après le lycée.

C2C-Tetra4
Penses-tu encore à moi ? Sans certitude, je crois que j’étais, pour toi aussi, le premier baiser. A-t-il pour toi ce même goût étrange de la première fois, si intensément attendue, mais finalement décevante – la montagne qui a accouché d’une souris – ou lui trouves-tu une autre saveur ? Es-tu saisie par l’étrangeté du contraste entre nos compulsions de jeunes ados (étais-tu une petite branleuse à cet âge ?) et la timidité de nos ambitions amoureuses ? Quel souvenir gardes-tu de ton prétendant à nos amours balbutiantes ? Te demandes-tu ce à quoi pu ressembler la liste de mes histoires de cœur et de cul dans laquelle tu portes le numéro 1 ?

Moi, je pense encore à toi et j’ai longtemps eu envie de te revoir, caressant même l’espoir de te re-séduire pour jouer à donner une suite un peu plus hardcore à ce baiser raté. J’ai failli te revoir lors de la fête que j’ai donnée pour mes trente ans ; j’avais envie de revoir quelques anciennes têtes de ma jeunesse, tu aurais pu dire oui mais tu avais un autre engagement à cette date, et quand tu as essayé de me rendre la politesse quelques mois plus tard, c’est moi qui n’ai pas pu.
Je t’ai googlée, j’ai essayée de te retrouver sur les réseaux sociaux. J’ai trouvé dans l’annuaire ton numéro de téléphone, j’ai tenté de t’appeler plusieurs fois mais ça n’a jamais décroché, j’ai songé à appeler chez tes parents qui n’avaient pas déménagé, mais je n’ai pas osé. Et puis j’ai fini par trouver une photo de toi où je n’ai pas reconnu la magnifique jeune fille que tu étais, et mon rêve de reviens-y nostalgique est parti en fumée. Mais tu restes ma numéro une à tout jamais. Adeline, ma Valentine.

53 Responses sur “Penses-tu encore à moi ? (10)”  

  1. #1
     
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    FLORENCE a gazouillé  :

    Les années « collège », le 1er baiser avec ses maladresses et la p’tite voix dans la tête « ne pas oublier de tourner la langue »…

  2. #2
     
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    Marie a gazouillé  :

    Un informaticien par vocation! C’est pas courant, ça! Je crois que la plupart de ceux que je connais sont arrivés à ce métier faute de mieux et n’y voient qu’un travail alimentaire qu’ils quitteraient sans trop de regrets, ce que je trouve très triste.
    Ca me rappelle qu’à peu près à l’époque de ta découverte de l’informatique, mon père s’était acheté un ZX81 et que je m’amusais à faire de petits programmes, mais je neme suis pas découvert de vocation pour autant.
    Pour ce qui est des jeux, à l’école primaire j’avais autant d’amis garçons de filles et je me souviens qu’on jouait tous ensemble. Il faut dire qu’on était 16 en CM2. On jouait tous au foot, à la balle au prisonnier, à chat, souvent les garçons contre les filles. A la tapette, beaucoup aussi. Je faisais acheter à mes parents des images Panini rien que pour ça. Ensuite, au collège, je me suis retrouvée dans une école de fille. C’était autre chose!
    Un problème avec les virages hard rock?
    C’est une très jolie histoire en tout cas, et moi aussi je préfère ça aux billets de fainéant.

  3. #3
     
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    M é a gazouillé  :

    J’ai cherché il y a quelque temps certains de mes amours d’ado… Google image et fB m’ont renvoyé un paquet d’images de types chauves et bedonnants… et là je me suis félicitée d’en vaoir épousé un autre qui vieillit carrément mieux !
    (peut être que finalement à mon contact ils auraient mieux vieilli ? hihihi !! prétencieuse que je suis… :-p)

  4. #4
     
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    Leela a gazouillé  :

    ohhhh un algorithme amoureux :)
    je suis fan !

    Je ne me souviens plus trop de mon premier baiser, même si je me souviens de qui, et du lieu… je ne saurais dire exactement ce que je ressentais à ce moment là, si ce n’est un arrière goût de transgression parce que je devais avoir à peine 10 ans, peut être moins, et que nous n’étions pas vraiment autorisés à fricoter de la sorte.
    Je ne sais pas s’il se souvient de moi comme je me souviens de lui.

  5. #5
     
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    Audrey et Cristophe a gazouillé  :

    Ce premier largage a t-il été très douloureux ?

  6. #6
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Florence » Oh la la ! Tourner la langue !!! Je me demande si je n’avais pas eu la même consigne ; mais je crois qu’on ne l’a pas appliquée (c’était un peu dégueu, quand même, uh uh).

    @ Marie » J’oubliais les billes, dans les jeux fréquents de nos cours de récré. J’ai fait aussi quelques albums panini, mais bof.
    Pour ce qui est du virage hard-rock, oui, ça m’a posé problème parce que je n’étais fan ni de la musique, ni du look qui était censé aller avec (moi, j’étais plutôt new wave, mais pas du tout fringué corbeau), du coup, je n’ai pas suivi.

    @ M é » Mais ça ne m’étonnerait pas que nos conjoints aient une influence sur nos états de conservation, tu sais ! Je t’autorise donc à te flatter ;-)
    PS : finalement, un truc qui marche bien, c’est de regarder le père ou la mère. On a quand même une certaine tendance à ressembler à notre ascendance, avec le temps…

    @ Leela » Alors, quel est le plus ancien baiser dont tu te souviennes de l’impression qui l’a accompagné ?

    @ Audrey & Cristophe » Eh bien, je ne m’en souviens pas trop, de ce que ça m’a fait. Alors soit ma mémoire a occulté ce drame de ma jeunesse, soit c’était plutôt bénin (je me souviens en revanche de certains refus cuisants !).

  7. #7
     
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    zut a gazouillé  :

    @ Audrey & Christophe

    « Certains refus cuisants » en voilà une idée de billet.
    Je suis certain qu’il y aura des gazouillis surprenants quand aux motifs de refus.

    Quand à ma première salade de langue, bon, heu ça date et alzaimer est passé par là. Quoi que je me souviens de m’être beaucoup entraîné sur mon oreiller.

  8. #8
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ zut » Sadique ! Je ne sais pas si je vais retourner le couteau dans ces vieilles plaies, mais j’en ai au moins un en tête qui sera inclus dans ma série « penses-tu encore à moi ? » pour laquelle j’ai encore un peu de matière !

  9. #9
     
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    Brigit a gazouillé  :

    j’étais chez les soeurs, donc pas de récré mixte, ni d’émoi dans les salles de classe. quoique, la dernière année de lycée… mais c’est une autre histoire

    j’ai plus de souvenirs des clubs de sport où la mixité était de rigueur et des vacances avec tous les cousins et les enfant/ados, jouant aux jeux interdits
    mon premier « vrai » baiser fut une expérience scientifique avec deux frères… moins innocente qu’il n’y parait

    sinon, pour le hardrock, c’est dommage…

  10. #10
     
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    dita a gazouillé  :

    A mon boulot cette semaine, un jeune s’est fait « chopé » le mot qu’il avait donné à une fille :
    « Veux tu faire l’amour avec moi ?
    et dessous deux cases avec OUI…. NON …. »

    Mon premier baiser a été très tardif.J’étais au lycée!! et toute cette attente a été un calvaire.j’étais déjà autiste. Du coup la première fois, j’ai embrassé deux garçons à la suite,et j’ai glissé ma main dans le pantalon du deuxième o_O.
    J’ai trouvé tout ça très très bon.
    Au collège pour m’entrainer, j’ai bien embrassé mon bras des heures durant^^ et sinon ma meilleure amie m’attrapait la bouche de temps en temps et c’était bizarre :/

  11. #11
     
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    mimilette a gazouillé  :

    Sacrée idée de billet. Un vrai sofa de psy. Bravo !
    Je garde plutôt un bon souvenir de cette époque, malgré les interdits qui régissaient mon environnement, culturellement parlant.
    Au début, j’étais chez les sœurs donc les garçons [gros fantasme nourrit à coup d’embrassades entre filles, d’amourettes vantées et de spéculations sur les rares profs homme], ce fut au collège. Bon, le démarrage fut houleux : je ne correspondais pas trop aux standards de cette époque, disons physiquement, j’étais trop mince pour certains, trop cool pour d’autres. Sinon, la mixité au collège fut une révélation pour moi. Je me suis découvert l’âme d’une leadeuse. Forte en sport et représentante de classe (ben oui j’étais une très bonne élève), ça m’a valu des rapprochements amicaux de pas mal de beaux partis. L’école buissonnière, les parties de foot, les 1eres taffes … Ça faisait baver les filles.
    Mon 1er amour ? Je l’ai juste frôlé du regard, longtemps. 1er baiser ? un peu voyou, à 13ans. J’espérais toujours avoir raison d’un bad boy et je l’ai eu. Je me suis entrainée sur mon bras (comme dita), rallonger mon chemin, prétexter un devoir, etc. Baiser parfait, baveux, sensuel, délicieux. Je me suis même surprise, à notre 2eme rencard, à glisser ma main dans son pantalon, devant les passants.
    Nos chemins se sont séparés doucettement. Peut-être mon coté quêteuse frénétique de quelque chose de nouveau et différent, cette pseudo liberté qu’on croit avoir une fois au lycée, la désapprobation des parents etc. m’ont poussée, sans état d’âme, à quitter et changer. Je ne tenais pas en place, en réalité, à 16ans (rires)
    Beaucoup de déception, de coups ratés (un coup de foudre poignant en école de commerce, juste au moment de partir), de coups sans lendemain, d’amoureux recroisés 15ans après (bedonnants aussi), et de noms sur un carnet.
    Je n’ai jamais pensé aux conséquences de vie, si j’avais suivi un autre chemin que l’actuel. Je sais seulement que celui où je suis aujourd’hui, dompte et s’emboite bien avec mon énergie et mon ardeur de vie … « Le hasard appartient aux gens qui le font » et je me demande si on ne finit pas par choisir les bons atomes, naturellement, quand on réfléchit un peu et on regarde en arrière.

  12. #12
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Brigit » Une expérience scientifique avec deux frères, effectivement, même telle que tu le présentes, ça n’a pas l’air innocent du tout ! (Sinon, pour le hard-rock, je ne vois pas trop ce qui est dommage là-dedans… Juste que tout le monde n’évolue pas de la même manière, que du coup des liens se font et se défont… La vie, quoi !)

    @ dita » Mon organigramme à moi était quand même un peu plus élaboré ;-)
    Sinon, je trouve que le 2e garçon a eu du bol, dis donc !

    @ mimilette » Eh bien, quand tu vois un divan, tu n’hésites pas à t’allonger dessus ;-)
    Comme toi, je n’ai pas l’impression d’avoir fait de « mauvais » choix et je ne me tourmente pas à imaginer si ma vie serait plus ceci ou moins cela si j’avais, dans le passé, emprunté d’autres chemins. En revanche, ce dont je suis persuadé, c’est que l’on se construit à partir des choix que l’on fait.

  13. #13
     
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    madamesennuie a gazouillé  :

    Aussi loin de que je me souvienne, j’ai toujours traîné avec des garçons. Je n’ai découvert que très tard tout l’intérêt d’avoir des copines filles!
    Je ne garde pas forcément de bons souvenirs de cette époque, j’avais envie d’aller voir ailleurs, je trouvais que tous manquaient de curiosité. Je suis partie à la première occasion et je n’ai eu de cesse de m’éloigner, sans regret!
    Mon premier baiser, en 4ème, avec un garçon qui bavait trop…:p Mon 1er amour, un italien, sombre et délicieux, emprunté par ma meilleure amie…

    La dernière phrase de votre texte me fait penser, à une autre phrase, extraite d’un texte racontant la vie d’un homme (lui aussi marqué par son 1er amour): « Pour ne rester fidèle qu’à elle, il fût infidèle à toutes ».

  14. #14
     
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    mimilette a gazouillé  :

    Rires … Il y a toujours un Divan quelque part, pour vous faire du bien ;)
    Des choix qui parfois, s’imposent à nous et dont on essaie de s’en convaincre fortement, pour mieux passer aux autres choix. En repensant cette époque-là, je me demande si on avait parfois un vrai choix à faire, face à la fragilité de nos sentiments, notre construction en devenir … Comme une certaine expérience « Space mountain », plus question de descendre, on espère juste que ça va vite se terminer et se dire qu’on l’a fait, qu’on a bien fait. Check ! Done !

  15. #15
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ madamesennuie » C’était en quelle classe, cet italien non baveux ? (Et ça s’est bien passé, l’emprunt par votre meilleure amie ?)

    @ mimilette » Tout le monde n’a pas la chance de faire un tour de space mountain à cet âge-là. Moi, c’était plutôt la mer de sable (je veux dire : la traversée du désert, quoi).

  16. #16
     
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    L'Onirique a gazouillé  :

    Mon fervent amoureux depuis le CE2 en fin de CM2 a voulu m’embrasser, j’ai pudiquement donné ma joue.

    j’avais presque 18 ans pour mon premier baiser avec mon copain.
    c’était surprenant et peu enthousiasmant.

    je n’ai été friande de baisers qu’avec Celui qui m’en a fait découvrir l’intensité.
    sinon ce mélange de goût et de trop plein de salive m’a rebuté pendant quasi une décennie.

  17. #17
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ L’Onirique » Fallait essayer avec un tuyau d’aspiration de dentiste, alors ?
    (Je plaisante, je plaisante.)
    C’est original, de ne pas aimer les baisers, c’est souvent le premier des premiers préliminaires et c’est un moment où l’on est sérieusement observé par l’autre (je connais plusieurs filles qui m’ont renoncer à aller plus loin avec un homme parce qu’il embrassait mal).
    Je te souhaite en tout cas de ne plus t’en lasser, avec Lui ou un Autre…

  18. #18
     
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    Madamesennuie a gazouillé  :

    L’italien, c’était au lycée… Quant à miss j’emprunte, elle a du garder l’empreinte de ma main sur sa joue pendant quelques jours.

    Je confirme: le 1er baiser est pri-mor-dial…

  19. #19
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Madamesennuie » C’est long, le lycée. Plutôt un baiser en seconde ou en terminale ?
    Quant à cette baffe, ma foi, je crois que c’est plutôt votre latin lover qui la méritait (selon ma vision actuelle des responsabilités de chacun).
    La première gifle, c’est pri-mor-dial aussi ? ;-)

  20. #20
     
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    Madamesennuie a gazouillé  :

    Entre la première et la terminale. L’année du bac fût intéressante…!
    Peut-être qu’il aurait mérité une gifle AUSSI, mais j’ai préféré l’ignorer le reste de l’année.
    Quant à la gifle, ce fût la seule de ma carrière.

  21. #21
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Ha oui, moi,

    comme une autre personne plus haut,

    ayant été « élevé » chez les frères,

    pas me mixité, of course!

    et je revois encore des Potes, à l’occase,

    grâce à internet !!!

    Pour les Filles,

    mes meilleurs souvenirs,

    les plus sauvages en émois,

    c’était les jeux de mains,

    à peloter les seins,

    à peloter les fesses

    et jouer de cela des heures durant,

    au stade du village,

    dans les près alentours….

    des soirées entières…..

    Mais bécoter, la langue……..

    Bof!

  22. #22
     
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    Dandyjoueur a gazouillé  :

    J’ai retrouvé ma valentine d’école maternelle et primaire, celle avec qui je passais tout mon temps libre…et cela a complètement cassé le mythe, tout s’est envolé. Il ne me reste qu’un gout amer. Il faut laisser certains souvenirs dans les ages qui leurs correspondent. Je dis « certains » car j’ai également retrouvé celle qui m’a brisé la coeur en fac (la citation de Madamesennuie résonne en moi…) et cela m’a plu de la revoir. Peut-être parce que je m’attache encore à l’espoir un peu fou qu’elle voudra bien faire quelques infidèlités à son mari (comme elle l’avait fait à son copain de l’époque pour sortir avec moi).
    Je garde à ce sujet un souvenir très érotique d’une séance de cinéma où nous étions tous les 3…

  23. #23
     
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    Leela a gazouillé  :

    Hmmm le plus lointain baiser dont je me souviens vraiment c’est celui d’un garçon avec qui je suis « sortie » en fin de 6ème, c’était désastreux, un vrai lave linge en phase d’essorage… les pire baisers de ma vie probablement… heureusement, ça n’a duré que 2 semaines.
    Et sinon, je confirme, la première baffe est importante… quoi que… les suivantes aussi, si on est pas habitué à en donner :)

  24. #24
     
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    Txema a gazouillé  :

    On a tous une Valentine au fond de notre mémoire, qui s’est enfuie avec le temps qui passe, mais qui parfois vient se rappeler à notre bon et doux souvenir.
    J’aime bien la douce nostalgie de ce post.

  25. #25
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Tu parles de douceur, toi..?

    Se Prendre des Baffes,

    Juste parce que les mains des Garçons

    sont Curieuses de Ça-Voir….

  26. #26
     
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    dita a gazouillé  :

    À vous lire tous, je me demande si je n’ai finalement eu de la chance de connaitre ce baiser au lycée car dès le premier, ce fut fabuleux. Peut-être la maturité :)

  27. #27
     
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    mimilette a gazouillé  :

    Dita, tu sais qu’il y a, et malgré toute la maturité voulue ou suggérée, des hommes (et des femmes) qui ne savent pas embrasser, même à 30, 40 ou plus.. En mode lessivage et bouche béante, sans sensualité aucune. Je me demande si retarder ou avancer (trop tard aujourd’hui) l’expérience, aurait pu (me) changer cette idée du 1er becot. « Juste fais-le, soit inspirée et fais passer quelque chose dans ce coup de langue », c’est ce que je me suis dit ce jour-là.
    Après, je me dis qu’avec autant de salive, ils auraient pu servir efficacement pour un bon cuni ou plus si affinité … Je dis ça, j’ai rien dit ;-)

  28. #28
     
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    Vagant a gazouillé  :

    Mon premier baiser ? Voyons voir… je devais avoir 22 ans, et ça s’est passé dans une boite de nuit de Bouaké, en Afrique de l’ouest. Il a d’ailleurs été immédiatement suivi de mon premier cunni et de mes premiers (et derniers) morpions.

  29. #29
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Madamesennuie » Ça m’a bien manqué, de n’embrasser personne en Terminale… Je crois que la frustration ne nous rend pas meilleurs !

    @ Henri-Etoile » Tiens ! Ça faisait longtemps que je ne vous avais pas vu roder ici ;-)
    Dans un village, j’imagine que l’intimité est plus difficile à trouver, pour les premiers amours…

    @ Dandyjoueur » Pourquoi « amer » ? Je comprends que ça puisse être des retrouvailles décevantes… mais amer ?

    Quant à votre camarade de fac, faites lui passer le message (éventuellement de ma part) qu’elle aurait bien tort de croire que les jeux de la jeunesse sont périmés 10, 20, 30 ans plus tard !

    @ Leela » Sans doute un garçon qui aura voulu appliquer la consigne de Florence « ne pas oublier de tourner la langue » un peu trop au pied de la lettre et sans écouter ses sensations.

    Au fait, si quelqu’un peu m’éclairer : c’est comment, un garçon qui embrasse mal, en catégorie adulte ?

    @ Txema » Je ne sais pas si on en a tous une, moi je sais que je n’en ai qu’une sur les années collège-lycée, mais j’avais quelques collègues qui n’ont même pas eu cette « chance ».

    @ dita » Oui, de la chance, c’est certain. Après, était-ce une chance exceptionnelle ou pas, je ne saurais dire, mais pour moi qui ai fait ceinture si longtemps, je mesure ta chance !

    @ mimilette » Je te remercie de répondre un peu à ma question ci-dessus, en fait.
    Et je crains que l’embrasseur peu doué ne soit guère meilleur sur les étages inférieurs. Mais qui sait, en mode « vibromasseur »…

    @ Vagant » Well ! Vu comment je bouillonnais à 18 ans quand j’ai été dépucelé, j’imagine que tu devais être dans un triste état à 22 ans, au moment du grand saut (qui me fait penser au mien, les morpions en moins, le garçon en plus ;-)

  30. #30
     
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    Vagant a gazouillé  :

    En fait, j’ai été dépucelé avant mon premier baiser, 1 ou 2 ans plus tôt, je ne sais plus trop. Je te laisse imaginer combien ce fut palpitant :(

  31. #31
     
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    mimilette a gazouillé  :

    Merci merci, je sais que j’ai tjrs eu une petite avance sur de nombreux sujets ;) … Notamment, en parlant de vibro, j’ai découvert celui fonctionnant en WiFi. C’est aware, comme dirait ce légionnaire.

    En te lisant (et en me remémorant quelques noms de ma liste), je confirme et je signe « bon baiser, bon cuni » … et chez les filles alors, « bon baiser,bonne pipe » aussi, ou pas ?
    Seul Cui nous le dira :)

  32. #32
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Ha Mais! Ha Mais, Ha mais ça! Voilà que je découvre que je rodais ici…? J’aimerais bien savoir où et quand…? (CanCan que cela dit….)
    Un Village…? Ha bon !!! Mais ma Chaire, un village regorge de ressources…. le Moulin en ruines, les barques le long des berges, les fossés, les clairières, les baraques de jardins, etc. etc.
    Le village est aussi la destination de loisirs de bien des urbains et de leurs gosses……, apports divers (et d’été sans oublier les Ouikends)en chairs fraîches, et c’est ainsi que j’ai découvert adolescent ces rutilantes poitrines, ces derrières enveloppés diversement, ces bouches gourmandes d’exotismes au village (justement)…..

    Et comme le train, l’autocar, dessert (desservait), les grandes Villes, l’Autostop d’alors aidant bien le jeune gens que j’étais (solitaire à queue raide déjà), la couche urbaine de la première jeune fille fut ce Chemin premier que j’empruntât, alors même encouragé par la mère de celle-ci, toujours de nuit,….. La Soupe de langues brulantes de nuit a une de ces saveurs…..!!!(gaffe au parquet quand même!!!)

    Bon ça c’était pour le début…..

  33. #33
     
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    dita a gazouillé  :

    Pour répondre à ta question sur le baiser, les fois où j’ai été déçue, c’est plutôt que l’homme était timide (je ne tombe décidément pas sur des audacieux) de la langue ou alors que nos langues n’avaient pas le même rythme. Et quand c’est comme ça, ça m’énerve beaucoup et ça peut me bloquer pour le reste. J’ai envie de lui dire « mais vas y non de dieu !! » ( oui c’est charmant de sortir avec moi^^).
    Un bon baiser c’est quelqu’un qui se fond dans ma bouche et avec sa langue, je sens tout son corps peser sur moi. Mon plus beau souvenir reste ce baiser de RER où on s’est rendus compte à quel point nous étions en accord. Je crois que toute la rame y a participé :D

  34. #34
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Vagant » J’imagine… Débuts difficiles, donc ! C’est bien de constater que l’on a pu se rattraper de bien belle façon par la suite !

    @ mimilette » Je n’accorde qu’une confiance très limitée au cyber-sexe, donc le vibro wifi, je suis sceptique.
    Bon baiser, bonne pipe ? Je ne dirais pas ça. De toute façon, j’ai assez peu de souvenirs de mauvais baisers (et les quelques uns dont je me remémore, qui n’étaient pas vraiment des baisers sans âme, mais des baisers qui ne m’écoutaient pas, venaient de plutôt bonnes suceuses ;-).

    @ Henri-Etoile » Mes excuses, nous nous sommes déjà croisés dans une autre vie, mais ce n’était pas sur ces pages. Je vous souhaite donc officiellement la bienvenue ici.
    Pour le reste, nostalgie, nostalgie ;-)

    @ dita » Assez émouvant, ton témoignage !

  35. #35
     
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    Rêveur a gazouillé  :

    C’est mignon tout plein ce billet et cela m’a rappelé aussi quelques souvenirs. Visiblement on doit être de la même génération.
    Mon premier « vrai » baiser à moi aussi était plus que plat. Définitivement pas précoce, ce fut l’année de mes 18 ans, avec une jolie fille. Nous vivions une relation platonique à cause d’un éloignement géographique (flirt de vacances). Malgré la distance, elle était quotidiennement dans ma tête et après plusieurs mois d’échange de lettres (à cette époque Internet n’était pas encore démocratisé) on s’est enfin retrouvé. Notre premier baiser n’a eu absolument aucune saveur et rapidement c’est elle qui a mis fin à cette relation.
    Tout comme toi, pendant des années je repensais à elle…
    J’ai finalement tiré un trait sur ce passé il y a 4 ans, en retournant sur ce lieux de vacances, dans le sud de la France, où on s’était rencontré. Par le biais d’un message déposé au pieds d’un arbre en haut d’une colline, qui avait un sens pour moi à cette époque, mon deuil pour elle a enfin pu se faire.

  36. #36
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Rêveur » Bienvenu ici !
    Eh bien, c’est long, tout ce temps pour faire le deuil d’une relation qui ne semblait pas très riche (toutefois, je pense qu’une amourette à 18 ans est quand même plus sérieuse qu’une amourette à 14 ans).

  37. #37
     
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    R. a gazouillé  :

    Arrête, ils vont croire que j’ai 22 ans !!! ;o)
    (Le temps me manque pour commenter plus, mais très chouettes tous ces derniers billets…) Bises !

  38. #38
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ R. » Ah bon ? T’as pas 22 ans ?!?

  39. #39
     
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    R. a gazouillé  :

    Je te l’accorde, mon teint de pêche et ma taille de guêpe pourraient le laisser penser, mais NON, je n’ai pas commencé à coucher avec des garçons à 3 ans, et je n’ai pas plané dans les favelas brésiliennes à 7 ans… ;o)

  40. #40
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Ha La La!

    Nous nous Co-Naitrions donc……..

    Tss Tss Tss,

    Je ne re-Co-Nait ici

    Auc-Un de Vos Parfums,

    Ma-Dame……..

    Tss Tss….

  41. #41
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ R. » Ce n’est pas non plus dans les favelas que tu as appris l’usage du mot « ambiancer ». Alors où ? demandé-je naïvement.

    @ Henri-Etoile » Oui oui, souvenez-vous, c’était en 2009. À cette époque, nous discutions fréquemment sur MSN, parfois à trois avec Céleste…

  42. #42
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Flow…..? D-K-Danse…….?

  43. #43
     
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    R. a gazouillé  :

    @CUI : peut-être en écoutant NTM…? :o)

  44. #45
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ R. » Ah ouais, c’est ça mon problème, j’écoute pas les paroles ^^

    @ Henri-Étoile » Shhhh ! Un peu de discrétion voyons, je ne vous demande pas de déballer tout votre répertoire ;-) Sur MSN, je traîne généralement sous le pseudo « Jérôme in Paris ».

  45. #46
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Ha! Oui, je retrouve ces Parfums, un printemps d’il y a 40 mois à peine, en effet…

    J’ai retrouvé un billet inspiré, en ce Printemps là, de nos Sens….. sur Hasardailes…

    Discrétion…? Meuh dites donc! Qui a évoqué Céleste…..?

  46. #47
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Henri-Etoile » Y a de l’étoile céleste partout sur votre burp, Henri ;-)

  47. #49
     
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    calamityjane a gazouillé  :

    Le pire baiser : le premier !
    En mode autowash de la part du garçon qui avait à peu près le même âge que moi, 14 ans.
    Une horreur !
    Obligée de vite recommencer pour remettre les choses en place : baiser sublime, doux et intense, langues comprises ;). Alors le deuxième reste cher à mon coeur :)
    Par contre, un homme qui embrasse mal (sans intensité, superficiellement, lèvres peu ouverte, à taton, vite fait) a peu de chance de m’amener au nirvana. Ca se confirme souvent ensuite en position ;), ce n’est pas le top au niveau sexe !
    Malgré tout je laisse une chance…mon premier grand amour a eu besoin d’un peu de temps pour s’adapter a cette acte mais ensuite, parfait emboitement de nos lèvres et langues…enjoy!
    A gouter sans modération !

  48. #50
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Henri-Etoile » Le temps me manque, hélas, pour écumer toute la toile (il y a des gens qui sont très forts pour ça, faire de la « veille » sur la burposphère – moi pas).

    @ calamityjane » Premier commentaire sur le premier baiser ! Bienvenue ici :)
    Vous confirmez que les premiers pas ne sont pas faciles pour tout le monde… et qu’il faut aussi savoir laisser une seconde chance, parfois ! C’est rassurant.

  49. #51
     
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    Henri-Etoile a gazouillé  :

    Oui, Cher « Ami »……, je ne suis pas non plus un blogophile, même si j’adore me promener, je suis très vite noyé par la richesse des impressions qui me submergent lors de certains voyages….et en effet, le temps personnel, me con-cernant est aussi con-sacré, dédié à « autre chose » qu’au surfing….., je lui préfère le dialogue instant-a-Né des dialogues dans la Volupté, le plaisir et les orgasmes partagés…..

    Il parait qu’on peut s’abonner à des flux…….. j’ai tenté un jour de comprendre, puis renoncé……alors j’agis d’instinct, parfois un peu la bite à la main……Ha Ha Ha!

  50. #52
     
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    Plume a gazouillé  :

    ah les baisers ! premiers pas vers la volupté des sens, le déferlement des sensations, baisers mouillés qui enflamment tout le corps pour finir dans une explosion de plaisirs.

  51. #53
     
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    Comme une image a gazouillé  :

    @ Henri-Etoile » Ah ! Si je n’avais pas de lecteur RSS (pour gérer mes abonnements), je n’aurais sans doute pas le temps de lire tout ce que je lis.

    @ Plume » Bienvenue ici ! Je vois que je réveille des souvenirs délicieux, chanceuse !

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